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Le Combat d'Ève- Opération Serrurier
Le Combat d'Ève- Opération Serrurier
Le Combat d'Ève- Opération Serrurier
Livre électronique138 pages1 heure

Le Combat d'Ève- Opération Serrurier

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À propos de ce livre électronique

Les personnages du Combat d’Ève sont fictifs. Cependant, toutes les histoires et les incidents qu'elles contiennent, du personnel au public, sont basés sur des faits réels.Le Combat d’Ève est une série de douze livres, chaque livre ayant environ 20 000 mots et un écart de publication de deux mois. À la fin de chaque livre, vous trouverez des biographies des véritables héros et héroïnes notamment ceux des personnages incarnés par Eve Beringar, Guy Samson et Mimi Duchamp. Çà été un honneur de lire des histoires sur des personnes pleines de dignité et essentiellement courageuses. J’ose croire que vous serez épris par leurs parcours dans le Combat d’Ève.

LangueFrançais
ÉditeurGoylake Publishing
Date de sortie30 oct. 2024
ISBN9781667480558
Le Combat d'Ève- Opération Serrurier
Auteur

Hannah Howe

Hannah Howe ist eine offizielle Bestsellerautorin auf Amazon. Ihre Sam-Smith-Krimireihe war zehnmal an der Spitze der Amazon-Bestsellerliste und die Reihe Anns Krieg neunmal. Ihr eigenständiger Roman „Saving Grace“ erreichte außerdem bei seiner Veröffentlichung Platz 1 in Australien. Aktuell schreibt Howe weiter an der Sam-Smith-Krimireihe sowie an zwei neuen Reihen: „Eves Krieg, Heldinnen der Special Operations Executive“ und „The Olive Tree, A Spanish Civil War Saga“. Weitere Details finden Sie unter https://hannah-howe.com

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    Aperçu du livre

    Le Combat d'Ève- Opération Serrurier - Hannah Howe

    LE COMBAT D'ÈVE

    OPÉRATION

    SERRURIER

    LE COMBAT D'ÈVE

    OPÉRATION

    SERRURIER

    Hannah Howe

    Éditions Goylake

    © 2020 Hannah Howe

    Tous droits réservés.

    Le droit moral de l'auteur a été revendiqué.

    Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite, transmise, téléchargée ou stockée dans un système d’archivage, sous aucune forme ou par aucun autre moyen possible, sans l'autorisation écrite préalable de l'éditeur.

    Goylake Publishing, Iscoed, 16A Meadow Street, North Cornelly, Bridgend, Glamorgan. CF33 4LL

    Imprimer ISBN : 978-1-8380118-0-2

    Livre électronique ISBN : 978-1-9993709-9-2

    Imprimé et relié en Grande-Bretagne par Imprint Digital, Exeter, EX5 5HY

    Note de l’auteur

    Les personnages du Combat d’Ève sont fictifs. Cependant, toutes les histoires et les incidents qu'elles contiennent, du personnel au public, sont basés sur des faits réels.

    Le Combat d’Ève est une série de douze livres, chaque livre ayant environ 20 000 mots et un écart de publication de deux mois. À la fin de chaque livre, vous trouverez des biographies des véritables héros et héroïnes notamment ceux des personnages incarnés par Eve Beringar, Guy Samson et Mimi Duchamp.  Çà été un honneur de lire des histoires sur des personnes pleines de dignité et essentiellement courageuses. J’ose croire que vous serez épris par leurs parcours dans le Combat d’Ève.

    Les livres d'Hannah sont disponibles en version imprimée, en e-book, en audiobook avec des traductions en diverses langues en cours.

    La guerre d'Ève

    Opération Zigzag

    Opération Serrurier

    Opération Épée

    Opération Trésor

    Opération Sherlock

    Opération Camée

    Opération Rose

    Opération Horloger

    Opération Over lord

    Opération Jedburgh

    Opération Papillon

    Opération Liberté

    Le combat d'Ann

    Trahison

    Invasion

    Chantage

    S'échapper

    La victoire

    Roman autonome

    Grâce salvatrice

    ––––––––

    Série les mystères de Sam Smith

    La chanson de Sam

    Amour et balles

    Le grand frisson

    Éventreur

    L'Ermite d'Hisarya

    Secrets et mensonges

    Honneur de la famille

    Les péchés du père

    Fumée et miroirs

    Poussière d'étoiles

    Jeux d'esprit

    Creuser dans la terre

    Une parcelle de voleurs

    Boston

    Le Diable et Mme Devlin

    Neige en août

    À la recherche de Rosanna Mee

    L'olivier : une saga de la guerre civile espagnole

    Racines

    Branches

    Feuilles

    Fruit

    Fleurs

    À ma famille, avec amour

    Chapitre un

    Je jetai un coup d'œil au calendrier posé sur mon bureau sur lequel était marqué le 10 mars 1943. La date m'a rappelé que je travaillais comme secrétaire au ministère de l'Air depuis déjà un mois. Je trouvais ce travail fastidieux, monotone et ennuyeux. La vie au bureau était une routine confortable qui consistait à imprimer, classer et à répondre aux appelle téléphoniques, une vie qui est très loin d’être comparé à mon parcours dans la Résistance française à Marseille.

    Alors que j’imprimais une autre note relative aux dépenses des officiers, je me demandais : pourquoi le Ministère de l'Air avait été si désireux de m'embaucher. Peut-être voulaient-ils me surveiller à cause de mon engagement dans la Résistance et de mon évasion de France. Après plusieurs entretiens avec le personnel du ministère de l’Aire, j’ai senti qu’ils me faisaient confiance – après tout, j’avais aidé plus d’un millier d’aviateurs et de soldats à s’échapper de France.

    J'étais en probation. Il était donc tout à fait naturel que mes supérieurs scrutent mon travail. Cependant, j'ai senti que quelqu'un me suivait. Mieux encore, je savais que quelqu'un me suivait. À Marseille, un agent de la Gestapo m’a suivi pendant des mois. Par conséquent, je savais sentir les ombres.

    Le ministère de l'Air fouillait dans ma vie privée. Pourquoi est-ce que ma vie privée les intéresse autant ? Ils se trompent de personne s’ils espèrent trouver un délit dans mon passé, à Londres, je vivais comme une bonne sœur.

    Il est bien vrai qu'à Paris et à Marseille, j’étais une vraie fêtarde et j’ai pleinement vécu ma vie. Le fait est que ces jours ne m'ont pas vraiment manqué, peut-être parce que j’étais encore très jeune à cette époque, voire même adolescente.

    Sur mon bureau, le téléphone sonna. J'enlevai ma boucle d'oreille – une habitude que j'avais développée depuis que j'avais rejoint le ministère de l'Air. « Bonjour, ici Eve Beringar comment puis-je vous aider ? » j’interrogeai mon locuteur

    « Bonjour, Ève », dit une voix familière. « C'est Véra. Comment vas-tu ? »

    « Je vais bien », dis-je.

    « Est-ce qu'ils vous occupent beaucoup ? »

    « Oui je suis généralement très occupée », dis-je. Imprimer des documents inutiles. Mais ce n’est pas grave.

    De toutes les façons ces notes n’étaient en aucun cas la faute de Vera Penrose. Le fait est que, même si je trouvais ce travail frustrant, j’avais besoin d’argent. Par conséquent, je lui étais reconnaissante de m’avoir aidée à obtenir ce poste au ministère de l’Air.

    « Pouvez-vous me consacrer un peu de votre temps ? » demanda Véra. « J'aimerais que vous me rencontriez au 64 Baker Street. Empruntez un taxi nous couvriront les dépenses. En ce qui concerne le major Basset, je m’en occupe.

    J’ai jeté un coup d'œil à travers mon bureau vers le major Basset, mon supérieur direct, un homme qui ne tolérait aucune faute. En effet, le major Basset était strict et discipliné comme un militaire, ces qualités dont je n’en disposais pas, par conséquent, une fois en face de lui, je devais limitée mon sens d’humour. Il est vrai que nous étions en période de guerre, mais ce n’est pas pour autant que nous devons être privés de joies. Si on ne pouvait pas profiter de la joie de vivre, comment pourrait-on vivre ?

    Au téléphone, j’ai demandé à Vera : « quelle est l’optique de cette réunion ? »

    « Je ne puis pas tout vous expliquer au téléphone. S'il vous plaît, retrouvez-moi au 64 Baker Street. Je vous attends à seize heures précises.

    J'ai demandé la permission au Major Basset, qui sans tardé, il me l'a accordée. J'avais l'impression qu'il a depuis toujours attendu ce moment.

    Dans les rues de Whitehall, j'ai emprunté un taxi qui m’y attendait. Il s’est dirigé vers le nord sur le long de Regent Street jusqu'à Baker Street.

    Sur le chemin, j'ai remarqué les dégâts causés par les explosions dans la rue de Regent Street, dus en grande partie au blitz d'octobre 1940. Les réparations étaient évidentes. Les habitants déambulaient dans la rue. Les boutiques étaient ouvertes. On pouvait lire sur leurs visages la volonté de se battre.

    Dans la rue de Baker, je me suis dirigée vers le numéro 64, un immeuble gris de cinq étages. Le bâtiment semblait dégrader, mais Vera Penrose y travaillait. Elle entreprenait généralement des activités illégales, alors je me demandais quel mystère se cache derrière cette façade sobre.

    Une plaque noire sur le mur indiquait qu'il s'agissait du Bureau de recherche interservices. Cela sonnait comme une farce, un nom pour cacher une multitude de délits ?

    Dans le bâtiment, un ascenseur dégradé m'a emmené au cinquième étage où était situé le bureau de Vera Penrose. À l’intérieur du bureau, Vera était debout à côté de son bureau, mélangeant une brassée de dossiers.

    Étant dans ses trentaines, Vera Penrose mesurait environ 175.26 centimètres. Élégamment vêtu d'une jupe tailleur, de chaussures et des chaussons pratiques, elle avait des cheveux courts et ondulés qui embellissait un visage sceptique. Ses sourcils étaient bien tracés et ses yeux étaient remplis de sagesse et de détermination. On sentait à première vue qu'elle était une femme pleine de ressources. Au cours du mois précèdent, j'avais apprécié ses capacités d'organisation.

    « Je vois que vous êtes très ponctuelle », dit Vera en vérifiant sa montre-bracelet en argent. « Ponctuel. Cela fera plaisir au major général. »

    « Le major général ? » J'ai froncé les sourcils.

    « Cunningham. » Il aimerait vous rencontrer.

    Vera posa les dossiers sur son bureau. Puis je l'ai

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