Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Passionné: Le Club des éternels célibataires, #6
Passionné: Le Club des éternels célibataires, #6
Passionné: Le Club des éternels célibataires, #6
Livre électronique237 pages

Passionné: Le Club des éternels célibataires, #6

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Rochelle Wright est enquêtrice au sein de la Commission des Opérations de Bourse et ne vit que pour son travail. Mais, parfois, elle a besoin de se défouler.

Elle passe alors la nuit avec un charmant inconnu qu'elle pense ne jamais revoir.

 

Le magnat des affaires, Zach Ivers, est beau, célibataire et récolte un certain succès. Mais tout son monde se voit bouleversé lorsque la COB enquête soudainement sur lui pour délit d'initié. Et l'agent à la tête de cette enquête n'est autre que la jolie Rochelle, dans les bras de laquelle il a passé la nuit.

 

Bien que se trouvant soudain dans des camps opposés, Zach et Rochelle voient la passion de leur nuit précédente s'enflammer à nouveau. Mais en s'y abandonnant, Rochelle risque toutefois de compromettre son emploi. Et Zach, son entreprise.

 

Le Club des éternels célibataires :
Tome 1 – Séduisant
Tome 2 – Attirant
Tome 3 – Envoûtant
Tome 4 – Torride
Tome 5 – Attrayant
Tome 6 – Passionné

LangueFrançais
ÉditeurTina Folsom
Date de sortie13 févr. 2023
ISBN9781956132649
Passionné: Le Club des éternels célibataires, #6

Auteurs associés

Lié à Passionné

Titres dans cette série (6)

Voir plus

Romance de milliardaires pour vous

Voir plus

Catégories liées

Avis sur Passionné

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Passionné - Tina Folsom

    PASSIONNÉ

    Le Club des éternels célibataires — Tome 6

    par

    Tina Folsom

    © Tina Folsom, 2021 pour la traduction française, 2015 pour le texte original

    Résumé

    Rochelle Wright est enquêtrice au sein de la Commission des Opérations de Bourse et ne vit que pour son travail. Mais, parfois, elle a besoin de se défouler.

    Elle passe alors la nuit avec un charmant inconnu qu’elle pense ne jamais revoir.

    Le magnat des affaires, Zach Ivers, est beau, célibataire et récolte un certain succès. Mais tout son monde se voit bouleversé lorsque la COB enquête soudainement sur lui pour délit d'initié. Et l'agent à la tête de cette enquête n'est autre que la jolie Rochelle, dans les bras de laquelle il a passé la nuit.

    Bien que se trouvant soudain dans des camps opposés, Zach et Rochelle voient la passion de leur nuit précédente s'enflammer à nouveau. Mais en s'y abandonnant, Rochelle risque toutefois de compromettre son emploi. Et Zach, son entreprise.

    1

    Zach Ivers tapa du poing sur son bureau et dévisagea, stupéfait, son juriste, Rick Bourdon. Avait-il bien entendu?

    — La Commission des Opérations de Bourse enquête sur moi pour un présumé délit d’initié ?

    C’était la dernière chose dont il avait besoin en ce moment.

    — C’est impossible ! ajouta-t-il.

    — Ma source est fiable. Elle ne m'a jamais donné de fausses infos, Zach. L'agent Wright va se présenter ici, demain.

    Rick desserra sa cravate et souffla.

    — Nous devons nous y préparer.

    Zach bondit de son siège en cuir et se pencha par-dessus le bureau.

    — Je n’ai rien fait de mal, bon sang ! Quelqu’un essaie de me mettre ça sur le dos. Rick, tu dois découvrir qui c’est.

    Rick allait et venait devant le bureau de Zach.

    — Plus facile à dire qu’à faire. Ma source ne sait ni en quoi consiste le tuyau que la COB a reçu ni pour quel motif elle a l’a jugé suffisamment crédible pour entamer une enquête. Putain, s’ils découvrent que nous avons été prévenus, alors cette affaire prendra une tournure encore plus désagréable.

    Zach renifla.

    — Eh bien, le timing est tout simplement parfait. Demain, trois de mes plus gros actionnaires arrivent. S'ils ont le moindre soupçon de cette enquête, je peux faire une croix sur leur appui en ce qui concerne le nouveau projet en Russie. Et sans ces trois-là, je n’obtiendrai pas suffisamment de votes au conseil.

    — Davenport, Leech et Grover? demanda Rick.

    Zach hocha brièvement la tête.

    — Veux-tu que j’essaie de voir si on peut postposer la réunion avec eux ? proposa le juriste.

    — Non. Cela ne les rendra que méfiants. Demain, je crains d’avoir à affronter tant les actionnaires que la COB.

    Zach se frotta le menton et regarda à travers les baies vitrées. Le soleil était juste en train de se coucher sur Manhattan. Mais ce soir, il ne pouvait apprécier cette magnifique vue qui s’offrait à lui depuis le soixantième étage de son immeuble administratif.

    — Rentre chez toi, Rick, et laisse-moi réfléchir.

    Son avocat fit quelques pas en direction de la porte, puis s’arrêta.

    — Il y a autre chose.

    Se sentant à présent fatigué, Zach tourna la tête et regarda Rick.

    — D’autres mauvaises nouvelles ?

    Dans son costume gris, Rick laissa retomber les épaules et parut, soudain, dix ans plus vieux.

    — Cet agent Wright est supposé être du genre limier. Quoi qu’il cherche, il n’abandonnera pas facilement. Fais attention.

    Il hésita.

    — Et, désolé.

    Zach haussa les épaules.

    — Ce n'est pas ta faute, Rick.

    Il se passa les doigts dans sa chevelure noire.

    — Rentre auprès de ta femme. De toute façon, tu ne peux rien faire dans l’immédiat.

    Rick acquiesça.

    — Veux-tu que je sois à tes côtés quand la COB arrivera demain matin ?

    — Il vaut mieux pas, sinon ils suspecteront que nous avions connaissance de leur venue. Ce sont les affaires, comme d’habitude. Je t’appellerai si j’ai besoin de toi. Bonne nuit, Rick.

    — Bonne nuit, Zach, répondit Rick en quittant le bureau.

    Lorsque la porte se referma derrière lui, un silence mortel s’abattit dans l’immense pièce. Zach laissa errer les yeux. Tout cela lui appartenait. Il l’avait bâtie lui-même : Ivers International, une entreprise possédant des intérêts commerciaux dans le monde entier. Sa fortune personnelle s'élevait à des centaines de millions de dollars; l'entreprise elle-même valait des milliards. Il était toujours PDG et président du conseil car, à trente-cinq ans, il ne pouvait pas déjà imaginer arrêter de travailler. Que ferait-il d’autre ? Il adorait le défi.

    Même s’il pouvait être sans scrupules dans les négociations, Zach n’avait jamais utilisé de méthodes illégales pour obtenir ce qu’il voulait. Tout le monde le savait. Et tout le monde le respectait pour cela. Et, à présent, la COB voulait ruiner sa réputation en essayant de prouver qu’il avait commis un délit d’initié ? Sans parler du fait que ce délit était passible d'une peine de prison et d'une amende importante.

    Il pouvait perdre sa compagnie.

    — Putain ! jura-t-il, les dents serrées.

    Il ne fallait pas imaginer le pire. Il devait demeurer positif. Après tout, la COB ne détenait aucune preuve de délit d’initié à son encontre, car il avait toujours enregistré toutes ses transactions en actions de la société conformément au Code de Déontologie Boursière.

    Zach se rassit à son bureau et décrocha le cornet du téléphone. Dans l’immédiat, ce dont il avait besoin, c’était un verre avec ses amis. Cela l’aiderait à se changer les idées.

    Il composa presque automatiquement le numéro de Jay, mais hésita. Il ne pourrait pas le joindre. Jay était sur son yacht avec Tara, sa fiancée, tout aussi amoureux que ses amis Paul et Daniel. Tous deux avaient épousé l’amour de leur vie et, bien que résidant à Manhattan, ils étaient moins disponibles pour des soirées impromptues entre garçons. L’épouse de Daniel, Sabrina, était sur le point de donner naissance à leur premier enfant, et celle de Paul, Holly, n’avait que trois mois de retard sur elle.

    Zach composa le numéro suivant qu’il connaissait par cœur et écouta la sonnerie.

    — Salut Zach, quoi de neuf ? répondit Xavier.

    — Bonsoir Xavier. Tu as le temps pour un verre ? On se retrouve au Fountain Bar ?

    — Zut, je ne peux pas. Je suis de sortie avec les Japonais. Tu sais comment ils mènent les affaires : une soirée dans un bar à karaoké. Cela n’a rien d’exceptionnel. Tu veux te joindre à nous ?

    Zach roula des yeux.

    — Jamais de la vie ! Amuse-toi bien !

    — Tu rates quelque chose, le prévint Xavier en riant.

    — Oui, bien sûr. Je vais plutôt voir avec Hunter.

    — Hunter ne sera pas de retour des Hamptons avant demain.

    — Tu en es sûr ?

    — Oui, il a appelé cet après-midi.

    — Eh bien, merci. À plus tard.

    Zach raccrocha et composa à nouveau un numéro.

    Il y eut quatre sonneries, mais son ami Wade ne répondit pas.

    — Allez, mon pote, que se passe-t-il, ce soir? se murmura-t-il. Il n’éprouvait, d’ordinaire, jamais de difficultés à trouver un ami désireux de se joindre à lui pour un verre.

    Il composa le dernier numéro et tapota des doigts sur son bureau en acajou.

    — Zach, répondit Michael, d’une faible voix. Quelque chose d’important?

    — Non, pas vraiment. Mais peut-être voudras-tu m’aider à vider une bouteille au Fountain Bar, ce soir.

    Michael se mit à rire discrètement.

    — Oh, je vais vider une bouteille, d’accord, mais pas avec toi. À moins que tu ne te sois transformé en blonde aux formes pulpeuses. Je l’attends en ce moment.

    — J’ai peur de ne pas posséder ce que tu recherches, répliqua Zach, légèrement déçu. Je connais la chanceuse?

    — Dieu merci, non. Sinon tu me l’aurais piquée sous le nez. Cette fois, j’y suis arrivé en premier.

    Zach secoua la tête en riant. Michael était un beau mec, avait de l'argent, du charme et était populaire auprès des dames. La compagnie féminine ne lui faisait jamais défaut.

    — Eh bien, je te souhaite une bonne nuit, alors.

    — Hum, dit Michael. La voilà. Oh, ouais, vraiment une bonne nuit… Elle semble encore plus délicieuse qu’à la lumière du jour. J’dois y aller…

    Il y eut un clic. Michael avait raccroché.

    Zach reposa le cornet sur son socle. Apparemment, ce soir, il devrait sortir seul s’il voulait se vider la tête et se relaxer avant le lendemain.

    Il attrapa sa veste posée sur le dossier du fauteuil et la lança par-dessus son épaule. Le bureau situé de l’autre côté du sien était vide. Son assistante était partie une heure plus tôt.

    Dans le silence le plus complet, il prit l’ascenseur jusqu’au premier étage, puis traversa le grand vestibule à la façade vitrée.

    — Bonne nuit, Monsieur Ivers, lui lança le responsable de la sécurité.

    — Bonne nuit, répondit-il, avant de sortir dans la douceur de cette nuit d’été.

    2

    Rochelle Wright pressa le téléphone portable contre son oreille et prit une profonde inspiration afin de prononcer les paroles qu’elle aurait dû dire depuis longtemps.

    — Steve, je ne peux pas toujours te tirer d’affaire. Autrement, tu n’apprendras jamais à te débrouiller seul.

    Voilà ! Elle avait dit ce qu’elle avait sur le cœur. Le silence l’accueillit à l’autre bout de la ligne. Avait-il raccroché ?

    — Allez, sœurette.

    Visiblement pas. Son frère n’avait pas encore abandonné.

    — Tu ne peux pas presser un citron déjà sec. Je ne peux plus te donner d’argent. Je n’ai plus rien. De plus—

    — Ce n’est pas vrai, l’interrompit-il, outré. Tu as un boulot fabuleux. Ils te paient une blinde d’argent.

    — Dont j’ai besoin pour vivre. As-tu la moindre idée de ce que coûte mon minuscule appartement ? Et chaque année, ils augmentent le loyer.

    Du coin de l’œil, Rochelle vit le barman lui lancer un regard.

    — Alors, pourquoi ne quittes-tu pas Manhattan ? C’est bien moins cher dans le Queens ou le Bronx.

    Son commentaire l’agaça davantage.

    — Et passer deux heures dans le métro tous les jours, juste pour aller travailler ?

    Elle souffla d’un air désapprobateur, non seulement fâchée contre son frère, mais également contre elle-même. Comment avaient-ils abordé ce sujet ? Il ne s’agissait pas d’elle dans cette dernière querelle familiale, mais bien de son bon à rien de frère.

    — Et ne change pas de sujet, ajouta-t-elle, rapidement. Je ne suis pas une tirelire dans laquelle tu peux puiser à chaque fois que tu perds de l’argent dans une de tes affaires farfelues.

    — Ce n’est pas juste, Rochelle, se plaignit-il.

    — Pas juste ? As-tu compté le nombre de fois où tu m’as demandé de l’argent pour te sortir d’une situation fâcheuse ?

    Elle, elle l’avait fait.

    — Une fois de trop, précisa-t-elle.

    — Allez, Rochelle, c’est la dernière fois. Je te le promets, dit Steve en tentant de l’amadouer.

    Elle secoua la tête.

    — Tu es mon frère, et je t’aime. Mais il est temps que tu apprennes que tes actions ont des conséquences. Et c’est toi qui en es responsable.

    Elle écarta le portable de son oreille et appuya sur la touche Raccrocher. Cela lui fit plus de mal qu’à son frère. Constamment courir à son aide avait probablement contribué à ce qu’il échouât dans tout ce qu’il entreprenait. Après tout, elle était son filet de sécurité. Pas étonnant que Steve n’eût pas la moindre motivation à faire fonctionner les choses : il savait qu’il pouvait toujours se rabattre sur elle. Peut-être était-il temps, pour lui, d’apprendre à se débrouiller seul.

    Tout en soupirant, Rochelle déposa son portable sur le bar et vida son cocktail.

    — Problèmes de famille ? demanda le barman en s’approchant d’elle avec un sourire compatissant.

    Elle roula des yeux.

    — Malheureusement, on ne choisit pas sa famille.

    Il hocha la tête.

    — Ouais, vous n’êtes pas la seule à avoir ce problème.

    Il désigna son verre vide.

    — Un autre ? proposa-t-il.

    — Oui, s’il vous plaît.

    Tandis qu’il s’affairait à mixer sa boisson, Rochelle laissa errer les yeux dans l’établissement. C’était tranquille. Seuls quelques clients étaient assis autour des petites tables, discutant calmement. Depuis les haut-parleurs, une musique jazz moderne procurait une ambiance plaisante. Normalement, Rochelle ne sortait pas dans le quartier de Midtown mais, ce soir, elle avait dû aller faire une course après le travail et était passée, par hasard, devant ce bar engageant. Un peu stressée par le boulot et la pression que son patron exerçait sur elle, elle était entrée sans trop de cérémonie.

    — Et voilà.

    Le barman déposa la boisson devant elle et lui tendit la main.

    — Lance.

    Elle la lui serra.

    — Rochelle, se présenta-t-elle. Est-ce toujours aussi calme, ici ?

    — Occasionnellement, les lundi. Mais du jeudi au samedi, c’est sans répit, ici. Aujourd’hui, ce sont des réguliers, pour la plupart.

    Il marqua une pause.

    — Je ne vous ai encore jamais vue, ici.

    — Je travaille au centre-ville et je vis à East Village. Je suis rarement dans ce quartier. Mais, ce soir, j’avais besoin d’un verre.

    Lance désigna le téléphone portable.

    — À cause de ça?

    Elle soupira. Si Steve n’était que son unique problème, sa vie serait une part de gâteau. Mais il se passait beaucoup de choses à son travail, ce qui la rendait mal à l’aise. Son patron, Todd Yochum, étant l’un de ces problèmes. Depuis qu’elle avait été claire sur le fait qu’elle ne fût pas intéressée par lui, il l’avait mise sous pression. S’il espérait l’adoucir de cette façon, il avait tort. Le sans-abri à l’arrêt de bus avait une plus grande chance de se la taper que son arrogant de chef.

    — Entre autres. Malheureusement, mon frère a toujours des problèmes d’argent et pense que je suis sa banque privée.

    — Eh bien, au moins, mes frères et sœurs savent qu’ils n’iraient pas bien loin avec moi en ce qui concerne l’argent.

    Il désigna la pièce tout autour de lui.

    — Malheureusement, tout ceci ne m’appartient pas. Je ne fais que travailler ici. Travaillez-vous à Wall Street ?

    Lance supputait probablement qu’elle travaillât pour un agent de change. Elle le laissa donc y croire.

    — Quelque chose dans le genre. Depuis combien de temps êtes-vous barman, ici ?

    — Quelques années. C’est chouette. Je rencontre beaucoup de gens intéressants.

    La porte s’ouvrit, et Lance regarda dans cette direction.

    — Ah, un habitué. Excusez-moi un instant, s’il vous plaît.

    Il lui adressa un hochement de tête et se dirigea à l’autre bout du long comptoir en bois.

    — Hé, Zach ! Comment ça va?

    Rochelle prit une gorgée de sa boisson et permit à ce délicieux liquide d’envelopper sa gorge.

    — Longue journée, répondit le nouveau venu.

    Sa voix était grave et apaisante, et Rochelle ne put s’empêcher de lancer un regard dans sa direction.

    — Comme d’habitude ? demanda Lance.

    — Aujourd’hui, j’ai besoin de quelque chose d’un peu plus fort.

    Il désigna la rangée de bouteilles de whisky alignées derrière le bar.

    — Un Maker’s Mark, sec.

    Rochelle parcourut du regard cet homme à qui Lance s’était adressé comme étant Zach. Il avait un élégant profil. Un nez droit, de saillantes pommettes, un menton carré. Il avait une barbe d’un jour. Les cheveux foncés, presque noirs et courts. Il avait la main posée sur le bar et ne portait aucune bague aux doigts. Étrangement soulagée, Rochelle leva à nouveau les yeux vers son visage.

    Elle en eut le souffle coupé.

    Zach la regardait droit dans les yeux. À en juger par l’expression de son visage, il avait remarqué qu’elle l’examinait comme s’il était présenté aux enchères.

    Une certaine chaleur s’éleva en elle, la faisant rougir. Rapidement, elle détourna la tête et tendit la main vers son verre. Mais pas même la gorgée de son cocktail bien frais ne put la rafraîchir. La main tremblante, elle redéposa le verre sur le comptoir. Elle voulait s’éventer à l’aide des mains, mais ne le pouvait, car l’homme sexy assis à l’autre bout du comptoir le remarquerait.

    Oui, l’homme sexy, car

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1