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Fabuleuse À Croquer: Une Idylle Vampirique Presque Humaine
Fabuleuse À Croquer: Une Idylle Vampirique Presque Humaine
Fabuleuse À Croquer: Une Idylle Vampirique Presque Humaine
Livre électronique229 pages3 heures

Fabuleuse À Croquer: Une Idylle Vampirique Presque Humaine

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À propos de ce livre électronique

Une vamp misanthrope rencontre un humain peu enclin à s’engager et des étincelles surgissent.

Mais les humains et les vampires ne sortent pas ensemble… n’est-ce pas ?

Une comédie romantique pleine de mordant où les opposés s’attirent.

Je veux sucer ton…
Ton sang. Je suis une vampire, voyons.
En rencontrant Simon, je ne pus m’empêcher de penser que je cherchais peut-être davantage qu’un peu de nutrition.

Il court et suit un régime strict.
Je mange des chips et du queso en plat de résistance.

Il est ponctuel.
Je considère que cinq minutes de retard, ça reste à l’heure.

Il est ingénieur.
Je gagne ma vie en racontant des histoires.

Il est humain.
Pas moi.

Une vamp misanthrope – moi – rencontre un humain peu enclin à s’engager – lui – et des étincelles jaillissent. Mais les humains et les vampires ne sortent pas ensemble… n’est-ce pas ?
Avertissement de l’auteur : ce livre contient des crapuleries vampire-humain torrides, suffisamment de mots coquins pour faire rougir quelqu’un – pas moi – et une vampire qui – au fond, au fond, très au fond – aspire secrètement à être aimée.
LangueFrançais
ÉditeurTektime
Date de sortie10 avr. 2022
ISBN9788835444473
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    Aperçu du livre

    Fabuleuse À Croquer - Gemma Cates

    1

    CHAPITRE 1

    — J ’ai toujours voulu coucher avec un vampire.

    — Pardon ?

    Je retirai la capuche de mon costume de petit chaperon rouge et regardai fixement la pâle copie du Jon Snow ivre qui se tenait devant moi.

    Je faillis répondre : « Je ne suis pas un vampire. » Mais cela aurait été un infâme mensonge, et même si de temps en temps, j’aime sucer un peu du sang de victimes consentantes, je ne raconte jamais de bobard. Cette limite ne représente qu’une ligne arbitraire à ne pas franchir, mais c’est la mienne.

    Il dévoila ses crocs en plastique.

    — J’ai préféré venir en vampire.

    Mouais. Le vampirique Jon Snow.

    Trouduc – son nom pour la soirée puisqu’il en jouait le rôle – était assez bourré pour se croire hilarant. Parce qu’il faut le dire.

    Ouais. Trouduc était un gagnant.

    Qu’est-ce que je faisais là déjà ? Ah oui, c’est vrai. Megan m’avait forcée. Maudite soit-elle ! Elle sait que je déteste les gens. Pas dans le sens « humains contre vampires ». Non, je déteste tout le monde de la même façon. Les groupes de vampires me révulsent tout autant que les groupes d’humains.

    Cette conclusion est le fruit de constats répétés. Trouduc n’était qu’un simple individu sur la longue liste de gens ennuyeux aux activités ennuyeuses.

    Le moment était venu de faire demi-tour, s’éclipser et courir. Cette technique fonctionne relativement bien avec les mecs bourrés qui deviennent lents sous l’emprise de l’alcool.

    Et puis, je suis une vampire. Une prédatrice. Je suis rapide, agile, légère sur mes pieds.

    La plupart du temps.

    — Ouf.

    Je fonçai tout droit dans un mur humain en laissant échapper tout l’air de mes poumons dans un souffle bruyant.

    Un homme délicieux. Il me dépassait de quelques centimètres. Pourtant ce soir-là, j’avais opté pour mes bottes de garce. Dix centimètres de talons, et je m’élevais presque à un mètre quatre-vingt. J’aime dominer les petites gens, mais là, écrasée contre ces muscles fermes, je ne me sentais pas mal non plus.

    Je pris une grande inspiration. Eh, ouais ! Pourquoi ? Parce qu’il dégageait une odeur de paradis érotique, tout épicé, propre, masculin… et humain.

    Non. Je ne fais pas dans l’humain. À quoi bon ? Ce n’est pas comme si l’on pouvait en tirer quelque chose. De plus, il ne manque pas de vampires ravis de s’envoyer en l’air avec moi.

    Ce n’est qu’au moment de me décoller que je réalisai que l’homme au parfum unique et délicieux agrippait mes bras avec ses grandes mains. Il ne lui manquait qu’une petite barbe et une voix grave pour que sa nature humaine m’énerve encore davantage.

    Un pas en arrière, puis un autre. Trois petits pas plus tard, je parvenais à établir un contact visuel sans me tordre le cou.

    Et voilà la barbe ! Sois maudite, Megan, pour m’avoir fait venir à cette stupide fête d’Halloween. Quel genre de vampire peut bien organiser une soirée d’Halloween mixte ? Qui veut faire la fête avec ses casse-croûtes ?

    Megan. Voilà qui !

    — Un Petit Chaperon rouge. C’est mignon !

    J’allais poignarder ma meilleure amie. Pas dans le cœur, certes ! mais elle méritait bien une blessure béante à la jambe.

    Plus d’un mètre quatre-vingt de muscles dessinés, un torse large, une barbe blond sale couvrant une mâchoire carrée, de grandes mains, et une voix profonde et veloutée.

    Et il était humain !

    Je connaissais exactement le moyen de rendre M. Parfait ici présent moins séduisant. Il suffirait de me lancer dans une conversation de plus de trois phrases avec lui.

    — Je voulais essayer la version pré-Grimm.

    — Oh ?

    Son regard parcourut mon corps de haut en bas, une seule fois, assez lentement pour me laisser entendre qu’il appréciait le tableau, mais sans s’attarder sur mes seins. Pas mal !

    — Pré-Grimm, elle se sauve elle-même du loup, dit-elle. Nul besoin de bûcheron, merci beaucoup.

    Il gloussa, et le velouté de sa voix caressa mes parties féminines d’une manière qui devrait être interdite.

    Un humain ! Ce canon était humain à cent pour cent, pourtant les humains ne m’avaient jamais attirée.

    — Quel est l’indice visuel qui montre que tu n’es pas un petit chaperon rouge ordinaire des frères Grimm ?

    Je déplaçais mon poids pour mettre ma hanche en avant, en souriant en coin.

    — Est-ce que j’ai l’air de quelqu’un qui se ferait dévorer par un loup ?

    Il explosa de rire.

    — Donc c’est toi qui rends le costume exceptionnel, pas le T-shirt blanc moulant, le pantalon serré en cuir noir, ou la cape en velours.

    Il hocha la tête comme pour marquer son accord.

    Intelligent !

    Attends. Pas intelligent. Juste un gars banal. Un gars humain.

    De nombreux vampires ont une brève aventure avec des humains avant de se ranger. Et j’étais sûre que le sexe avec un humain était très bien, mais j’avais déjà assez de mal à gérer les gens et leurs interminables habitudes irritantes. Me demander de faire l’effort de passer plus de quinze minutes avec un homme qui n’avait aucune chance de devenir mon partenaire de vie ? Non merci.

    Ce type, par contre, me faisait réévaluer l’idée du sexe occasionnel sans possibilités d’accouplement.

    Il eût sûrement été raisonnable de se bouger le cul avant que ça n’arrive. J’étais sur le point de m’excuser quand il me tendit la main.

    — Simon.

    Je ne pouvais pas ne pas la serrer. Pas quand cette poignée de main me donnait l’occasion de caresser sa large paume et ses longs doigts puissants.

    Diablesse. Il fallait que je m’envoie en l’air. J’avais des pensées obscènes sur la main de l’homme et je ne la lui rendais pas.

    Non pas qu’il s’en plaignit.

    — Becca.

    — Vraiment ravi de faire ta connaissance, Becca. D’où tu connais Megan ?

    Il tenait toujours ma main et semblait aussi heureux que moi de maintenir le contact.

    — Cette garce maléfique est ma meilleure amie. Et toi ?

    Il répondit en arquant les sourcils :

    — Je la connais du travail. J’ai comme l’impression que tu aimerais bien lui mettre ton poing dans la figure !

    — Il y a plus de sang dans mon imagination. Et un couteau.

    Je roulai les yeux au ciel et récupérai ma main.

    — Elle m’a obligée à venir ce soir.

    — Et tu passes un moment effroyable.

    Ses lèvres se plissèrent d’un air amusé. Pas mal, Simon. Les hommes sont rarement le queso du monde féminin, mais leur ego fragile supporte mal ce genre d’allusion.

    Puisqu’on en parle…

    — Tu as vu le queso ? On m’a promis du fromage épicé et des tortillas en abondance. Et des margaritas. Où sont les margaritas ?

    Je réalisai alors qu’il avait sous-entendu, si ce n’est franchement posé, une question. J’arrêtai de scruter de loin le gueuleton dans la cuisine de Megan – je n’avais pas dépassé le salon – et me tournai vers Simon. Je portai toute mon attention sur lui et déclarai :

    — Oui, je passe un sale moment : je me suis fait draguer par Trouduc et je n’ai pas de boisson dans les mains.

    — Trouduc ?

    — Jon Snow, en style vampire.

    Simon gloussa encore.

    — Waouh, c’est bizarre. Tu dois vouloir parler de Robert. Il est le seul déguisé en Jon Snow ici, mais je n’ai pas compris la partie sur les vampires. Ce type…

    — J’espère qu’il est célibataire, ou il va perdre un testicule ce soir.

    — Tout à fait. En temps normal, c’est plutôt un homme assez respectueux même si ça n’excuse pas vraiment son comportement déplacé.

    Il regarda par-dessus mon épaule, là où Trouduc avait fait sa dernière apparition.

    — Quand il n’est pas défoncé.

    Avant que je puisse affirmer que Trouduc, apparemment un collègue de travail de Simon et Megan nommé Robert, était en effet déchiré ce soir, je sentis la grande main chaude de Simon saisir mon coude. Nom d’un chien ! J’étais vraiment en manque d’érotisme. La luxure dans laquelle je sombrais pour un humain n’avait rien de normal, et encore plus étrange, j’avais des pensées pornographiques sur ses mains.

    — Je crains que tu n’aies raté le queso, mais je peux te conduire à la réserve secrète de margaritas.

    Elle n’avait rien de secret. Le bar massif et bien approvisionné se trouvait dans le patio et avait une serveuse attitrée. La fin du mois d’octobre à Austin était loin d’être glaciale, et cette soirée était même idéale pour flâner dans le patio. J’avais été embusquée par Trouduc avant d’atteindre ce coin. Abstraction faite de la pénurie de queso et de la liste d’invités de Megan – qui comprenait des gens, donc pas grand-chose à faire à ce sujet – elle avait l’art d’organiser une fête réussie. Nous aurions seulement à reparler de la pénurie de queso.

    D’une main tendue, Simon me présenta le bar :

    — Je soupçonne que tu ne viens pas souvent à ce genre d’événements, puisque je ne t’ai jamais croisée. Le bar se trouve toujours à l’arrière, même par temps incertain.

    — Nan. Je déteste les gens.

    Il pencha la tête, l’air perplexe, sans raison – je n’avais rien caché de ma personnalité et de toutes ses bizarreries –, puis il dit :

    — Purement dans le sens de collectivité, ou aussi au niveau individuel ?

    — Oh, bonne question, Simon.

    Je ne parvins pas à résister à l’envie de prononcer son nom. Il me plaisait, avec son côté vieillot. Je n’avais jamais rencontré de Simon, aucun dont je me souvenais.

    — Les individus me dérangent tout autant que les groupes, mais pour des raisons différentes.

    Ses lèvres frémirent lorsqu’il commanda à la serveuse deux margaritas et deux shots de tequila. Après que la jolie jeune femme dans la vingtaine derrière le bar le quitta des yeux pour se lancer dans la préparation de nos boissons, il dit :

    — Dis-moi tout. Donne-moi ton classement des trois pires groupes et individus.

    — Mon top trois ?

    — Exactement. Les trois choses que tu détestes le plus chez les gens, à la fois leurs facultés singulières et collectives.

    Ce type était dangereux. Il n’avait pas sourcillé devant mes tendances misanthropiques, et avait fait en sorte que mes parties féminines le remarquent. Tout doux, mon beau.

    — Seulement trois, hein ? Je déteste que les gens dans les foules se comportent comme Trouduc.

    — Robert.

    — Ouais, ce gars-là. Peut-être souffre-t-il d’un certain degré d’anxiété sociale et ressent-il le besoin de se lubrifier lors de ces événements ? Ou peut-être sait-il que les codes sociaux se relâchent dans les grands groupes et apprécie-t-il simplement l’excuse pour se comporter comme un con ?

    Un point pour Simon, il n’avait pas gloussé au son du mot « lubrifier » glissant entre mes lèvres rouges criardes.

    — Il y aura toujours des trouducs sur terre, mais ça ne fait qu’un.

    Là encore, Simon ne semblait pas vraiment du genre à ricaner. Il était plutôt du genre à glousser d’une manière sensuelle au plus haut point qui me faisait frissonner. Oh, et sans aucun doute, qui me faisait mouiller. Les tons mielleux de sa voix provoquaient clairement une fête dans mon pantalon.

    — Ah, ne t’inquiète pas. J’en ai d’autres.

    Je jetai un coup d’œil aux deux verres qui étaient apparus pendant que nous discutions. Les margaritas étaient encore en cours de préparation. Notre barmaid était multitâche et distribuait de la bière et du vin tout en préparant nos boissons. Aucun problème. Le trafic était dense chez Megan ce soir-là.

    Simon suivit mon regard, découvrit les shots et afficha un sourire affriolant. Il m’en offrit un, garda l’autre dans sa main et le leva.

    — À l’esquive de tous les trouducs de ce monde.

    Voilà. Je pourrais boire à ça.

    J’accueillis la brûlure de l’alcool avec l’espoir de noyer certaines des pensées ridicules que j’avais sur l’humain debout à trente centimètres de moi.

    Parce que c’est une des caractéristiques de la tequila : elle chasse les mauvaises décisions. C’était digne d’un roulement mental des yeux. Certes je reconnaissais les effets maléfiques de la tequila et son impact sur ma capacité à penser de manière critique, mais cela ne m’empêcha pas de trinquer aux cinq autres choses que je déteste chez les gens, de manière individuelle et collective.

    Et boum ! J’étais ivre. D’un coup, comme ça.

    Pour être honnête, six shots et trois margaritas plus tard, ce n’était pas précisément une ivresse foudroyante. Mais le temps passait vite en compagnie de Simon. Peu importe combien de temps il faut à une vampire misanthrope et excitée pour boire six shots et trois margaritas, c’était pile-poil le temps qu’il m’avait fallu pour sombrer complètement dans la luxure à la vue de Simon Fullerton, ingénieur, joggeur, porteur de chemises. Un gars dont la présence ne m’ennuyait pas au-delà du supportable.

    Ce dernier point est quelque peu surprenant.

    Je prévoyais que les prochains mots qui sortiraient de sa bouche feraient définitivement pencher la balance vers maintenant je voudrais te gifler.

    Mais ça n’arrivait toujours pas.

    Et ça venait d’un type qui portait une chemise à boutons repassée à une fête d’Halloween. Il fallait que je lui pose la question.

    — Tu n’es pas en costume, n’est-ce pas ?

    — Non.

    Un air de timidité envahit son sourire.

    — C’est comme ça que je m’habille.

    Son jean impeccable épousait parfaitement ses fesses rebondies. La chemise repassée qui recouvrait sa poitrine musclée était bien rentrée dans son pantalon. Sa ceinture était assortie à ses chaussures. De temps en temps, on apercevait ses chaussettes assorties à sa chemise. Ce n’était pas un gars à la mode. Il était bien habillé, mais il ne donnait pas l’impression d’avoir beaucoup réfléchi à sa tenue. Ses vêtements lui allaient bien, ils étaient en bon état et assortis les uns aux autres d’une manière seyante.

    Simon me fit comprendre de façon surprenante que je m’étais entourée d’hommes-enfants. J’avais atteint la trentaine et je m’attendais inconsciemment à ce que les hommes autour de moi se comportent différemment. Spoiler : ça n’arrivait jamais ! La plupart d’entre eux portent encore des T-shirts usés à l’effigie de groupes de musique et des jeans délavés. Ou des jeans moulants. Ou des shorts avec des tongs. Bienvenue dans la vie d’une créative, remplie d’autres créatifs.

    Mais Simon ne rentre pas dans ce moule. Ce n’est pas un créatif. Il porte des vêtements d’adulte… qu’il repasse apparemment ! Et je ne le trouvais toujours pas ennuyeux.

    Je blâme le sourire penaud de Simon pour la suite des événements.

    L’alcool contribua, mais le sourire me poussa vraiment à bout.

    Attention, attention. Danger en vue. Une vampire bourrée dans une fête avec un humain canon.

    Les avertissements, ça vaut pour les autres.

    Je me penchai, d’une main je crochetai sa nuque – pas seulement pour ne pas tomber – et je levai mon visage vers lui.

    Une paire d’yeux bleus très intéressés me regardèrent de haut.

    Et puis il m’embrassa.

    2

    CHAPITRE 2

    La dose de six shots de tequila et trois margaritas s’avéra insuffisante pour permettre à Simon d’oublier qu’il se trouvait à une fête, entouré de collègues de travail – ou peut-être n’avait-il bu qu’une seule margarita ?

    J’aimais bien ce côté de sa personne. Ce n’était pas un Trouduc.

    Diablesse ! Mais, qu’est-ce que j’allais bien encore pouvoir trouver à ce gars ? Il devait absolument m’énerver, et vite.

    Après un baiser insipide, quelques caresses agrémentées de mordillements de lèvres, Simon chuchota à mon oreille :

    — Nous pourrions aller dans un coin qui me dispenserait de voir la femme de mon patron déguisée en diablesse sexy ?

    Même s’il était déjà venu à des fêtes chez Megan, il ne savait pas où trouver un peu d’intimité et cette pensée me plaisait bien. Je pouvais prétendre qu’il n’était pas du genre à coucher avec des inconnues en soirée.

    Bizarrement, c’est sans jugement. Si un homme ou une femme aime faire l’amour avec des inconnus, qu’il ou elle le fasse ! Qu’ils se protègent, obtiennent le consentement et tout et tout,

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