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Attrayant: Le Club des éternels célibataires, #5
Attrayant: Le Club des éternels célibataires, #5
Attrayant: Le Club des éternels célibataires, #5
Livre électronique236 pages

Attrayant: Le Club des éternels célibataires, #5

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À propos de ce livre électronique

Tara Pierpont ne supporte plus que ses parents se mêlent de sa vie privée et la harcèlent pour qu'elle épouse un homme riche, comme l'a fait sa sœur. Elle décide qu'il est temps pour elle de se rebeller. L'occasion se présente alors sous la forme d'un beau serveur, lors d'une soirée très privée dans les Hamptons.

Pendant la réception organisée par les parents d'un de ses amis pour leur anniversaire de mariage, Jay Bohannon est pris pour un serveur par une jeune femme. Il s'apprête à dissiper le malentendu, mais Tara lui confie qu'elle en a marre des hommes riches qui se croient tout permis. Elle a juste envie de s'amuser un peu avec quelqu'un qui n'est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche.

 

Jay est cependant bien loin d'être pauvre ou ordinaire. Il est exactement le genre d'hommes que Tara essaie d'éviter.

 

Les trois premiers livres du Club des éternels célibataires doivent être lus dans l'ordre, mais les suivants peuvent être lus de façon indépendante.

Précédemment publié sous le titre Une longue étreinte

 

Les trois premiers livres du Club des éternels célibataires doivent être lus dans l'ordre, mais les suivants peuvent être lus de façon indépendante.

 

Tome 1 : Séduisant
Tome 2 : Attirant
Tome 3 : Envoûtant
Tome 4 : Torride
Tome 5 : Attrayant
Tome 6 – Passionné

LangueFrançais
ÉditeurTina Folsom
Date de sortie13 févr. 2023
ISBN9781944990039
Attrayant: Le Club des éternels célibataires, #5

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    Aperçu du livre

    Attrayant - Tina Folsom

    Attrayant

    Le Club des éternels célibataires — Tome 5

    par

    Tina Folsom

    Traduction : Constance de Mascureau

    © Tina Folsom, 2016 pour la traduction française, 2015 pour le texte original

    Précédemment publié sous le titre Une longue étreinte

    Résumé

    Tara Pierpont ne supporte plus que ses parents se mêlent de sa vie privée et la harcèlent pour qu’elle épouse un homme riche, comme l’a fait sa sœur. Elle décide qu’il est temps pour elle de se rebeller. L’occasion se présente alors sous la forme d’un beau serveur, lors d’une soirée très privée dans les Hamptons.

    Pendant la réception organisée par les parents d’un de ses amis pour leur anniversaire de mariage, Jay Bohannon est pris pour un serveur par une jeune femme. Il s’apprête à dissiper le malentendu, mais Tara lui confie qu’elle en a marre des hommes riches qui se croient tout permis. Elle a juste envie de s’amuser un peu avec quelqu’un qui n’est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche.

    Jay est cependant bien loin d’être pauvre ou ordinaire. Il est exactement le genre d’hommes que Tara essaie d’éviter.

    Précédemment publié sous le titre Une longue étreinte

    Les trois premiers livres du Club des éternels célibataires doivent être lus dans l’ordre, mais les suivants peuvent être lus de façon indépendante.

    Prologue

    New York

    Six mois plus tôt

    Jay Bohannon n’avait pas l’habitude d’écouter les conversations privées des gens, mais ce soir-là il lui était difficile de faire autrement. Installé dans un espace en forme de demi-cercle dans un restaurant à l’atmosphère calme et agréable, il attendait. L’homme avec qui il avait un rendez-vous d’affaires l’avait prévenu qu’il aurait un peu de retard. Derrière lui, un groupe de femmes arrivées quelques minutes après lui discutaient avec animation, n’ayant sans doute même pas remarqué sa présence. Il ignorait combien elles étaient, car il leur tournait le dos et le dossier des banquettes était trop haut, mais il distinguait au moins deux voix différentes.

    — Bon, alors résumons, dit l’une des femmes avec un fort accent new-yorkais.

    Originaire du Sud, Jay ne s’était jamais habitué aux notes dures qui teintaient le discours de nombreux New-Yorkais de souche.

    — Il reste quatre mecs sur ta liste…

    — Et je sais exactement qui je choisirais, l’interrompit une deuxième femme.

    La voix de celle-ci était moins désagréable. À l’évidence, elle n’était pas de New York, ou alors elle s’était efforcée de perdre son accent.

    — Cassie, la réprimanda doucement la première femme. Ne t’inquiète pas, on t’aidera toutes les deux à choisir le bon mari quand ce sera ton tour. On te l’a promis. Mais parlons de ce que j’ai découvert.

    Jay conclut qu’il devait y avoir au moins trois femmes dans le groupe derrière lui, qui discutaient de maris potentiels. Jay leva les yeux au ciel et regarda l’heure sur sa montre, espérant que Milton ne tarderait plus à arriver.

    — De quoi est-ce que tu parles ? demanda Cassie.

    — Mais de leur fortune, andouille ! On doit savoir qui est le plus riche.

    Jay fit la grimace. Visiblement, ces filles n’étaient pas là pour parler d’amour, mais plutôt de comptes en banque.

    C’était pitoyable !

    Essayant d’ignorer leur conversation, il parcourut ses emails sur son téléphone portable. Sa copine Deborah, avec qui il sortait depuis plus de quatre mois à présent, lui avait envoyé un message une heure plus tôt. Il le relut.

    Il y a eu un imprévu au bureau. J’essaie de passer ce soir. Je te tiens au courant.

    Bisous, Deborah

    Il lui suffisait de penser à elle pour sentir son sexe se durcir. Elle était extrêmement sexy, aventureuse au lit et magnifique, quelle que soit la façon dont elle était habillée. Il était très épris d’elle, au point qu’il envisageait de passer à l’étape suivante dans leur relation.

    Et tant pis s’il n’était pas un jour le vainqueur du Club des éternels célibataires et ne remportait pas la somme d’argent conséquente destinée au dernier célibataire du groupe. Il avait déjà amplement assez. Après avoir inventé un ingénieux dispositif de sécurité pour les bateaux et déposé un brevet qui l’avait rendu riche, il s’était lancé dans la construction d’immenses yachts pour les très grandes fortunes. Cela avait fait de lui l’un des célibataires les plus en vue de New York.

    — …apparemment, il est endetté jusqu’au cou. Et devinez quoi : il loue le penthouse où il vit ! s’exclama la New-Yorkaise d’une voix scandalisée.

    Une des femmes lâcha un hoquet de surprise.

    — M…

    — Laisse-moi terminer, l’interrompit la femme qui parlait. Je sais ce que tu vas dire. C’est vrai qu’il est canon, mais désolée : je ne laisserai pas mon amie épouser un loser.

    — Et lui alors ? demanda une troisième femme, restée silencieuse jusqu’à présent.

    Jay sentit son cœur bondir dans sa poitrine. Il connaissait cette voix. Il la connaissait même très bien.

    — Whelan ? demanda la femme à l’accent new-yorkais prononcé.

    — Oui, répondit Deborah. D’après tes notes, il est plus riche que Bohannon.

    Jay retint son souffle. Un profond sentiment de déception et de fureur l’envahit. Deborah s’était exprimée d’une voix détachée, comme si elle parlait d’une belle voiture et non de son petit ami.

    — Il est aussi très mignon, intervint Cassie. Vraiment sexy. Et tu nous as dit que c’était un très bon coup au lit, non ?

    — Oui, approuva Deborah sur un ton nonchalant. Mais je ne vais pas me contenter d’un deuxième choix, même si on passe du bon temps au lit. Tu es d’accord avec moi, Sharon ?

    — Oui. Mais je pense que Bohannon reste peut-être le meilleur choix pour toi, répondit la première femme, Sharon.

    — Pourquoi ? Je pensais que Whelan était plus riche que Bohannon.

    Jay pouvait se représenter Deborah en train de froncer les sourcils, comme elle le faisait souvent. Il avait toujours trouvé cela charmant chez elle, mais à présent cela lui donnait envie de frapper quelqu’un ou quelque chose. Il savait qu’il devrait se lever et se montrer, mais il était comme pétrifié sur son siège. Ses mains tremblaient de rage.

    — En fait, c’est la famille de Whelan qui est plus riche que celle de Bohannon. Donc théoriquement, tout appartient encore à ses parents. Et même s’il est fils unique, tu n’as pas envie de devoir attendre que ses parents passent l’arme à gauche, hein ? À mon avis, il est obligé de faire tout ce que veulent ses parents s’il veut récupérer l’argent tant qu’ils sont encore en vie. Fais-moi confiance, ce n’est pas idéal. Je vote pour Bohannon. Essaie de le faire mordre à l’hameçon pour qu’il te passe la bague au doigt rapidement.

    Deborah laissa échapper un soupir.

    — Tu as sans doute raison. Au moins, je n’aurai plus besoin de coucher avec Whelan. Franchement, c’était une corvée.

    Les deux autres femmes éclatèrent de rire et trinquèrent. Un instant plus tard, un bruit de verre brisé se fit entendre.

    Jay baissa les yeux vers sa main. Il avait tellement serré son verre à martini qu’il l’avait cassé. Les débris lui entaillaient la peau, et des taches de sang se mêlaient au gin qui s’était renversé sur la nappe d’un blanc immaculé.

    Mais il ne sentait pas la douleur. Il était comme paralysé.

    La femme dont il pensait être amoureux le trompait. Et ce n’était pas tout. La seule raison pour laquelle elle envisageait de l’épouser était parce qu’il avait plus d’argent que l’autre pigeon sur sa liste.

    Jay se leva brusquement en repoussant la table, qui grinça bruyamment sur le parquet ciré. Mais il n’en avait que faire. Tout comme il n’avait que faire des coupures sur sa main.

    Jetant un billet de vingt dollars sur la table, il fit quelques pas vers les trois femmes assises derrière lui.

    Les amies de Deborah levèrent les yeux vers lui et le scrutèrent de la tête aux pieds d’un regard approbateur. Il resta debout sans rien dire, et les deux femmes échangèrent un regard étonné.

    — Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Deborah en jetant un coup d’œil derrière elle.

    Jay croisa son regard surpris.

    — Oh, salut, Jay. Je ne…

    Il leva la main, celle qui n’était pas blessée.

    — Épargne-moi tes explications. (Il fit un geste vers la feuille de papier au milieu de la table.) Et tu peux me rayer de cette liste. Je ne vais pas continuer à fréquenter une femme manipulatrice qui n’en veut manifestement qu’à mon argent.

    Il prit plaisir à voir le visage de Deborah se décomposer lorsqu’elle comprit qu’elle avait été prise sur le fait. Elle n’essaya même pas de se justifier.

    — Si je me marie un jour, ce sera avec une femme qui se fiche bien que je sois riche ou pas.

    Tournant les talons, il se dirigea à grands pas vers la porte du restaurant, qui s’ouvrit au moment où il s’apprêtait à sortir. Il faillit bousculer l’homme qui entrait.

    — Oh, salut, Jay ! le salua gaiement Milton. Désolé pour le…

    — Salut, Milton. Ça t’ennuie si on va ailleurs ? Je n’aime pas trop cet endroit.

    En se retrouvant dans la nuit froide, Jay prit conscience qu’il avait laissé son manteau au vestiaire. Mais il n’allait certainement pas retourner dans le restaurant, où Cassie et Sharon étaient sans doute en train de consoler son ex-petite amie en essayant de la convaincre que Whelan n’était peut-être pas un si mauvais parti après tout. Pauvre Whelan.

    Jay leva la main pour héler un taxi, le cœur lourd. Il se jura d’être plus prudent à l’avenir et de ne plus suivre ses émotions si facilement. S’il sentait qu’une femme ne s’intéressait à lui que pour son argent, il fuirait aussitôt sans demander son reste.

    1

    Montauk, Long Island, État de New York

    Le jour même

    Tiré de ses pensées par la voix furieuse de son ami Paul Gilbert, un des membres du Club des éternels célibataires, Jay tourna la tête vers le pool house. De nombreux invités en firent de même, alertés par les éclats de voix.

    Vêtu d’un smoking comme Jay, Paul agrippait par le col un homme d’âge moyen, visiblement éméché.

    — Je vous ai dit de laisser ma copine tranquille !

    — Copine ? C’est une sale pute ! cria l’homme.

    Stupéfait d’entendre une accusation aussi scandaleuse, Jay jura dans sa barbe. Et lui qui pensait passer une soirée ennuyeuse chez les parents de Paul, qui avaient convié tout le gratin des Hamptons et de New York pour célébrer leur anniversaire de mariage. Jay n’avait rien contre un peu de divertissement improvisé, mais il ne voulait pas que son ami ait des problèmes, en particulier si cela concernait Holly. Il était visiblement très amoureux d’elle, ce qui n’étonnait guère Jay. Elle était absolument magnifique, avec ses yeux bleus envoûtants, ses longues boucles blondes et son corps de rêve… Jay avait flirté avec elle quelques mois plus tôt, mais il était conscient qu’une femme comme Holly méritait un homme capable de s’engager.

    Et après le fiasco avec Deborah, Jay avait renoncé aux relations sérieuses. Cela ne signifiait pas pour autant qu’il ne sortait plus avec des femmes ou n’avait plus de relations sexuelles, mais il avait arrêté de s’impliquer émotionnellement. Sa confiance envers le sexe opposé avait été ébranlée, et jusqu’à présent il n’avait pas encore trouvé un moyen de savoir avec certitude si une femme était intéressée par lui ou par son argent. Jay chassa cette pensée de son esprit. La réception des Gilbert n’était certainement pas le bon endroit pour chercher une petite amie. Les femmes qui avaient été invitées à cet événement de la haute société étaient toutes issues de familles riches et influentes, et il savait pertinemment ce que cela signifiait : sans sa fortune qui s’élevait à plusieurs centaines de millions, elles ne lui jetteraient même pas un regard. Alors comment pouvait-il être sûr que l’affection qu’elles lui témoignaient était authentique ?

    Était-il vraiment possible de trouver l’amour dans la haute société ? Dans ce milieu où les parents s’assuraient de ne faire rencontrer à leurs filles que de bons partis avec un compte en banque bien garni ? Parfois, il avait envie de se faire passer pour un homme ordinaire qui n’avait que son physique, son accent du Sud et son charme pour séduire. Il rencontrerait peut-être une femme sincère qui ne s’arrêterait pas uniquement aux apparences, mais qui le verrait pour celui qu’il était vraiment : un garçon sérieux qui avait travaillé avec acharnement pour se sortir de la pauvreté et réussir dans la vie, grâce à sa détermination et à son ingéniosité, ainsi qu’à une bonne dose de chance. Mais peu de gens connaissaient cet aspect de sa personnalité, et rares étaient ceux qui étaient au courant de son passé difficile.

    Son enfance avait été bien différente de celle de Paul, qui était issu d’un milieu privilégié. Il reporta alors son attention sur son ami. Les conversations s’étaient tues, et les parents des amis de Paul observaient tous la scène.

    Jay s’approcha à grands pas, prêt à aider Paul à se débarrasser de l’intrus qui proférait des mensonges sur Holly.

    — Oui, c’est une sale pute ! répéta celui-ci en criant, le doigt pointé en direction de Holly.

    La jeune femme se tenait devant la porte du pool house, ses jolis traits figés dans une expression d’horreur.

    Elle était vraiment très belle, songea Jay. Il secoua la tête. Il refusait de croire que c’était une prostituée. Ce n’était pas son genre. Elle était trop… en fait, trop gentille.

    — Ferme ta gueule ou je vais me charger de le faire pour toi ! cria Paul avant de balancer son poing dans la figure de l’homme, dont la tête bascula sur le côté.

    L’ivrogne recula en vacillant dans la direction de Jay. Un serveur en smoking se trouvait sur son chemin, chargé d’un plateau rempli de verres.

    — Merde ! lâcha Jay en essayant d’écarter le jeune homme.

    Mais il arriva trop tard, et les deux hommes se heurtèrent de plein fouet. L’ivrogne parvint à reprendre son équilibre, mais le pauvre serveur tomba à la renverse, lâchant son plateau que Jay réussit à rattraper de justesse.

    Essuyant le sang qui coulait de sa bouche, le fauteur de troubles continuait à regarder Paul d’un œil noir.

    — Oui, une pute bon marché, voilà ce qu’elle est ! Tu la payes, hein ?

    Paul parut voir rouge. Il se mit à marteler son adversaire de ses poings sans lui laisser le temps de lever les bras pour se protéger. L’homme recula pour s’efforcer d’échapper aux poings déchaînés de Paul, mais en vain.

    Le coup suivant de Paul fit tituber l’ivrogne jusqu’au bord de la piscine. Il y tomba en faisant un grand plouf, éclaboussant certains invités à proximité. Un hoquet de stupeur parcourut l’assistance.

    — Paul ! cria sa mère.

    Jay grimaça. Il connaissait les Gilbert depuis de nombreuses années, et il savait que Mme Gilbert accordait beaucoup d’importance à ce que pensaient les gens. Le fait que son fils soit accusé en public de sortir avec une prostituée avait dû la mettre dans tous ses états.

    Paul releva vivement la tête et vit sa mère qui le fusillait du regard. Elle se tourna ensuite vers Holly.

    — Est-ce que c’est vrai ? Est-ce ce qu’il dit la vérité ?

    — Il a agressé Holly ! lâcha Paul.

    Un silence de mort s’était abattu autour d’eux. La centaine d’invités présents et le personnel du traiteur ne prononçaient plus une parole. On n’entendait plus que le clapotis de l’eau dans la piscine, alors que l’ivrogne faisait de grands gestes pour maintenir sa tête hors de l’eau.

    La mère de Paul désigna Holly du doigt.

    — Qu’on fasse sortir cette femme de chez moi !

    Mais Holly avait déjà tourné les talons et courait sur le sentier qui menait à la plage.

    — Holly ! cria Paul.

    Mais sa mère l’agrippa par le coude, ne lui laissant pas le temps de partir à sa poursuite.

    Jay n’entendit pas ce qu’elle lui murmura, la mâchoire serrée, mais à en juger par l’expression de fureur qui déformait

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