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L'orage qui changea tout T1: Roman jeunesse dès 9 ans
L'orage qui changea tout T1: Roman jeunesse dès 9 ans
L'orage qui changea tout T1: Roman jeunesse dès 9 ans
Livre électronique134 pages1 heure

L'orage qui changea tout T1: Roman jeunesse dès 9 ans

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À propos de ce livre électronique

⚡️ Et si une tempête pouvait transformer une vie ordinaire en destinée héroïque ?


« L'orage qui changea tout » est un roman jeunesse captivant dès 9 ans, entraînant les lecteurs dans une aventure spectaculaire où le quotidien devient extraordinaire !


Étienne, un jeune garçon sensible et souvent moqué par ses camarades de classe, peine à trouver sa place dans un environnement scolaire hostile. Un soir, alors qu'une violente tempête fait rage, un événement dramatique bouleverse à jamais son existence. Voulant sauver son chat d'une chute dangereuse, Étienne prend tous les risques et se retrouve frappé par la foudre.


? Des pouvoirs mystérieux, une quête de vérité, des défis inattendus… À son réveil, Étienne découvre qu'il possède désormais d'incroyables super-pouvoirs. Mais d'où viennent-ils, et pourquoi lui ? Son courage, sa détermination et sa capacité à croire en lui seront testés comme jamais auparavant.


? Un roman qui inspire petits et grands. Au-delà des super-pouvoirs et des scènes d'action trépidantes, ce livre aborde des thèmes universels tels que la confiance en soi, l'importance de l’amitié, le courage face aux difficultés et le dépassement de soi.


? Idéal pour les lecteurs de 9 à 13 ans, ce récit dynamique et plein d'émotion séduira les jeunes amateurs d'aventures héroïques et ceux en quête d'une histoire inspirante sur la force cachée en chacun de nous.

LangueFrançais
ÉditeurPublishdrive
Date de sortie15 juin 2024
ISBN9798991109680
L'orage qui changea tout T1: Roman jeunesse dès 9 ans
Auteur

C.R Martin

Massinissa Amrane, né le 20 septembre 1994 et connu sous le nom de plume Cédric Roland Martin, est un auteur passionné par l'écriture de romans destinés aux enfants. Depuis son plus jeune âge, il s'est plongé dans la lecture et les jeux vidéo, deux passions qui nourrissent son imagination. Son objectif est de concevoir des histoires captivantes, permettant aux jeunes de s'évader de manière ludique, tout en apportant un peu de magie et d'aventure à leur quotidien et en stimulant leur imagination.

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    Aperçu du livre

    L'orage qui changea tout T1 - C.R Martin

    Chapitre 1

    Le ciel, rougi par le soleil couchant, émerveillait Étienne, emplissant son esprit de rêves. Tout en admirant ce spectacle, le jeune garçon jetait un regard tendre sur Félix, son petit chat. Il aimait beaucoup ce félin — ils étaient nés le même jour. C’était la dernière soirée des vacances, et, à son grand regret, Étienne devait retourner à l'école dès le lendemain.

    Étienne était petit et frêle. Cela faisait de lui la cible des moqueries et des mauvaises blagues. Il n’aimait pas beaucoup le collège. Ce qu'il préférait, c'était rester avec sa mère et jouer à ses jeux vidéo. Son super-héros préféré était Spider-Man. Alors qu'il rêvait encore, perdu dans ses pensées, la voix de sa mère le ramena à la réalité :

    — Étienne ! Viens, le repas est prêt ! lança sa mère d'une voix douce mais ferme.

    — J’arrive, maman ! répondit-il.

    Pendant le dîner, la famille écoutait les informations :

    — Dernières nouvelles : le braqueur masqué a encore frappé ! Cette fois-ci, en plein après-midi. Une banque du centre-ville a été attaquée, et les coffres ont été vidés sous le regard terrifié des employés. Plus d’informations demain à midi, lors de la prise de parole du chef de la police.

    — Sacré bougre, dit le père en rigolant, il pourrait bien m’en donner un peu, de tout ce pognon qu’il pique !

    — Serge, tu n’as pas honte ? Devant le petit, en plus ! s’indigna la mère.

    — Honte de quoi, Geneviève ?

    — Mais enfin, c’est un voleur ! protesta la mère, les sourcils froncés.

    — Et alors ? rétorqua Serge. Il n’a blessé personne. Où est le problème ?

    — Je ne te comprends pas, vraiment ! Quel exemple donnes-tu à l’enfant?

    Étienne préféra rester en dehors de ce débat. Cela risquait de durer longtemps, et il n’avait pas envie de s’en mêler. Il apprécia plutôt son dessert, se lava les mains et les dents, puis monta dans sa chambre. Tout excité, il sortit son jeu préféré et l’inséra dans sa console : Spider-Man : peur sur la ville. Ce soir-là, avant de dormir, il sauva des vies, arrêta des braqueurs, sautant de toit en toit. Il se perdit dans son imagination, s’imaginant accomplir les mêmes exploits.

    Il devait sauver Laure, une camarade de classe — une fille qu’il n’osait même pas regarder en face. En manipulant sa manette, il se voyait lui voler un baiser avant de s’élancer encore pour sauver une autre victime. Il joua ainsi pendant une heure, jusqu’à ce que sa mère vienne lui dire :

    — Allez, Étienne, c’est l’heure. Éteins la lumière et va te coucher.

    Le garçon s’exécuta aussitôt. Quelques jeux étaient encore éparpillés par terre — cela pouvait attendre demain, après tout, ils étaient déjà là hier.

    La nuit, alors que la lumière de la lune baignait la chambre d'Étienne, un bruit étrange le réveilla. Ce bruit, il le connaissait bien. Sur le balcon, Félix, son petit chat, grattait à la fenêtre. Étienne se leva doucement, ouvrit la porte et gronda gentiment :

    — Oh, Félix ! Attention — la dernière fois, j'ai dû venir te chercher sur le toit. Passe par en bas la prochaine fois !

    Le chat entra sans hésiter et alla directement dans son panier. Étienne retourna sous sa couette et se rendormit rapidement, jusqu'à ce que le réveil ne vienne le tirer de son sommeil profond. Cet appareil, avec son bruit infernal, était devenu le pire cauchemar du garçon. Comme chaque matin, il l'éteignit d'un grand coup de poing.

    Il prit ensuite place à la table du petit-déjeuner, où un bon repas l'attendait. Tout en mangeant, il se préparait mentalement à affronter les moqueries de ses camarades. Il aimait apprendre, mais l'ambiance du collège lui pesait.

    Sur le chemin du collège, l'air glacial lui gelait les oreilles. C'est là qu'il croisa Mathis, un camarade de classe.

    — Alors, tu n'as pas ton petit pantalon vert aujourd'hui ? lança Mathis avec un sourire moqueur.

    — Arrête, ce n'est pas drôle, répondit Étienne, un peu las.

    — Parle pour toi !

    Puis, sans prévenir, Mathis baissa le pantalon du garçon et s'enfuit en riant. Sur le trottoir d'en face, deux autres garçons se moquaient déjà de lui. Accablé, il sentit la colère monter. Il explosa soudain :

    — Allez-vous arrêter de vous moquer de moi ? cria-t-il, la voix tremblante. Pourquoi faites-vous ça ? Je ne vous ai rien fait !

    Mais au lieu de s'arrêter, les rires redoublèrent. Étienne, rouge de honte, remonta son pantalon. C'est alors que Madame Janouex, sa professeure de français, arriva derrière lui. En la voyant, les enfants qui riaient prirent la fuite.

    — Mon pauvre, laisse-moi t'aider, dit-elle doucement.

    — Ah, bonjour, Madame, murmura-t-il.

    — Ne fais pas attention à eux, et...

    — Ah, ça suffit, madame ! C'est facile pour vous de dire ça, ce n'est pas vous qui recevez des boulettes de papier toute la journée ! Ce n'est pas vous qui êtes tout seul à la récréation ! Ce n'est pas vous qui vous faites insulter tous les jours !

    — Mais calme-toi...

    — Non, je ne me calmerai pas, j'en ai assez ! lança-t-il, furieux.

    D'ordinaire, il marchait lentement, mais cette fois, il accéléra le pas pour distancer sa professeure. Madame Janouex, qui n'était plus toute jeune, essaya de le suivre, mais ne parvint pas à le rattraper. La journée continua comme toujours, avec son lot de moqueries et de remarques blessantes. Le collégien en avait assez.

    Le soir, dans sa chambre, alors qu'un orage grondait dehors et faisait trembler les vitres, le jeune garçon espérait de l'aide. Il priait pour que tout s'arrête, pour que cette situation difficile se termine enfin.

    — S'il vous plaît, je ne sais pas qui peut m'entendre, mais faites que mes camarades cessent de m'importuner. Donnez-moi la force de lutter... s'il vous plaît, murmura-t-il.

    Une larme coula sur sa joue lorsqu'un bruit attira son attention. Son petit chat, Félix, grattait à la fenêtre. L'adolescent se leva pour lui ouvrir, mais une rafale de vent fit basculer le chat. Heureusement, le félin réussit à s'accrocher à la rambarde de la maison. Le petit animal escalada tant bien que mal la paroi et se retrouva sur le toit. Terrifié, il ne bougeait plus.

    — Papa, maman, vite, venez m'aider ! cria le garçon de toutes ses forces.

    La lumière du couloir s'alluma, ses parents arrivaient. Mais s'il n'agissait pas rapidement, son seul ami risquait de tomber. Prenant son courage à deux mains, il grimpa pour rejoindre Félix. Sur le toit, il avançait prudemment. La pluie battante et les rafales de vent le déséquilibraient peu à peu. Pour se maintenir, il s'accrocha à la seule prise qu'il trouva : l'antenne télé. Malheureusement, à ce moment-là, un éclair frappa l'antenne. Le collégien fut électrocuté sous les yeux horrifiés de ses parents.

    Quand il ouvrit les yeux, il ne savait pas où il se trouvait. Tout était noir. La dernière chose dont il se souvenait, c'était le toit glissant de sa maison, et Félix, tremblant de peur. Pris de panique à l'idée d'être devenu aveugle, il cria :

    — Au secours ! Au secours !

    — Étienne, oh Étienne, tu es réveillé ! s'exclama sa mère, qui était assise à ses côtés.

    En entendant sa voix, un grand soulagement envahit le garçon. Il répondit d'une voix tremblante :

    — Maman, je crois que je suis aveugle...

    — Non, tu n'es pas aveugle. Tu as juste un bandage sur les yeux, le rassura-t-elle.

    — Qu'est-ce qui m'est arrivé ?

    — La foudre, mon chéri... La foudre, répondit-elle en pleurant, le serrant contre elle. Ton père et moi, nous avons eu si peur.

    Étienne comprit alors. Il s'était fait électrocuter en touchant l'antenne au moment où la foudre l'avait frappée.

    — Et papa, où est-il ? demanda-t-il doucement.

    — Il est parti prendre un café ; il a veillé sur toi toute la nuit.

    — Mais... nous sommes à l'hôpital, n'est-ce pas ? Nous ne sommes pas chez nous ?

    — Oui, tu es à l'hôpital depuis quatre jours. Attends, mon chéri, je vais appeler une infirmière, dit sa mère en se levant.

    Étienne l'entendit s'éloigner. Il tourna la tête et perçut des sons étranges, des bruits qu'il n'avait jamais remarqués auparavant. En touchant la barrière de son lit, il sentit toutes les aspérités du métal, même les plus petites. Abasourdi, il essayait de comprendre ces sensations nouvelles. Tout en réfléchissant, il se rendit compte que son

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