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Super Sock Man (Français)
Super Sock Man (Français)
Super Sock Man (Français)
Livre électronique137 pages1 heure

Super Sock Man (Français)

Évaluation : 4 sur 5 étoiles

4/5

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À propos de ce livre électronique

Les Johnnies, numéro hors série 
Le béguin de Donnie pour le colocataire de sa sœur, Alejandro, va au-delà de ses rêves d'enfance – et cela le rend fou ! Alors lorsqu'il a l'occasion de garder la maison de sa sœur et de Yandro en leur absence, il ne se sent pas seul. Ses vifs fantasmes sont là pour lui tenir compagnie ! Est-ce qu'un peu de chance – et un coup de pouce de la part d'un cadeau magique fait maison – pourraient aider les rêves de Donnie à se réaliser ?
LangueFrançais
ÉditeurDreamspinner Press
Date de sortie26 mai 2015
ISBN9781634766098
Super Sock Man (Français)
Auteur

Amy Lane

Award winning author Amy Lane lives in a crumbling crapmansion with a couple of teenagers, a passel of furbabies, and a bemused spouse. She has too damned much yarn, a penchant for action-adventure movies, and a need to know that somewhere in all the pain is a story of Wuv, Twu Wuv, which she continues to believe in to this day! She writes contemporary romance, paranormal romance, urban fantasy, and romantic suspense, teaches the occasional writing class, and likes to pretend her very simple life is as exciting as the lives of the people who live in her head. She’ll also tell you that sacrifices, large and small, are worth the urge to write. Website: www.greenshill.com Blog: www.writerslane.blogspot.com Email: amylane@greenshill.com Facebook: www.facebook.com/amy.lane.167 Twitter: @amymaclane

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Avis sur Super Sock Man (Français)

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4/5

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  • Évaluation : 4 sur 5 étoiles
    4/5

    Aug 20, 2024

    Super Sock Man by Amy Lane
    Johnnies series #0.5 and Granby Knitting series #1.5 novella. M-M romance. Can be read as a stand-alone.
    Donnie agrees to house sit for his sister, mostly because he has a crush on her roommate Alejandro. Donnie fantasizes about Alejandro and ends up falling asleep in his bed. When Alejandro comes home early and finds Donnie in his bed, he’s charmed by the young man.

    First romance troupe, high, repeated heat and steam. A sexy little acceptance story.
  • Évaluation : 3 sur 5 étoiles
    3/5

    Jan 16, 2015

    It was a good story, but I would have liked it to be a little longer, and maybe have a little more of a conflict. I do love Donnie, and it was interesting to get his take on what happened between he and Chase because after reading Chase in Shadow, I thought maybe Donnie was interested in Chase, and Chase turned him down, so he moved on the Yandro, and that's why Chase felt so horrible because he had a chance with Donnie but gave it up. I'm glad Yandro wasn't Donnie's second choice though because I think they are adorable together. It was also good to know that Donnie was already picking up on Chase worrying about taking care of other people while he was miserable. I'd like to see a sequel to Super Sock Man which goes more in depth with Donnie and Yandro's relationship, but also where you get more of Donnie's thoughts about what is really going on with Chase.

Aperçu du livre

Super Sock Man (Français) - Amy Lane

cover.jpg

Donnie

LORSQUE DONNIE Armstrong avait seize ans, il aida sa sœur Michelle et son colocataire, Alejandro Castellanos, à emménager et quelque part, cela lui changea la vie.

Yandro était un garçon sympa. Michelle et lui étudiaient la danse et surtout, ils faisaient tous deux partie d’une troupe professionnelle locale qui commençait à devenir populaire parce qu’elle était ‘avant-gardiste’ et ‘source d’inspiration’. Bien sûr, à seize ans, Donnie pensait que toute autre activité que le base-ball ne pouvait pas susciter beaucoup d’intérêt, mais lorsqu’il rencontra Alejandro Castellanos, il se rendit compte que les hommes en collants étaient en fait… excitants.

Alejandro avait passé la journée, les genoux fléchis, à soulever des cartons contenant les affaires de danse de Chelle et à les sortir de sa chambre. Or, chaque fois qu’Alejandro se baissait, Donnie pouvait apercevoir ses muscles onduler et se contracter sous sa peau mate de Latino. Yandro portait un short moulant en élasthanne et un débardeur, et ses muscles ondulaient et se contractaient au niveau de ses chevilles fines, ses mollets d’acier, ses cuisses puissantes, sa taille svelte et ses épaules extraordinairement larges. Ses cheveux épais et noirs, coiffés en forme de pointe, lui cachaient un œil, ce qui lui donnait un côté sexy et attrayant et un air de star.

En voyant Donnie les suivre partout lui et Chelle, tel un gamin empoté, Alejandro crut d’abord que Donnie était juste impressionné par ses muscles parce qu’il aurait aimé avoir les mêmes. Il ne buvait plus que des boissons protéinées et s’entraînait avec l’équipe de basket-ball, mais il restait toujours squelettique. Yandro par contre… Ooooh… ses muscles étaient… impressionnants. Et ondulés. Et contractés. Et…

— Donnie, arrête de reluquer mon coloc et aide-moi à soulever ce carton ! dit Chelle d’un ton sec.

D’habitude, elle était plus aimable, mais le déménagement la stressait. Il y aurait sûrement des pleurs à cause de leurs parents, du coup elle se défoulait sur Donnie et c’était son rôle, n’est-ce pas ?

Donnie grommela. S’il jouait bien son rôle à lui, il aurait dû laisser faire, mais qui a envie d’être à ce point sympa avec sa sœur ?

— Garde tes collants, j’arrive !

— Oh oui, et il va s’en passer des choses si tu continues à mater le cul de Yandro comme ça.

— Chelle ! protesta-il. Je ne suis pas gay !

Mais sa voix dérailla lorsqu’il prononça le mot ‘gay’. Elle monta tellement que Chelle haussa un de ses sourcils parfaitement épilés.

— Pas toi, abruti. Je parlais de Yandro. C’est un vrai coureur de caleçons. Toutes les semaines, il ramène un nouveau gars.

Donnie écarquilla les yeux.

— Yandro est gay ?

Yandro était tellement… tellement cool. Il avait cet accent vénézuélien tellement cool et il parlait de poésie, de danse, de musique passionnément, et… et… ah Bon Dieu.

Donnie laissa tomber le gros carton qu’il aidait sa sœur à déplacer et celle-ci se mit à jurer.

— Putain, Donnie, tu ne sers à rien. Récupère tes couilles et soulève-moi ce truc comme un vrai mec.

Ce que Donnie fit, tout en essayant d’ignorer Yandro qui venait juste de s’asperger avec le jet d’eau sur la pelouse et dont le short de danse blanc était mouillé à l’avant. Les muscles de son dos n’étaient à l’évidence pas les seuls trucs gros, effrayants et ondulés.

Oh putain ! Alejandro avait la plus grosse verge que Donnie ait jamais vue !

Donnie essaya de contrôler sa respiration – et son érection ainsi que sa réaction exagérée – tandis qu’il sortait ce fichu carton jusqu’au camion de location. Bien sûr que Yandro avait la plus grosse verge qu’il ait jamais vue. Ce n’était pas comme s’il passait son temps à mater les autres gars dans les vestiaires, n’est-ce pas ?

Bon, sauf Chase, parce que celle de Chase tombait jusqu’à mi-cuisse quand il sortait tout mouillé de la douche, et quel gars refuserait de voir un truc pareil ? Ça ne voulait pas dire que Donnie était gay, simplement qu’il était curieux. Tout le monde veut savoir à quoi les autres ressemblent, n’est-ce pas ? Parce que la celle de Chase était longue et large, mais celle de Kévin était petite et plus large encore, Donnie avait essayé d’imaginer ce machin dans la bouche d’un garçon… d’une fille. Est-ce que des lèvres douces et roses… rouges pourraient supporter ça ? Pourriez-vous vous représenter la barbe blonde de trois jours de Chase en train de sucer ce machin ? Ce n’était pas un truc de gay, c’était un truc d’homme, non ?

Donnie se parlait à lui-même tout en hissant le carton sur le bord du haillon. Il poussa le carton à l’intérieur avec ses hanches, et sa douleur et son excitation doublèrent presque. Son sexe était plus dur, plus douloureusement gonflé que jamais.

— Excuse-moi, Chelle, murmura-t-il, il faut que j’aille aux toilettes.

Il courut presque vers la maison et s’enferma dans les toilettes à côté de sa chambre. Il baissa son pantalon et pensa aux lèvres charnues d’Alejandro et à ses yeux marron-noir qui le fixaient tandis que ses lèvres surmontées d’une fine moustache se refermaient autour de la verge de Donnie et commençaient à le sucer.

Au milieu de ces images, Donnie resserra une main tremblante autour de son membre…

Il jouit. C’était chaud, puissant, il en avait partout sur le ventre, la poitrine et les cuisses.

Il s’appuya contre la porte des toilettes et, tremblant, étala son sperme sur son bas-ventre, sa poitrine, ses cuisses et lorsqu’il banda à nouveau, partout sur son membre glissant et palpitant.

Son deuxième orgasme ne mit pas plus de temps que le premier à venir, mais pour le troisième, il eut tout juste le temps de se pincer fort les tétons et d’envelopper ses testicules dans son autre main avant d’exploser.

Ses bras et ses jambes tremblaient et son cœur battait fort dans sa gorge, mais il sauta quand même dans la douche à vitesse grand V. Il était dehors en train de porter des cartons avant même d’avoir eu le temps de manquer à Chelle et Yandro.

Il s’efforça de rester poli mais distant avec Alejandro pour le reste de la journée – hochant la tête et répondant quand on lui parlait et faisant tout ce que Yandro lui demandait – parce qu’il ne voulait pas attirer son attention, même pas un tout petit peu.

Donnie conclut qu’il avait assez à faire pour se préoccuper de la façon dont le sourire éclatant d’Alejandro sur cette bouche douce et lascive le faisait transpirer, ou dont ses mains frôlant les siennes, un coup d’épaule ou même un rire innocent de sa part éveillaient son sexe qui se mettait à fureter autour du colocataire de Chelle avec ténacité, alors que normalement, il devrait se reposer, mou et endormi dans son caleçon après une dure journée de travail.

Alors, pendant la journée, et la journée seulement, Donnie fit comme si son membre, son pouls accéléré, ses tétons durcis et la sueur qui lui coulait sans arrêt le long de la nuque n’étaient que des fonctions corporelles instinctives. Ils étaient incontrôlables et n’attendaient jamais sa permission, alors il les ignorait avant de les prendre à part et de les enguirlander en leur expliquant ce qu’il attendait d’eux et ce qui était censé provoquer ces fortes pulsions sexuelles.

Et pendant ce temps, il ne cessait de traîner autour d’Alejandro de manière pitoyable, de lui lancer des regards et de faire comme si toutes ces fonctions corporelles instinctives ne s’excitaient pas seulement à la vue de cette peau mate et de ses muscles puissants, et au son de cette voix chantante et dynamique qui insultait sa sœur.

Alejandro

OH MON Dieu. Qui était ce type dans son lit, cette fois ?

Alejandro se retourna et réprima un grognement.  Et merde. Encore un nouvel étudiant de l’école de danse, Steve ou quelque chose comme ça. Putain, mais quand arrêterait-t-il de coucher avec de nouveaux gars seulement parce qu’ils étaient sexy ?

Steve – ou peu importe son nom –  avait des cheveux blond clair, des taches de rousseur et le regard abruti d’un chat siamois qui aurait un papillon sur le nez. C’était avec ce regard-là qu’il fixait Alejandro,  juste avant le lever du soleil.

— Euh, Steve ? appela Alejandro en hésitant – ce qu’il s’apprêtait à faire allait le faire passer pour le roi des connards, et même si l’aube arrivée il ne supportait pas d’avoir quelqu’un dans son lit, il n’aimait pas se conduire comme un connard.

— Ouais, mon pote, je me tire, répondit Steve, de remarquablement de bonne humeur en sautant du lit.

Alejandro rougit et s’assit, les draps blancs assortis à sa chambre majoritairement blanche enroulés autour de ses hanches.

— Merci, répondit-il poliment. J’apprécie.

Les grands yeux de Steve étaient aussi francs que l’auraient été ceux d’un chaton défoncé.

— Oh, t’inquiète. Tout le plaisir est

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