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Envoûtant: Le Club des éternels célibataires, #3
Envoûtant: Le Club des éternels célibataires, #3
Envoûtant: Le Club des éternels célibataires, #3
Livre électronique226 pages

Envoûtant: Le Club des éternels célibataires, #3

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À propos de ce livre électronique

Pour Sabrina et Daniel, la route qui mène au bonheur a été longue, sensuelle et semée d'embûches. Mais enfin, ils se marient !

Ils décident de se dire oui dans un cadre romantique et idyllique, sur une plage des Hamptons. Cependant, leur mariage de rêve et leur avenir radieux se retrouvent soudain menacés lorsqu'un article de journal révèle que Sabrina est une ancienne escort-girl.

 

Précédemment publié sous le titre L'épouse attitrée

 

Séduisant, Attirant et Envoûtant forment une trilogie racontant la relation amoureuse entre Daniel et Sabrina. La série « Le Club des éternels célibataires » se poursuit avec l'histoire de sept séduisants célibataires new-yorkais qui vont chacun trouver l'amour sur leur chemin.

 

Les trois premiers livres du Club des éternels célibataires doivent être lus dans l'ordre, mais les suivants peuvent être lus de façon indépendante.


Tome 1 : Séduisant
Tome 2 : Attirant
Tome 3 : Envoûtant
Tome 4 : Torride
Tome 5 : Attrayant
Tome 6 – Passionné

LangueFrançais
ÉditeurTina Folsom
Date de sortie13 févr. 2023
ISBN9781942906100
Envoûtant: Le Club des éternels célibataires, #3

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    Aperçu du livre

    Envoûtant - Tina Folsom

    Envoûtant

    Le Club des éternels célibataires — Tome 3

    par

    Tina Folsom

    Traduction : Constance de Mascureau

    © Tina Folsom, 2015 pour la traduction française, 2014 pour le texte original

    Précédemment publié sous le titre L’épouse attitrée

    Résumé

    Pour Sabrina et Daniel, la route qui mène au bonheur a été longue, sensuelle et semée d’embûches. Mais enfin, ils se marient !

    Ils décident de se dire oui dans un cadre romantique et idyllique, sur une plage des Hamptons. Cependant, leur mariage de rêve et leur avenir radieux se retrouvent soudain menacés lorsqu’un article de journal révèle que Sabrina est une ancienne escort-girl.

    Précédemment publié sous le titre L’épouse attitrée

    Séduisant, Attirant et Envoûtant forment une trilogie racontant la relation amoureuse entre Daniel et Sabrina. La série « Le Club des éternels célibataires » se poursuit avec l’histoire de sept séduisants célibataires new-yorkais qui vont chacun trouver l’amour sur leur chemin.

    Les trois premiers livres du Club des éternels célibataires doivent être lus dans l’ordre, mais les suivants peuvent être lus de façon indépendante.

    1

    Daniel se retourna dans le lit et passa son bras autour de la taille de Sabrina pour l’attirer contre lui. Tressaillant d’impatience, son érection matinale était pressée contre ses fesses tendres et chaudes. Il avait tellement envie d’elle. Comment faire autrement ? Elle était si souple et voluptueuse.

    Chaque fois qu’il se réveillait à côté de Sabrina, il s’émerveillait toujours d’avoir eu la chance de la trouver. Même le matin, avec ses longs cheveux bruns emmêlés, elle était splendide. Il la trouvait plus belle de jour en jour. La première fois qu’il avait plongé son regard dans ses yeux verts, il avait su qu’il devait la faire sienne. C’était un miracle qu’elle soit réellement là, dans ses bras, après tous les obstacles qui s’étaient dressés sur leur route. Mais ils les avaient surmontés. Il ne pouvait plus rien arriver à présent. Dans quelques jours, Sabrina deviendrait sa femme.

    Sabrina gémit doucement et s’agita près de lui, frottant sa croupe sur son membre douloureusement dur. Il approcha ses lèvres de son épaule et déposa de petits baisers sur sa peau chaude, tout en poussant son sexe entre ses cuisses.

    — Mmm, quelle heure est-il ? demanda-t-elle d’une voix sexy et ensommeillée qui ne fit qu’attiser le désir de Daniel.

    — Presque six heures, répondit-il en approchant sa bouche de son oreille et en mordillant son lobe. On devrait déjà être levés.

    Elle pouffa, et le son de son rire résonna contre le torse de Daniel. Il sentit les battements de son cœur s’accélérer et son sang affluer vers son entrejambe.

    — Esclavagiste !

    — Je n’y peux rien, répliqua-t-il sur un ton léger. Il faut bien que quelqu’un vérifie que tout soit fait.

    Cela faisait quelques jours qu’ils étaient chez les parents de Daniel à Montauk, à l’extrémité de Long Island dans les Hamptons, afin de s’occuper des derniers préparatifs du mariage. Sabrina semblait plus fatiguée que d’habitude et il se demanda si c’était la conséquence du tourbillon d’activités autour du mariage. Il devait reconnaître que c’était un peu la folie et qu’ils avaient tous les deux besoin de se détendre un peu.

    Il avait justement une petite idée en tête. Daniel passa sa main sur la poitrine de Sabrina et le long de son ventre tout en collant son bassin contre elle. Le soupir de Sabrina lui confirma qu’elle était tout à fait consciente de son érection qui se glissait à présent entre ses cuisses, et de ce qu’il avait l’intention d’en faire.

    — Tu ne crois pas qu’on devrait garder notre énergie pour tout ce qu’on a à faire aujourd’hui ? murmura-t-elle en frottant ses fesses contre lui et en resserrant les cuisses.

    Daniel lâcha un grognement en sentant les muscles de Sabrina se contracter autour de sa verge.

    — Fais-moi confiance, il me restera plein d’énergie, murmura-t-il à son oreille en descendant sa main entre ses jambes pour recouvrir son sexe. Ça ne me demande aucun effort.

    Avec Sabrina, rien ne demandait d’effort.

    — Mmm, dit-elle en écartant les jambes de quelques centimètres, juste assez pour lui permettre d’enfoncer ses doigts dans son intimité chaude.

    — Et puis je crois que tu en as autant besoin que moi, ajouta-t-il en caressant son sexe trempé d’excitation.

    Daniel sentait l’odeur de Sabrina chatouiller ses narines.

    — Dis-moi, comment se fait-il que tu mouilles déjà ? demanda-t-il.

    — J’étais en train de rêver.

    — De quoi ?

    — Que je me réveillais avec toi en moi.

    Les paroles de Sabrina ne firent qu’accentuer encore son érection. Si elle continuait à lui dire ce genre de choses, il allait exploser.

    — C’était un rêve très coquin.

    Il passa son doigt humide sur sa fente puis remonta vers son clitoris et caressa fermement son organe sensible. Sabrina se cambra dans ses bras avec un gémissement.

    — C’est vrai que j’en ai besoin, reconnut-elle. Ces quelques derniers jours ont été tellement stressants.

    Daniel nicha son visage dans le creux de son cou et huma son odeur. Sabrina portait rarement du parfum, et pourtant il émanait d’elle un parfum enivrant.

    — Alors, laisse-moi m’occuper de toi, bébé.

    Sabrina leva un peu la jambe pour qu’il puisse placer son érection devant l’entrée de son corps.

    Sans cesser de s’occuper de son clitoris, il poussa ses hanches en avant et la pénétra. Sabrina lâcha un cri de plaisir qui résonna dans la chambre. Pendant un bref instant, Daniel se demanda si ses parents et les autres invités présents dans la maison pouvaient les entendre, mais il retourna rapidement son attention sur Sabrina en sentant sa main se poser sur la sienne et l’appuyer plus fermement sur le centre de son plaisir.

    Un sourire se dessina sur les lèvres de Daniel. Il aimait quand Sabrina montrait son excitation ainsi. Quand elle le poussait à la prendre avec plus de force et à la satisfaire. C’était exactement ce qu’elle était en train de faire, lui faisant comprendre qu’elle voulait qu’il touche son clitoris avec plus d’intensité, plus de pression. Tout en effectuant de petits mouvements circulaires sur celui-ci, il se retira puis s’enfonça de nouveau en elle. Ses testicules claquèrent contre sa chair et son membre s’enfouit profondément dans son fourreau. Il se demandait comment celui-ci pouvait être aussi étroit alors que Daniel faisait l’amour à Sabrina presque tous les soirs depuis plusieurs mois. Mais ce n’était pas pour lui déplaire, car cela lui donnait chaque fois l’impression que c’était la première fois.

    — Oh, oui, gémit-il longuement.

    Daniel allait et venait en elle, étirant son intimité et augmentant peu à peu la cadence. Sabrina venait à la rencontre de chacun de ses coups de reins en reculant son bassin tandis qu’il continuait à toucher fiévreusement son clitoris, ses mouvements suivant le rythme dicté par le corps de Sabrina.

    Des gouttelettes de sueur s’étaient formées sur son cou et son torse, et il sentait sa peau glisser contre le dos et les cuisses de Sabrina. Il adorait cette position qui lui permettait d’exercer un contrôle total sur son corps et comblait son besoin de posséder chaque centimètre de Sabrina. Il éprouvait toujours ce sentiment quand elle était dans ses bras. Cela ne faisait qu’augmenter son désir pour elle et le rendre plus aventureux au lit – et en dehors – qu’il ne l’avait jamais été avec toute autre femme avant elle.

    Quand il faisait l’amour à Sabrina, il ne connaissait pas de limite. Chaque fois qu’il pensait à quelque chose qui pourrait procurer plus de plaisir à Sabrina, il suivait son idée. Sa mission était de la satisfaire. Et lorsqu’elle atteignait une jouissance totale, il y parvenait aussi. Tout était parfait avec elle, comme à ce moment précis. En plongeant dans son intimité glissante, il avait la sensation de s’immerger dans une soie liquide. C’était le paradis, son corps entier vibrait de plaisir. Les terminaisons nerveuses de sa peau fourmillaient agréablement tandis que ses testicules brûlaient du besoin de se libérer.

    Sabrina était agitée de tremblements et il comprit qu’elle n’était plus loin de l’orgasme. Sa respiration était irrégulière, et ses soupirs et gémissements se faisaient de plus en plus fréquents et bruyants. Il aimait tant la voir s’exprimer aussi librement. Quand elle était dans ses bras, elle ne se retenait pas.

    Soudain, les muscles de Sabrina se resserrèrent autour de son membre.

    — Bébé, tu me rends fou, parvint-il à articuler avant que son cerveau ne se déconnecte, le privant de la capacité de parler.

    Il ne pensait plus qu’au déferlement de sensations qui submergeaient son corps et aux éclairs qui pénétraient jusqu’au plus profond de son être tandis que les spasmes de Sabrina l’enveloppaient. Il était arrivé au point de non-retour. Avec un grognement animal, il s’enfonça en elle avec force, s’abandonnant à son désir. Le peu de contrôle qui lui restait lui échappa. D’un puissant coup de reins, il déversa sa semence en elle, la remplissant du liquide chaud qui semblait encore plus abondant qu’à l’ordinaire.

    Incapable de s’arrêter, il continua à aller et venir lentement en elle, jusqu’à ce que les vagues de l’orgasme de Sabrina s’apaisent et que le sien décline à son tour.

    Plusieurs respirations tremblantes s’échappèrent de ses lèvres et il voulut dire quelque chose. Mais c’était inutile. Après avoir fait l’amour à Sabrina, il était toujours sans voix.

    Sabrina soupira doucement.

    — C’est mieux qu’une grasse matinée, murmura-t-elle.

    Daniel pouffa doucement.

    — C’est mieux que plein d’autres choses.

    — On ne peut pas passer la journée au lit ?

    Il déposa un baiser sur son épaule et se retira d’elle.

    — J’aimerais bien. Mais on a des invités. Et puis il y a encore des milliers de choses à organiser.

    Sabrina laissa échapper un long soupir.

    — Je suis tellement fatiguée en ce moment. Je pourrais dormir toute la journée.

    — Quand on sera en voyage de noces, tu pourras rester au lit toute la journée. Je te le promets.

    Elle tourna la tête vers lui.

    — Tu ne m’as toujours pas dit où on allait.

    — Et je ne te le dirai pas. Mais sache que tu dois prendre des vêtements chauds.

    Elle écarquilla les yeux avec surprise.

    — Il va faire froid ?

    Il hocha la tête.

    — Pourquoi ? Je pensais que tu choisirais un pays tropical pour que je sois obligée de me balader à moitié nue.

    Il lui fit un clin d’œil.

    — Oh, tu seras nue de toute façon. Si je t’emmène dans un endroit où il fait froid, tu ne voudras pas sortir de l’hôtel ou de notre lit douillet. Et la chaleur corporelle est le meilleur moyen de se tenir au chaud. Fais-moi confiance. (Il repoussa les couvertures et se redressa.) Sabrina, bébé, je dois aller prendre ma douche et me préparer. Mais reste encore un peu au lit si tu veux. Je te trouverai une excuse.

    Elle lui sourit.

    — Est-ce que je t’ai déjà dit que tu étais le meilleur ?

    Il se pencha vers elle.

    — Le meilleur dans quel domaine ?

    Elle passa ses bras autour de son cou et plongea ses yeux verts radieux dans les siens.

    — Le meilleur pour tout. (Elle se blottit contre lui.) J’ai hâte de t’épouser.

    Daniel sourit.

    — J’aurais aimé t’épouser il y a des mois déjà, mais tu mérites d’avoir un grand mariage et de remonter l’allée dans une belle robe blanche.

    — C’est le rêve de toutes les petites filles.

    — Et je ferai toujours mon possible pour exaucer tous tes rêves.

    Avec réticence, il se libéra de son étreinte et sortit du lit, nu. Tandis qu’il se dirigeait vers la salle de bains, il jeta un coup d’œil par-dessus son épaule et surprit le regard de Sabrina qui s’attardait sur ses fesses. Elle ne lui avait jamais paru aussi séduisante, avec ses cheveux indisciplinés, ses joues teintées de rose et son corps à demi-recouvert par les draps remontés jusqu’à sa taille. Ce soir-là, il enfouirait de nouveau sa tête dans sa poitrine généreuse, la caresserait et l’embrasserait doucement pour sentir ses tétons se dresser dans sa bouche.

    Sentant son sexe se durcir de nouveau à cette seule pensée, il détourna la tête et entra dans la douche.

    2

    Daniel descendit l’escalier d’un pas guilleret et entra dans le grand vestibule du manoir à deux étages de ses parents. Il adorait cette maison quand il était enfant, car elle renfermait mille recoins pour jouer à cache-cache.

    Souriant intérieurement à ce souvenir, il s’apprêtait à tourner à gauche en direction de la cuisine quand son regard se posa sur le journal qui se trouvait sur le buffet près de la porte d’entrée. Il s’en empara, se demandant pourquoi sa mère ne l’avait pas apporté dans la cuisine après l’avoir ramassé dans l’allée, où le livreur de journaux le lançait habituellement. Elle était aussi occupée que Sabrina et lui par les préparatifs du mariage et avait dû oublier.

    Suivant l’odeur de café qui lui chatouillait les narines, Daniel se dirigea vers la cuisine, s’attendant à y trouver ses parents. Mais la pièce était vide. La table du petit déjeuner était cependant mise, et sa mère avait préparé du café en quantité.

    Daniel prit son mug préféré et le remplit avant de s’asseoir. Repoussant son assiette sur le côté, il déplia le journal.

    D’après ses souvenirs, ses parents avaient toujours fait livrer le New York Times à la maison. Sa mère lisait également un journal local, le East Hampton Star, afin de se tenir au courant des nouvelles de la région. Mais son père, un homme d’affaires, préférait le New York Times.

    Sautant la rubrique internationale, Daniel passa rapidement en revue les pages économiques. Il lut en diagonale un article concernant une récente affaire conclue par son ami et mentor Zach Ivers, mais n’apprit rien de nouveau, car il en connaissait déjà tous les détails.

    Songeant qu’il était vraiment temps de s’attaquer à la longue liste de tâches à accomplir pour le mariage, il replia les sections qu’il avait parcourues lorsque son regard tomba sur une photo dans le carnet mondain. Il l’examina de plus près. Pourquoi le journal publiait-il de nouveau la photo de Sabrina et lui parue pour annoncer leurs fiançailles quelques semaines plus tôt ?

    Il lut le titre au-dessus de la photo et sentit son cœur s’arrêter de battre.

    Le magnat des affaires Daniel Sinclair sur le point d’épouser une call-girl de luxe.

    Son sang se figea dans ses veines et son souffle se coupa. Il serra le journal avec force dans ses mains et faillit le déchirer.

    Mon petit doigt m’a dit que le brillant entrepreneur millionnaire, Daniel Sinclair, dont la riche famille est établie à Montauk, New York, a décidé de se marier en dehors de son milieu social. D’après une source fiable, sa fiancée, Sabrina Palmer, a travaillé en tant qu’escort-girl de luxe à San Francisco. C’est là qu’elle a rencontré M. Sinclair, qui était client du service d’escort employant Mlle Palmer. M. Sinclair et Mlle. Palmer n’ont pas souhaité commenter cette information.

    — Merde ! siffla Daniel.

    Se marier en dehors de son milieu social? Sabrina n’était pas une call-girl ! C’était une femme aussi respectable que sa propre mère !

    Qui avait bien pu écrire ces mensonges ? Il jeta un coup d’œil à la signature : Par Claire Heart – Nouvelles du Cœur.

    C’était plutôt des nouvelles de caniveau ! Des mensonges de caniveau !

    Une profonde colère s’empara de lui. Comment cette journaliste pouvait-elle connaître les circonstances de leur rencontre et en faire une histoire aussi sordide ? Oui, Sabrina s’était fait passer pour une escort ce soir-là, mais la réalité était entièrement différente. C’était compliqué et Sabrina n’avait rien d’une call-girl ! Ces événements les hanteraient-ils à jamais ?

    Si Sabrina avait vent de cet article, elle serait dévastée. N’avait-elle pas suffisamment été embarrassée quand Daniel avait découvert qu’elle n’était pas la personne qu’elle prétendait

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