SORCELLERIE ET PAGANISME - POUR LES SORCIÈRES ET SORCIERS MODERNES: Découvrez l’ancienne Sagesse des Traditions Païennes et Libérez le Pouvoir de la Magie Pour la Prospérité et le Succès Modernes

Par Amber Kaldera

Avez-vous toujours rêvé de découvrir les secrets de la sorcellerie et du paganisme ?

Voulez-vous libérer le pouvoir de la magie pour la prospérité et le succès?

Êtes-vous prêt à découvrir l’ancienne sagesse des traditions païennes?

Dans ce livre, on vous proposera un guide complet pour découvrir et comprendre les anciennes pratiques de la sorcellerie et du paganisme. L’auteur vous guidera à travers l’histoire, la mythologie et les traditions de ces pratiques anciennes, vous montrant comment utiliser ces connaissances anciennes pour améliorer votre vie.

Vous apprendrez comment libérer le pouvoir de la magie pour la prospérité et le succès, comment pratiquer de manière sûre et efficace, comment intégrer la spiritualité dans votre vie quotidienne et comment créer des sorts et des rituels personnalisés.

Ce livre vous apprendra : 

Unbloc de la magie pour la prospérité et le succès

Commentapprendre la sorcellerie et les pratiques païennes de manière sûre et efficace

Utiliserdes rituels anciens pour améliorer votre vie quotidienne

Adécouvrir l’histoire et la mythologie des traditions païennes

Commentintégrer la spiritualité dans votre vie quotidienne

Comment créer des sorts et des rituels personnalisés

Ce livre convient à la fois à ceux qui s’intéressent à la sorcellerie et au paganisme, et à ceux qui cherchent des conseils pour améliorer leur vie grâce à la spiritualité et à la magie.

Avec ce livre, vous aurez l’occasion de découvrir les secrets des anciennes traditions païennes et de libérer le pouvoir de la magie pour la prospérité et le succès.

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• Langue: Français
• Éditeur: Publishdrive
• Date de sortie: 24 sept. 2023
• ISBN: 9798890080783

Aperçu du livre

INTRODUCTION

Ce livre vise à offrir une image aussi complète que possible de la renaissance païenne dans le monde moderne, en se concentrant sur les croyances et les rituels de la religion wiccane. J’espère que certains malentendus seront dissipés en le faisant, et que certaines opinions éclairées seront fournies sans parti pris. De nombreux livres sur la Wicca ou l’artisanat ont été publiés ces dernières années, mais ils ont principalement été écrits par des dévots qui veulent promouvoir leur marque de croyance. Comme c’est le cas avec toutes les religions, ils propagent fréquemment des malentendus. Après tout, le Jésus authentique de Nazareth n’était pas comme sa représentation transmise au fil des ans par les différentes églises chrétiennes. Les païens eux-mêmes croient que les médias les comprennent mal et les traitent injustement. Caitlin Matthews a écrit sur leurs expériences avec une émission de radio de la BBC dans son nouveau livre Voices from the Circle, qu’elle a co-édité avec Prudence Jones. L’éditeur du programmeur avait coupé la bande pour inclure des interviews de membres du clergé radical et des ouï-dire sur les aspects négatifs du paganisme, en particulier la sorcellerie, sur certains individus déséquilibrés, même si tous les contributeurs avaient donné des interviews positives et stimulantes, soulignant les aspects bénéfiques et spirituels des diverses traditions païennes. Toutes ces interviews sont devenues discutables, voire carrément mauvaises, en raison de ce matériel, qui a été ajouté sans droit de réfutation.

La réponse journalistique à la résurgence païenne oscille entre condamnation sévère et moquerie des individus qui croient que danser en cercle et rendre heureux est un indicateur inévitable de folie. C’est le genre de littérature qui se délecte de balais et de chapeaux pointus, se concentrant sur un petit groupe d’auto-publicistes connus sous le nom de « Rent witch », qui savourent les projecteurs et donneront une interview à la chute d’un manteau noir. Dans le XXe siècle matérialiste, le paganisme est donc considéré comme un anachronisme et la poursuite inoffensive de quelques excentriques.

Malgré sa perception publique négative comme une force spirituelle maléfique ou une activité marginale folle, le paganisme dans ses différentes manifestations gagne en popularité, et un nombre important de personnes trouvent un accomplissement spirituel dans de telles croyances.

Il est essentiel d’établir quelques définitions fondamentales avant d’approfondir le sujet pour construire un cadre de référence. L’astrologie, la divination, la radiesthésie, les systèmes magiques tels que la Kabbale hébraïque, certains domaines de la médecine alternative, la théosophie, l’anthroposophie et la sorcellerie font partie des activités et des croyances couvertes par le terme « occulte », qui signifie « caché ».

Bien qu’il soit couramment utilisé à mauvais escient pour décrire les incroyants, le paganisme est dérivé du mot latin Pagani, qui signifie « habitants des campagnes ». D’autre part, le paganisme se considère comme la continuation d’une tradition fondée sur la nature qui ne s’est jamais complètement éteinte en Europe. Sa résurgence doit beaucoup à la rupture des anciens tabous dans les années 1960 et à la prise de conscience des dangers des catastrophes environnementales. Les païens disent que les principales religions du monde n’ont pas réussi à démontrer une attitude responsable envers les ressources naturelles de la planète et que leur idéologie est la seule véritable idéologie « verte ». La Fédération païenne, une organisation peu structurée mais responsable qui rassemble de nombreuses traditions au Royaume-Uni, a trois critères que chaque nouveau membre doit d’abord accepter:

C’est un sentiment de connexion et d’amour pour la nature, plutôt que l’attitude plus commune d’agressivité et de domination sur elle – le respect de l’énergie vitale et du cycle de la vie et de la mort qui ne finit jamais.

L’éthique païenne : « Faites ce que vous voulez, mais ne faites de mal à personne. » C’est une morale positive, pas une liste de tu-shalt-not. Chaque personne est responsable de reconnaître et de développer complètement sa nature réelle par son environnement.

Acceptation de la dualité de la divinité, de la réalité de la Déesse et du Dieu. Plutôt que de supprimer l’essence masculine ou féminine, la participation active à la danse cosmique de la Déesse et de Dieu, féminin et masculin, est encouragée.

Seuls les adeptes les plus intolérants des religions orthodoxes pouvaient considérer ces concepts comme préjudiciables. Le druidisme, les croyances nordiques, les adeptes du chamanisme indien nord-américain, le mysticisme oriental et les différentes écoles de Wicca ou de sorcellerie font tous partie de la culture païenne au Royaume-Uni. Tous les païens ne sont pas des sorcières, et toutes les sorcières ne sont pas païennes. Le paganisme se considère comme une religion non dogmatique divisée en plusieurs branches ou sectes, comme le sont la plupart des autres religions. « Le paganisme aspire à donner une méthode pour reconnaître et s’accorder aux nombreuses énergies de la nature, qui existent déjà à l’intérieur et à l’extérieur de nous et qui sont fondamentales pour notre survie, notre épanouissement et notre progrès », écrivent les auteurs dans une déclaration récente sur le paganisme moderne. Les païens se synchronisent intimement avec la planète en célébrant les saisons et en devenant un avec d’autres êtres vivants, et ils libèrent leurs personnalités et amplifient leur vision et leurs capacités dans l’intérêt d’eux-mêmes, de leurs organisations et communautés, et de l’humanité dans son ensemble.

Bien qu’il existe des preuves que de minuscules poches de sorcellerie ancienne ont persisté en Grande-Bretagne à travers les âges, la religion dominante qui en est issue est une fabrication ou un remake des années 1950. Les dernières lois survivantes contre la sorcellerie ont été supprimées en 1951, et un gars nommé Gerald Gardner a écrit un livre dans lequel il a partagé certaines de ses réflexions sur la question. Il a ensuite créé un coven et a inventé le terme « Wicca » pour décrire son nouveau mouvement. Parce qu’il avait une telle présence publique, ses idées ont immédiatement séduit beaucoup de gens, et elles ont été rapidement diffusées dans le monde entier. Bien que Gardner ait établi une base pour les rituels, ils ont été modifiés de diverses manières pour répondre aux besoins individuels. Aujourd’hui, de nombreuses variantes de la Wicca partagent plusieurs caractéristiques.

Il est important de se rappeler que le paganisme et la sorcellerie n’ont rien à voir avec le satanisme ou le culte des démons. Les païens ne croient pas au diable et le voient comme une aberration chrétienne ; Par conséquent, ils ne peuvent pas l’adorer. Certaines personnes le font, mais le monde païen peut difficilement être blâmé. D’autre part, la messe noire tant citée est une distorsion chrétienne. En théorie, un prêtre catholique romain défroqué et la capacité de bavarder la messe latine à l’envers tout en déféquant sur des symboles et des livres chrétiens sont nécessaires pour la célébrer. On ne sait pas ce que cet exercice est censé accomplir, sauf peut-être pour offrir aux ex-chrétiens l’occasion d’exprimer leur rage sur l’église.

La magie noire, en revanche, est une histoire très différente. Quiconque croit au pouvoir de la magie et est capable de le faire peut choisir entre la magie noire et blanche. D’un autre côté, si cette personne prend la décision délibérée de faire le mal, elle tombera sous le coup de la vieille règle naturelle du triple retour, qui soutient que le mal reviendra trois fois contre celui qui l’a commencé.

L’accusation la plus courante portée contre les sorcières est qu’elles sont impliquées dans la maltraitance des enfants. En 1988, cette accusation sans fondement a été mise au jour. Les jeunes filles étaient exploitées comme poulinières pour livrer des enfants à des sacrifices rituels, les jeunes étaient forcés d’assister à d’horribles perversions et de nombreuses personnes étaient rendues folles par des sorcières, selon une série d’articles dramatiques dans les nouvelles. Un groupe appelé Child Watch, un député conservateur, nommé Geoffrey Dickens, et plusieurs membres du clergé étaient derrière l’effort. Le Sunday Mirror du 30 octobre 1988 disait : « Bébés sacrifiés à Satan », avec le sous-titre « Mères forcées de regarder le massacre d’innocents dans les rituels de magie noire ». Bien qu’il ait été découvert que les accusations visaient une affaire en Amérique du Nord, la dame qui dirige Child Watch a allégué que des actions similaires avaient lieu au Royaume-Uni.

Néanmoins, aucune preuve concrète de ces actions n’a jamais été donnée, et tous les abus qui ont été documentés ont été le résultat de la pédophilie. Ces pervers s’habillent en robes, indiquant qu’ils aiment les films cruels, mais cela n’implique pas qu’ils sont des sorcières. Les parents d’enfants païens disent que les religions orthodoxes sont coupables de maltraitance des enfants. Pourquoi n’y a-t-il pas de tollé contre la mutilation rituelle de jeunes garçons dont le prépuce est enlevé de force alors qu’ils ne sont pas en âge de donner librement leur permission parce qu’ils sont nés dans des familles musulmanes ou juives ?

L’effondrement récent des cas rituels d’abus d’enfants à Rochdale, Orkney et Epping Forest a mis en évidence que la peur irrationnelle de l’occultisme et de la sorcellerie persiste en Grande-Bretagne, alimentée par certaines sections des médias, quelques députés et des bataillons de christianisme fondamentaliste. À la suite de travailleurs sociaux malavisés qui ont tiré de mauvaises conclusions, plusieurs familles se sont séparées. Néanmoins, un voyage dans n’importe quel magasin de location de vidéos révélera une large sélection de films sernipomographiques mal créés traitant de sacrifices de diables, de grands prêtres vêtus et d’étranges rites sexuels facilement accessibles sur les étagères. Les scénaristes ont récupéré les œuvres de Dennis Wheatley pour s’inspirer, ressassé le même vieux mélange de dépravation sous prétexte d’amusement. Pourquoi les gens le regardent-ils si mal?

Qu’ils soient physiques, sexuels ou psychologiques, les abus envers les enfants n’ont rien de nouveau. On a déjà supposé qu’il s’agissait de l’acte d’un « étranger méchant », mais dans des cas récents, les auteurs sont des membres de la famille de l’enfant. Toute forme de maltraitance d’enfants est odieuse, mais tenter de blâmer un certain groupe de personnes dilue le problème. La tentative d’établir que les sorcières sont des agresseurs d’enfants a commencé aux États-Unis et s’est rapidement étendue à toute l’Europe, où certains segments du mouvement évangélique l’ont accueillie avec enthousiasme. The Reach out Trust, Christian Response to the Occult, le Deo Gloria Trust et Child Watch ont été parmi les nombreuses organisations qui ont pris le train en marche bien financé, avec des effets qui ont changé la vie de nombreux enfants et de leurs familles. Des séminaires ont été organisés par des présentateurs ostensiblement « professionnels », en présence de travailleurs sociaux, d’enseignants et de policiers, où le concept d’abus satanique a été semé dans les esprits ignorants. Simultanément, les médias ont été submergés d’informations que de nombreux journalistes ont prises pour argent comptant. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est venue en avril 1988, lorsque M. Geoffrey Dickens, député de Littleborough et Saddleworth, a appelé à une discussion au Parlement sur la sorcellerie,