Pensez-vous que, comme dans votre roman Impact, on a déjà affaire à des « écoterroristes », le terme employé par le ministre de l’Intérieur ?
Non, nous n’y sommes pas encore. Aujourd’hui, on a des jeunes qui interrompent une pièce de théâtre, qui se collent la main ou balancent de la soupe sur une œuvre d’art… Leur but est d’interpeller, de choquer. C’est une révolte d’image. Estce qu’on peut arriver à un terrorisme écologiste ? Est-ce