Explorez plus de 1,5 million de livres audio et livres électroniques gratuitement pendant  jours.

À partir de $11.99/mois après l'essai. Annulez à tout moment.

Secrets des dieux de 7 à 77 ans
Secrets des dieux de 7 à 77 ans
Secrets des dieux de 7 à 77 ans
Livre électronique328 pages2 heures

Secrets des dieux de 7 à 77 ans

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Après un accident de travail non reconnu en 1986, Michel est licencié et délaissé par la Santé publique. Il est aidé par le secteur privé qui traite sa fracture vertébrale en 1996. Malgré les mesures répressives prises à son endroit, notamment les internements psychiatriques, et les séparations familiales, Michel persiste à signaler ces abus. Ce livre est son plaidoyer pour la justice.


À PROPOS DE L'AUTEUR 


Quasi paralysé à la suite d’un accident de travail, Michel Rosenkrantz dénonce le système de santé publique. Il assimile les exactions de cette dernière, dont il est victime, à l’antique esclavage, cause de la Révolution française.
LangueFrançais
ÉditeurLe Lys Bleu Éditions
Date de sortie21 août 2023
ISBN9791037799135
Secrets des dieux de 7 à 77 ans

Auteurs associés

Lié à Secrets des dieux de 7 à 77 ans

Livres électroniques liés

Biographies et mémoires pour vous

Voir plus

Catégories liées

Avis sur Secrets des dieux de 7 à 77 ans

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Secrets des dieux de 7 à 77 ans - Michel Rosenkrantz

    Du même auteur

    Les racines françaises du mal, Éditions Sydney Laurent, 2021 (procédures).

    Introduction et références

    I

    Origine de ce document

    Sous notre régime oligarchique¹ chrétien maçonnique qui pratique actuellement l’antique esclavage,² cause de la Révolution de 1789, en 1986 à 40 ans, à la suite d’un accident de travail affectant les vertèbres lombaires, pour me spolier les indemnités correspondantes, la Santé publique viole mon cerveau en prétendant que ce sont mes facultés qui sont malades, que le corps est sain alors que les facultés sont impersonnelles³ et que je devais faire une « connaissance de Soi » où l’on voulait que je prie béatement leur Dieu/Esprit pour guérir en usant du fallacieux « libre arbitre ». L’accident n’a pas été reconnu, je fus licencié, paupérisé, les soins publics et les centaines de démarches m’avaient rendu quasi paralytique. Je décidai alors de faire ma propre « connaissance de Soi » ce qui m’orienta vers le privé qui m’a sauvé d’une paralysie certaine. En 1996, le privé dévoila une fracture des vertèbres qu’il a opérée. Je portai plainte pour fabrication de paralytiques mais les avocats refusent de m’assister interdisant tout jugement. Alors, je dénonce le crime à qui veut l’entendre. Pour m’empêcher de témoigner et d’obtenir justice, la STASI française me fait subir des exactions en ville et à domicile⁴, et depuis 1999, pour me décrédibiliser, m’embastille à répétitions en psychiatrie⁵, sans délire ni voie de fait de mon fait, où l’on m’empoisonne aux psychotropes⁶ sans jugement objectif ce qui ne permet pas d’obtenir la mainlevée. Ses événements m’ont séparé de mon épouse indonésienne, discriminée par l’État, et de ma famille française.

    II

    Pour me faire soigner,

    j’ai franchi les étapes suivantes :

    I. Origine de ce document

    II Pour me faire soigner, j’ai franchi les étapes suivantes :

    III Vocabulaire indispensable pour bien s’entendre

    Première partie : Transmission du savoir souvent par des conseillers

    IV Introduction sur la civilisation de Will Durant (WD)

    V Lao-Tseu, René Descartes, A Einstein, S Freud, Artur Schopenhauer et Francisque Bouillier, etc.

    Deuxième partie : Transmission de connaissances souvent par des conseilleurs

    VI Des croyances irrationnelles et des philosophies

    VII Croyances et philosophie indiennes

    VIII Religions inventées suite à l’invention du Véda puis d’Abraham : Judaïsme, Christianisme, Islam

    IX Conclusion sur les religions

    Épilogue

    Troisième partie : Les dirigeants

    X Loi de la religion laïque

    XI Sectes : Déité et adepte

    Quatrième partie : Savoir de Soi et connaissances de Moi

    XII Introduction

    XIII. Besoins personnels, Désirs et motivations impersonnels

    XIV Le Divin et Satan sont impersonnels

    XV L’âme ou savoir saint de mon histoire expérimentale (Soi)

    XVI Le discernement est personnel

    XVII « Conscience », raison, « libre arbitre »

    XVIII. Psychiatrie chimique : un poison physique et mental

    XIX Conclusion sur le savoir saint de Soi et connaissances de Moi

    XX Tableau : Savoir saint de Soi et connaissances de Moi

    Cinquième partie : L’antique esclavage

    XXI L’État est une secte

    XXII. Récapitulation

    XXIII. Les chansons Ah ! ça ira, ça ira & La Marseillaise

    XXIV. Mon phantasme qui peut être entaché par le songe

    III

    Vocabulaire indispensable pour bien s’entendre

    Idée, jugement et association d’idées (CGS⁷)

    Idée

    On nomme idée la représentation, l’image de quelque chose dans l’esprit.

    Quand l’on dit : « soldat », « patrie », aussitôt se peignent dans l’esprit :

    1° (soldat) Un homme vêtu d’un uniforme, porteur de certaines armes, etc.

    2° (patrie) La terre où l’on est né, où l’on a sa famille, sa maison, etc.

    Jugement

    Ces deux idées « soldat », « patrie », ainsi exprimées, sont isolées, mais il est facile de les rapprocher, de saisir le rapport qu’il y a entre elles.

    On appelle jugement l’opération par laquelle l’esprit, combinant plusieurs idées entre elles, les compare et, de ce rapprochement, tire une conclusion.

    Reprenons les deux idées ci-dessus. On en vient à se demander : que fait le soldat par rapport à la patrie ?... Et on formule aussitôt ce jugement : le soldat défend sa patrie.

    Association d’idées

    Souvent en pensant à un être, à un objet, on est amené à se représenter d’autres êtres, d’autres objets ayant avec les premiers un certain rapport, une certaine corrélation. C’est ainsi que le mot soldat éveille dans l’esprit les idées de caserne, armée, camp, bataille, fusils, canon, etc.

    On appelle association des idées l’opération par laquelle une image amène dans l’esprit d’autres images ayant avec elle des rapports plus ou moins directs.

    Savoir et connaissance

    Le savoir est l’expérience acquise en suant, la connaissance reste une allégation tant qu’elle n’est pas prouvée par notre expérience.

    La « connaissance de Soi »

    La « connaissance de Soi » est un oxymore, il faudrait dire : savoir saint de Soi ; savoir satanique et connaissances de Moi.

    Facultés/pulsions

    « Conscience », inconscient, Âme, volonté, raison, pensée, Désir, motivation, rêve, songe, Phantasme, etc. sont impersonnels.

    Le discernement est personnel. Nous y reviendrons.

    Soi et Moi

    Soi, ce sont les facultés/pulsions impersonnelles divines ?

    Moi, ce sont les facultés/pulsions impersonnelles sataniques ou indéterminées.

    Persuader et convaincre

    Je persuade avec nos expériences ou savoirs et je convaincs avec des connaissances dogmatiques ou bourrage de crâne, des séductions, une « kalachnikov », des psychotropes…

    Si je persuade, j’obtiens la paix, si je convaincs, ça finira par la guerre.

    Conseiller/conseil et conseilleur/suggestion

    Le conseiller donne des conseils bienveillants, le conseilleur est un hypocrite qui impose ses suggestions malveillantes.

    Les précurseurs de nos actions

    Artur Schopenhauer, Francisque Bouillier, S. Freud et mes mémoires démontrent que la « Conscience » (le Divin), Satan, la volonté, la raison, l’inconscient, la pensée, le Phantasme, etc. sont impersonnels et indépendants de l’humain. Il n’y a donc aucun coupable, seulement des responsables et des irresponsables.

    La volonté étant impersonnelle, le Divin bienveillant récalcitrant et Satan existent

    Nos idées se transforment ou non en actions, seuls des actes sont condamnables. À l’origine du tout, il y a deux déités « Dieu » et Satan, mais comme « Dieu » est un vocable galvaudé, je fais, comme suprêmes références, référence au Divin (Soi) et Satan (Moi). Le Divin et Satan sont impersonnels. Le Divin est bienveillant et récalcitrant, nommé ci-après Divin, il nous transmet son Jugement et sa Volonté sans signe ni révélation ni dialogue. Le discernement est une aptitude qui nous permet de séparer les signaux du Divin (Soi) et de Satan (Moi).

    Le Divin ne se laisse pas marcher sur les pieds ! il exige la Justice contre vent et marrée, sème la concorde, l’harmonie et le consensus.

    Satan n’a pour seule vocation que de semer la discorde.

    Les athées sont inconsciemment des croyants crédules.

    Dieu chrétien ou FM

    Le Dieu chrétien est satanique, il est les humains hypocrites qui prônent les facultés personnelles comme libre arbitre (volonté personnelle de faire quelque chose), volonté et raison personnels comme les pauliniens dont les francs-maçons, adeptes DÉITÉ et secte ADEPTE. Il est dit mensongèrement personnel et « divin » pour culpabiliser les croyants crédules. Il est nommé Dieu (pour Descartes c’est le Divin), Dieu FM ou FM. Les FM élisent des « Élus », initiés au « libre arbitre », qui ne sont que les sbires/vassaux de Satan. Les FM cooptent des sbires ou des personnes croyantes crédules chargés de persécuter les ignorants et les récalcitrants pour les asservir aux volontés de Satan. Le FM est un chrétien paulinien qui inonde des administrations, etc.

    Les mémoires

    Nous avons deux mémoires, l’Âme et la chair. L’Âme mémorise les expériences saintes et peut-être les connaissances saintes validées par le Divin, le reste est mémorisé dans la mémoire de chair (trouble), nous y reviendrons.

    Première partie

    Transmission du savoir

    souvent par des conseillers

    Le pire des gouvernements imaginables serait assurément celui des philosophes.

    Lao-Tseu

    L’intellectuel est un danger pour l’État.

    Lao-Tseu

    IV

    Introduction sur la civilisation de Will Durant (WD)

    William James Durant (WD)

    William James Durant (5 novembre 1885 – 7 novembre 1981), dit Will Durant, est un philosophe, un historien et un écrivain américain. Il est notamment l’auteur de nombreux articles de magazines ainsi que d’une Histoire de la philosophie (The Story of Philosophy), et d’une Histoire de la civilisation (The Story of Civilization), en 32 volumes (Éditions Rencontre, 1962) qu’il mit cinquante ans à écrire avec l’aide de sa femme Ariel, canadienne-française. (Wikipédia)

    Les conditions générales de la civilisation

    Résumés et extraits de Will Durant (WD) t1 (tome 1).

    WD, t1, p15-17 : La civilisation n’est, considérée dans son ensemble, que la création culturelle rendu possible et stimulée par l’ordre social. On peut y distinguer quatre éléments essentiels :

    La prévoyance appliquée à l’économie,

    L’organisation politique,

    Les traditions « morales » et la recherche de la connaissance et du développement artistique.

    L’évolution peut être contrecarrée par exemple par les facteurs :

    Géologie : les périodes glacières, tremblements de terre, raz de marée.

    Géographiques : la chaleur des tropiques et le pullulement de parasites associé « maladies, vieillesse précoce » impliquent prioritairement la satisfaction de la faim et de l’instinct de reproduction.

    Les conditions économiques du lieu d’existence : quelle que soit l’organisation politique, « la morale élevée, les arts » si l’existence dépend du hasard « de trouver du gibier », ce type de condition ne vaut rien. Par contre l’agriculture, qui s’est implantée en premier, permet de constituer des stocks pour les périodes infertiles alors, seulement, l’humain peut se fixer et prendre du temps pour observer les phénomènes régissant les planètes et leurs éléments, s’organiser méthodiquement compte tenu des quatre éléments essentiels vus ci-dessus, se civiliser, s’instruire naturellement et par transmission en continu, inventer (l’industrie), regarder l’évolution des espèces et leurs comportements, etc., transmettre à sa descendance l’héritage « intellectuel » et « morale » de sa « race (ethnie) ».

    T1, p19 : « … » Enfin on ne peut pas se passer d’un système d’éducation quelconque, d’une technique, si primitive soit-elle, qui serve à transmettre la culture acquise. Que ce soit par voie d’imitation, d’initiation ou d’instruction, que ce soit par le père ou la mère, le professeur ou le prêtre, il faut que l’héritage de la tribu et l’ensemble de ses traditions, sa langue et ses connaissances, sa morale et ses manières, sa technologie et ses arts, soient transmis aux jeunes, comme l’instrument même qui, de simples animaux qu’ils étaient, en feront des hommes.

    Les facteurs économiques de la civilisation

    T1, p22, fin-23 : Dès que l’indigène commence à penser au lendemain, il passe du jardin d’Éden au vallon de l’angoisse ; le pâle visage de l’inquiétude se penche sur lui ; la cupidité s’aiguise, le sentiment de propriété apparaît et toute la bonne humeur du primitif « insouciant » s’évanouit. Le nègre d’Amérique est en train d’accomplir cette évolution. « À quoi penses-tu ? » demandait Peary à l’un de ses guides esquimaux. « Je n’ai à penser à rien, répondit celui-ci, j’ai de la viande en abondance. »

    Ne pas penser tant que nous n’avons pas à penser, ne serait-ce pas la vraie sagesse⁸ ?

    T1, p26 : En même temps, la femme réalisait la plus grande des découvertes : la fertilité du sol « Dans la préhistoire, la femme fut la première à utiliser les graines comme semence, naissaient les cultures maraîchères. »

    T1, p27 : (note de bas de page) remarquez l’identité des mots : provision, prévision, providence et prudence.

    T1, p35 : Certaines peuplades primitives, comme les Veddahs de Ceylan, n’avaient aucun abri et se contentaient, comme demeures, de la terre et du ciel.

    T1, p39 : C’est le commerce qui a apporté l’argent et le profit, la propriété était inexistante et on pouvait se contenter d’un gouvernement élémentaire. L’instinct de la propriété ne s’appliquait qu’aux objets personnels et usuels, mais il s’y appliquait si vigoureusement qu’on les enterrait souvent (même la femme) avec leur propriétaire ; « la terre, disent les Indiens Omaha, est comme l’eau et le vent, qui ne peuvent se vendre. »

    Communisme et individualisme

    T1, p40 : (le communisme apporte la sécurité du groupe⁹ et partage dans les périodes de disettes, en égalisant la pauvreté, mais il favorise les paresseux et l’entretien de la pauvreté dans les périodes d’abondance ; l’individualisme stimule les talents, apporte les richesses, l’esclavage…) note pages 42-43 : « le rêve du communisme apparaît dans les sociétés modernes comme un souvenir persistant dans l’accomplissement d’une vie plus simple et plus égale et quand l’inégalité et l’insécurité semblent ne plus pouvoir être supportées, les hommes souhaitent de revenir à une condition qu’ils embellissent inconsciemment en oubliant la pauvreté qu’elle entraînait avec elle pour ne se ressouvenir que de l’égalité qu’elle réalisait. »

    T1, p45 note : « Le flot d’inventions nouvelles que nous avons appelé la Révolution industrielle a énormément intensifié l’inégalité naturelle qui existe entre les hommes. »

    Les facteurs politiques de la civilisation

    (Information partiellement censurée par les esclavagistes, vu le 11/02/2019)

    Probablement avant l’invasion occidentale de l’Amérique du XVIIe s, les tribus indiennes conclurent un acte de paix qui leur permirent de vivre pendant 300 ans sans guerre et sans prison pour les fautifs : ne pourraient-ils pas nous enseigner cette expérience ?

    T1, p48 : Aux USA, les Indiens Omaha étaient gouvernés par un Conseil des Sept qui devait délibérer jusqu’à ce que l’unanimité ait été obtenue.

    Exemple à l’école d’ingénieur en 1988 : Technique de communication qui pourrait être celle dite du « nid d’abeilles » qui consiste à écouter toutes les propositions afin de convenir des solutions les plus appropriées à la communauté. Elle se pratique en groupes de huit, chaque groupe choisit une ou deux propositions et délègue leur pouvoir à une interlocutrice ou un interlocuteur ; ensuite, les personnes déléguées sont rassemblées en un seul mini groupe. Ce mini groupe fait écrire à un volontaire toutes les propositions sur un tableau ; alors, le mini groupe ordonne les propositions en fonction de l’intérêt de la communauté. Dans mon expérience, à 75 élèves ingénieurs, nous avons réparti un budget de 250.000F (38 000 €) pour fixer les idées, sur déférentes formations avec le souci de satisfaire le plus grand nombre de formations sollicitées par les élèves.

    Je propose la suppression des partis politiques et d’organiser la société en « nids d’abeilles ». Les premiers nids résulteraient d’un vote à main levée ou par tirage au sort d’électeurs par quartier de chaque mairie.

    T1, p49 : C’est la guerre qui a créé le chef, le roi et l’État, et c’est le chef, le roi et l’État qui, à leur tour, font la guerre.

    T1, p50 : Pendant trois cents ans, la Confédération iroquoise a réussi à maintenir la « Grande Paix ».

    Pourtant il faut bien reconnaître que, dans l’ensemble, la guerre a été, pour les nations et les peuples primitifs, le principal facteur de la sélection naturelle.

    T1, p51 : Si la propriété a été la mère de l’État, on peut dire que la guerre en a été le père. « L’État, dit Gumplowiez, est le résultat de la conquête, il naît de la domination, comme caste dominatrice, des vainqueurs sur les vaincus. » « L’État, dit Sumner, est le produit de la force et se maintient par la force. »

    T1, p53 : « Faute d’un pouvoir autocratique, dit Spencer, la société n’aurait jamais pu évoluer. »

    La religion permet aussi de faire des économies de policiers…

    La religion est de trois ordres : mythes, textes sacrés et doctrines.

    T1,

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1