Le Meilleur Ami de ma Mère

Par Stacy Quinn

J’ai dix-neuf ans et j’ai un coup de coeur pour le meilleur ami de ma mère, Bryan. Rien ne s’est jamais passé entre eux mais moi, j’ai bien peur d’être tombée sous son charme.

Fort, musclé, souriant et bien plus âgé que moi, je ne peux arrêter de penser à lui. J’ai beau essayer, il revient toujours dans mes pensées.

C’est mon mentor, mon compagnon de jogging, et finalement, je cède à mes désirs.

Mes tenues deviennent de plus en plus courtes et lorsque son instinct protecteur prend le dessus, nos envies seront plus fortes que notre raison.

(Ceci est une romance courte et chaude avec différence d'âge en français, pleine de language cru et torride, dédiée à un public averti)

• Langue: Français
• Éditeur: RomansBrûlants
• Date de sortie: 27 mars 2024
• ISBN: 9798224321902

Aperçu du livre

Chapitre Un

LYNNE

« Allez Bryan, dépêche toi, plus vite ! Je sais que tu peux le faire ! » Criais-je, tandis que de grosses gouttes de sueur dégoulinent de mon front et même jusqu’entre mes seins. 

« Mais merde Lynne, tu veux que je fasses une crise cardiaque ou quoi ?! » Ronchonna t-il. 

Ses mots étaient rythmés sur sa respiration essoufflée.  

« Attention Lynne ! » ajouta-t-il. « Ton lacet est défait! »

J’ai jeté un bref coup d’œil à mes pieds, j’étais chaussée de ma nouvelle paire de baskets blanches achetée la semaine dernière. Effectivement, j’avais bien mon lacet qui était défait.  Il avait dû se défaire en piétinant dans la forêt, sur des chemins recouverts de feuilles mortes.  

Nous arrêtant un instant, j’ai pris le temps de faire mes étirements et d’inspirer un grand bol d’air pur, avec les bonnes odeurs appréciables de la forêt.  On pouvait sentir l’odeur des morceaux de bois qui étaient en décomposition truffés de champignons. Il y avait des oiseaux qui chantaient un peu partout, et deux écureuils qui semblaient se disputer juste au-dessus de nos têtes. C’était le paradis, en tout cas pour moi. Bryan n’avait pas l’air de cet avis. 

Qu’est-ce que j’aimais la forêt à cette saison, c’était rempli de couleurs chaleureuses et vivantes. J’adorais tout particulièrement cet endroit pour venir y faire un jogging matinal. C’était le meilleur moyen de commencer une bonne journée et cela donnait la pêche du matin au soir. Mais le meilleur, c’était d’avoir Bryan comme partenaire de course. Bien que je le devançais cette fois, il me poussait toujours à m’améliorer, à faire de mon mieux, et j’aimais bien me mettre en avant devant lui. 

« Tu progresses bien Lynne, je suis impressionné ! » Bryan souffla en s’approchant de moi, trottinant, en attendant que je refasse mon lacet. « Il y a encore peu de temps, tu détestais la course à pied. Et regarde toi maintenant, j’arrive à peine à te suivre ! »

Je lui lançais un léger sourire. Les compliments de Bryan me faisaient toujours plaisir. Ça m’en donnait la chair de poule sur mes bras nus. J’étais  vêtue d’un petit short noir de sport et d’un débardeur. 

Bryan était notre voisin, mais également un ami de la famille. Quand maman et moi avons emménagé dans le quartier, nous avons tout de suite sympathisé avec lui. En tant que mère célibataire, maman accumulait deux emplois pour pouvoir joindre les deux bouts. Bryan a pris de son temps pour nous donner un coup de main par ci par là en faisant quelques travaux de jardinage, et réparer deux ou trois bricoles quand nous en avions besoin. Dès que nous avions un problème, nous savions vers qui nous tourner. 

Bryan était très serviable.

Alors que je m’arrêtais pour le regarder, je me demandais s’il rendait service à d’autres personnes comme avec nous. Je n’avais aucune hésitation là dessus, je me doutais bien que oui.

Ses cheveux noirs tombant sur ses tempes lui donnaient un côté sexy. Sa peau légèrement métissée, avec sa mâchoire carrée laissait apparaître ses fossettes, lui donnant un sourire parfait et étincelant.

Ce matin, il était habillé d’un tee-shirt montrant ses bras bronzés et musclés légèrement brillant par la transpiration. Lorsqu’il trottinait sur place, on pouvait voir clairement ses pectoraux bien dessinés. Mais la partie de son corps que je