L'histoire du Combattant en Colère: Exploitez le feu Intérieur

Par Bill Vincent

Victoirement victime d'intimidation dès son plus jeune âge, David développe un tempérament colérique et a besoin d'un moyen de se défouler. Lorsqu'il découvre le passé de son oncle, David décide de suivre ses traces et de devenir un champion de boxe, mais ce ne sera pas un parcours facile. David pourra-t-il réaliser son rêve ?

• Langue: Français
• Éditeur: RWG Publishing
• Date de sortie: 10 févr. 2025
• ISBN: 9798348525392

Bill Vincent

Diving deep into the realms of spiritual awakening, Bill Vincent embodies a connection with the Supernatural that spans over three decades. With a robust prophetic anointing, he has dedicated his life to ministry, serving as a guiding light and a pillar of strength in Revival Waves of Glory Ministries.Bill Vincent is not just a Minister but a prolific Author, contributing to the spiritual enlightenment of many through his diverse range of writings and teachings. His work encompasses themes of deliverance, fostering the presence of God, and shaping Apostolic, cutting-edge Church structure. His insights are drawn from a wellspring of experience, steeped in Revival, and fine-tuned by a profound Spiritual Sensitivity.In his relentless pursuit of God's Presence and his commitment to sustaining Revival, Bill focuses primarily on inviting divine encounters and maintaining a spiritual atmosphere ripe for transformation. His extensive library of over 300 books serves as a beacon of hope, guiding countless individuals in overcoming the shackles of Satan and embracing the light of God.Revival Waves of Glory Ministries is not your typical church - it's a prophetic ministry, a sanctuary where the Holy Spirit is given the freedom to move as He wills.

Aperçu du livre

L'histoire du Combattant en Colère

L'histoire du Combattant en Colère

Bill Vincent

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Contents

Chapitre 1

Chapitre deux

Chapitre trois

Chapitre quatre

Chapitre Cinq

Chapitre six

Chapitre Sept

Chapitre huit

Chapitre Neuf

Chapitre Dix

Text Insert

Copyright © 2025 by Bill Vincent

All rights reserved. No part of this book may be reproduced in any manner whatsoever without written permission except in the case of brief quotations embodied in critical articles and reviews.

First Printing, 2025

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Chapitre 1

Au début

Je monte les marches deux par deux , mes jambes ne pouvant aller plus loin. Derrière moi, j'entends les bruits de poursuite et les cris de Tom le méchant comme on l'appelle et les huées qui étaient la marque de fabrique de sa bande. Le cœur battant, j'atteins le haut des escaliers et me dirige droit vers la pile de cartons abandonnés dans le couloir. Ils avaient été utilisés autrefois et étaient tombés en désuétude avec le temps. Ils avaient été destinés à être jetés par le camion poubelle quand il est passé et je suppose que personne n'a pris le temps de les descendre les milliards de fois depuis que le camion est passé.

En tremblant, j'atteins la sécurité relative des caisses et, me faufilant dans un petit espace entre elles et le mur, je pénètre dans mon lieu sûr, une forteresse, telle que je l'imaginais. Pour moi, elle valait plus que les jolies fleurs jaunes qui poussent au printemps ou le tintement que fait la glace lorsque nous jouons avec elle les jours de glace à l'atelier. Cependant, elle ne pouvait pas remplacer une assiette de chocolat chaud, fumant délicatement sur une table en bois, une cuillère serrée entre mes doigts.

Curieusement, c’est un souvenir qui vient d’un passé trouble, d’une époque antérieure à mon arrivée au foyer pour garçons et…

Oh ! Je m'appelle David Hunter . C'est du moins le nom que m'a dit la matrone et sa parole fait loi ici. Je suppose qu'elle n'a aucune raison de mentir mais je suis consciente, en fait, nous sommes conscients du fait qu'elle est une menteuse consommée. Il existe plus d'un millier d'histoires de légendes (seulement quelques-unes en réalité, seulement qu'elles deviennent plus audacieuses à chaque fois ), racontées par des garçons à voix basse le soir après l'extinction des lumières, des histoires finement tissées avec juste assez de fil et agrémentées de suffisamment de fantaisie enfantine pour captiver notre imagination.

J'ai appris que la ville où nous étions s'appelait Chicago et que c'était ainsi que les garçons plus âgés, qui savaient beaucoup de choses, disaient qu'elle s'appelait. Ils prétendaient l'avoir vue sur un truc appelé une carte. Ce que cela signifie, je n'en ai aucune idée.

Dans les moments vraiment pénibles, quand les garçons plus âgés deviennent méchants et volent ma nourriture, je me demande souvent d’où je viens . La surveillante m’a dit qu’on m’avait déposée à la porte de la maison dans un panier avec des couvertures douces enroulées autour de moi. Il y avait une enveloppe attachée au panier, sur laquelle était écrit : « S’il vous plaît, gardez-le en sécurité, quelqu’un viendra le chercher un jour. »

On m'a dit ça il y a des années et personne n'est jamais venu. Certains garçons ont été adoptés, d'autres ont été réclamés par leurs familles et d'autres ont été emmenés dans des États pour un programme à grande échelle ou autre, mais personne n'est jamais venu me chercher.

J'étais de constitution plutôt frêle au cours de ces années. Peut-être un peu maigre, mais c'était peut-être parce que nous avions rarement assez à manger tout au long de l'année, sauf pendant les vacances et les fêtes religieuses, où nous recevions beaucoup de cadeaux et où les fonctionnaires de l'État se sentaient suffisamment rassasiés pour envoyer la totalité de la nourriture aux foyers. Je me souviens d'avoir toujours eu faim. C'est devenu une partie normale de ma vie, un vide lancinant qui ne se comblait jamais et qui était perpétuellement éveillé.

Les garçons sont déjà assez pénibles sans que la faim ne s'ajoute à l'équation et sa présence rendait parfois la vie à la maison horrible. Je me faisais souvent tabasser et ma nourriture était confisquée par des tigres affamés (des garçons plus âgés), j'étais ignorée et on ne me taquinait pas pendant les matchs parce que j'étais trop maigre et mes camarades me comparaient souvent à un poulet plumé.

Nous avions beaucoup de temps libre et nous le passions dans les rues de Chicago, parfois avec des courses à faire, le plus souvent sans la permission et sans l’accord du personnel de la maison, dont nous avions trois. Le vieux Sam qui était gardien de sécurité, concierge , homme à tout faire, mentor d’atelier et tant d’autres tâches à la fois. Nous avions la matrone qui était le général. Elle commandait