Le comité ministériel des Jeux olympiques et paralympiques, réuni le 15 avril, a dressé un constat brutal, révélait cette semaine : la sécurité privée risque de ne pas être au rendez-vous. Les besoins étaient initialement estimés à 25 000 agents : appels d’offres qui n’ont pas trouvé preneur, effectifs manquants, agents écartés après un criblage sévère, risques de « no show » le jour J aggravés par des difficultés. Cette reprise en main par l’État entraînerait un surcoût conséquent et des négociations délicates : les militaires posent leurs conditions pour assurer le maintien de l’ordre à la place des policiers et gendarmes, qui devraient reprendre certaines missions des agents de sécurité…
Sécurité privée « La surveillance humaine est un métier en tension »
Apr 28, 2024
2 minutes
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