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NON, L'État ne nous protège plus !: Un pamphlet qui dit la vérité au Français
NON, L'État ne nous protège plus !: Un pamphlet qui dit la vérité au Français
NON, L'État ne nous protège plus !: Un pamphlet qui dit la vérité au Français
Livre électronique108 pages1 heure

NON, L'État ne nous protège plus !: Un pamphlet qui dit la vérité au Français

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À propos de ce livre électronique

L'État nous protège-t-il vraiment contre le crime, contre l'adversité, contre les risques sanitaires de notre triste actualité, contre le viol de la propriété, la précarité, ou encore la pauvreté ?
Le croire c'est choir !
À partir du moment où les individus se sont constitués en société, ils ont consenti à déléguer la justice à la collectivité et ses représentants, et non plus à l'assurer eux-mêmes. Dès lors, une protection a été légitimement attendue de l'État. Mais l'État nous a-t-il un jour protégés ? L'évidence à laquelle il faut se rendre, c'est qu'aujourd'hui, les Français attendent encore cette protection, et même plus que jamais. Mais ils ne l'ont plus. Nous ne l'avons plus. Et cela depuis longtemps. L'État nous protège, oui... soit de risques imaginaires, soit de risques qu'il a lui-même créés, tandis que la liberté est attaquée, la propriété bafouée, et que nous sommes pris en otage par une envahissante bureaucratie.

À travers ces pages, Simone Wapler livre un pamphlet tranchant comme une lame, chiffres et faits à l'appui, pour ouvrir les yeux des Français sur le vrai rôle de leur État. Des révélations inattendues auxquelles il sera difficile, une fois ce livre achevé, de rester insensibles.
LangueFrançais
ÉditeurUppercut
Date de sortie8 déc. 2020
ISBN9782381270951
NON, L'État ne nous protège plus !: Un pamphlet qui dit la vérité au Français
Auteur

Simone Wapler

Simone Wapler est ingénieur et journaliste de formation. Après vingt ans passés dans l'industrie aéronautique, elle a écrit dans différents médias comme Le Point, Enjeux Les Echos, Vos Finances, MoneyWeek, Charts et a été rédactrice en chef des Publications Agora, avec toujours la volonté de rendre accessibles à tous les aspects financiers et stratégiques des technologies et des enjeux industriels. Auteur de plusieurs livres publiés chez Larousse et Ixelles Éditions, comme La rage de l'Impôt ou encore Main basse sur votre argent, elle signe ici un pamphlet haut en couleurs et en réflexions.

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    Aperçu du livre

    NON, L'État ne nous protège plus ! - Simone Wapler

    « Pour remplir les blancs de l’histoire,

    le pamphlet est la forme idéale »

    George Orwell

    Ceci est un pamphlet, âmes sensibles, soucieuses de préserver leur bonne conscience, s’abstenir.

    Un pamphlet est un texte partisan, de conviction, d’opinion. Ce n’est pas un texte tiède, consensuel, équilibré.

    Pourquoi le pamphlet comble-t-il les « blancs de l’histoire » selon Orwell ? Parce que lorsque le consensus règne, lorsque tout le monde pense la même chose, personne ne pense plus vraiment. S’il n’y a plus de débat possible, il n’y a plus d’histoire. Reste le pamphlet, l’attaque violente, pour tenter de ranimer le débat. Un électrochoc en quelque sorte.

    Ce pamphlet défend une idée impopulaire et ultra minoritaire : l’État d’aujourd’hui ne nous protège plus, il n’est plus à notre service. Par conséquent, il faut arrêter de lui en demander toujours plus, il faut au contraire lui en demander moins et le contraindre à bien faire ce qu’il doit faire.

    Voyez ce texte comme une apologie du minarchisme, un plaidoyer pour le retour à un État minimal, juste envers chacun et seulement respectueux du droit naturel.

    « La fin dernière de l’État n’est pas de dominer les hommes, de les retenir par la crainte, de les soumettre à la volonté d’autrui, mais tout au contraire de permettre à chacun, autant que possible, de vivre en sécurité, c’est-à-dire de conserver intact le droit naturel qu’il a de vivre, sans dommage ni pour lui ni pour autrui…»

    Spinoza, traité théologico-politique

    Sommaire

    L’ÉTAT SE PROTEGE D’ABORD LUI-MÊME

    Irresponsables mais jamais coupables

    Muraille réglementaire et autoamnistie de république bananière

    La protection des irresponsables plutôt que « Jouer sa peau »

    L’ÉTAT NOUS PROTÈGE DE RISQUES IMAGINAIRES

    La Terre se réchauffe, et alors ?

    Nous protéger contre nos mauvais penchants

    Protéger les abeilles en tuant nos agriculteurs

    L’ÉTAT NOUS PROTÈGE DES RISQUES QU’IL A LUI-MÊME CRÉÉS

    Pour nous protéger du chômage, il est interdit de licencier

    Crise chronique du logement pour cause de démolition du marché

    Protection illusoire et multiplication des contrats gagnant-perdant

    NOTRE VÉRITABLE PROTECTION N’EST PLUS ASSURÉE

    L’authentique besoin de protection par l’État

    La liberté attaquée

    La propriété bafouée

    La sûreté et la résistance à l’oppression érigées en nouveaux privilèges

    LA SUBSIDIARITÉ ANTIDOTE L’ULTRACRÉPIDARIANISME

    PRIS EN OTAGE PAR LA BUREAUCRATIE

    CQFF (CE QU’IL FAUDRAIT FAIRE)

    ÉTAT-NOUNOU

    ÊTES-VOUS SÛR QU’IL EST ENCORE À

    VOS ORDRES ?

    Vous êtes convaincu :

    Que l’État vous protège,

    Qu’il ne veut que votre bien,

    Que politiques et fonctionnaires savent mieux que vous ce qui est bon pour vous et ce que vous devez faire en toutes circonstances ?

    L’expérience coronavirus permet de recadrer ces illusions

    Toute l’incompétence bureaucratique s’étale dans cette chronologie de l’échec qui se termine, comme d’habitude, par un racket.

    L’affaire du masque nous prouve que la protection que l’État dit nous prodiguer est illusoire. Il a laissé sa population démunie, y compris les plus exposés, y compris son propre personnel soignant.

    Les faits ?

    Il y eut par le passé des stocks de masques, payés par le contribuable, constitués au temps du virus H1N1. Ces stocks ont été dilapidés avec la plus grande insouciance puis sont devenus « périmés » si tant est que ce qualificatif puisse s’appliquer à des tissus non vivants. Pourquoi avoir inscrit en grande pompe dans la Constitution le fameux « principe de précaution » si ce n’est pas pour l’appliquer au sein de l’administration ?

    Les Asiatiques – déjà confrontés par le passé à des virus atteignant gravement les voies respiratoires – utilisent des masques de façon routinière. Les masques sont utiles en période initiale d’épidémie, alors que le risque de contamination est le plus élevé. Ils deviennent ensuite moins utiles au fur et à mesure que le virus perd de sa virulence et que l’auto- immunisation de la population progresse.

    Dans cette lamentable mascarade, le personnel politique et l’administration n’ont songé qu’à une chose : se protéger de leur propre incurie. Après avoir réagi en retard, en n’assumant jamais leurs erreurs, ils couvrent leurs arrières en exigeant des précautions devenues inadaptées à la situation.

    Masques, gel, tests, confinement, l’État a enchaîné les mauvaises décisions comme des perles.

    « Mais ce qui m’a le plus choqué concernant le confinement, c’est qu’on aurait pu éviter qu’il soit généralisé. Si on avait eu des masques. Et qu’on avait en parallèle dépisté en masse. Dans les pays où on a testé en quantité mais jamais confiné, sauf les malades, les porteurs sans symptômes du virus et les personnes fragiles, il y a eu peu de victimes : mi-mai on comptait 256 morts en Corée. 688 au Japon, 3 040 en Suède et 21 à Singapour. À l’heure du bilan, les écarts entre ces pays et la France (27 000 morts au 13 mai) ne se réduiront jamais »

    Professeur Christian Perronne¹

    Oui, le bilan de la France dans cette crise sanitaire est mauvais alors que politiciens et fonctionnaires ne cessent de nous vanter notre système de santé que tout le monde nous envie

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