Je ne te quitte pas
Par Massimo Clerico
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À propos de ce livre électronique
« Il m’a abreuvé de son écriture, de sa langue, mais aussi des références communes que nous partageons. Nous avons connu une ébauche d’amitié, une amitié épistolaire, brève, mais une amitié qui se consume comme un amour ardent. Un amour platonique, oserais-je dire, oui, mais un amour quand même, tant nos échanges étaient le reflet de la passion étrange décrite dans ce roman autobiographique, où tout se manifeste déjà seulement par l’écrit. »
À PROPOS DE L'AUTEUR
Dans Je ne te quitte pas, Massimo Clerico libère sa plume en toute sincérité et nous enveloppe de son aura au fil de ses pages empreintes de musicalité.
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Avis sur Je ne te quitte pas
3 notations3 avis
- Évaluation : 1 sur 5 étoiles1/5
Dec 4, 2022
This novel is not even 1 cent worth. wasted my time reading this .1 personne a trouvé cela utile
- Évaluation : 1 sur 5 étoiles1/5
Dec 4, 2022
sehr schlecht, kann leider nicht weiter empfehlen , sehr schade, - Évaluation : 1 sur 5 étoiles1/5
Dec 4, 2022
worst novel ever read , it was not worth reading this
Aperçu du livre
Je ne te quitte pas - Massimo Clerico
Massimo Clerico
Je ne te quitte pas
Roman
© Le Lys Bleu Éditions – Massimo Clerico
ISBN : 979-10-377-5994-8
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Ah ! l’amour n’est pas fait pour nous rendre heureux.
Je crois qu’il est fait pour nous révéler dans quelle mesure nous avons la force de souffrir et de supporter.
Hermann Hesse
Je l’ai rencontré dans un livre, ce livre m’a alors totalement happé.
C’est en entier, comme on plonge dans la mer, que je suis entré dans ses phrases, dans ses mots.
Ils ont eu sur moi un effet ravageur, tant ils étaient le miroir de ma vie, de mes douleurs, de mes errances.
J’ai compris que je n’étais pas seul à survivre de cette façon, sur le fil.
L’auteur m’a conduit dans les rues perdues et sombres de ma vie.
Il m’a aussi montré ma folie, mes douleurs, mes pathologies. Nous avons les mêmes et prenons les mêmes médicaments, non pour vivre, la vie est trop loin de nous, mais pour tenir ; ne pas mourir, simplement ça, ne pas mourir…
Ne pas mourir n’est pas vivre, c’est rester en vie, ne pas faire le pas vers cet ailleurs où finalement, quoi qu’il en soit, on ira et l’on terminera tous.
En fait, tenir c’est simplement repousser ce moment où le cœur cesse de battre et le souffle s’éteint.
J’ai retrouvé ça dans les mots de cet écrivain qui m’a séduit et fasciné à la nausée par moments, tant son mal, par le truchement de son écriture, était similaire au mien.
Un mal contemporain.
Un mal psychiatrique, réfléchi. Un mal où la pensée est active, où elle prend le dessus sur tout et ne laisse plus la vie s’exprimer.
Un mal qui ne laisse rien, mis à part lui, se répandre en nous.
Un mal qui gangrène cœur et corps.
Il est sorti de ce livre cet auteur après un temps, pour se matérialiser et venir me parler, puis me nourrir de ses autres textes.
Il m’a abreuvé de son écriture, de sa langue mais aussi des références communes que nous partageons.
Nous avons connu une ébauche d’amitié, une amitié épistolaire, brève, mais une amitié qui se consume comme un amour ardent, quant à moi en tous cas.
Un amour platonique, oserais-je dire, oui, mais un amour quand même, tant nos échanges étaient le reflet de la passion étrange décrite dans ce roman autobiographique, où tout se manifeste déjà seulement par l’écrit.
Je recevais ce qu’il était en train d’écrire actuellement, comme des joyaux venus d’un monde magique, très loin de celui que l’on connaît ici.
Je me délectais de cette primauté dont il me laissait jouir. Ces jours-là étaient pour moi merveilleux, tristes de son écriture empreinte de malédictions, mais beaux de vérité.
Ce partage me laissait entrevoir au-delà de nos nombreux points communs, une complicité totale que je n’aurais osé espérer.
C’est à ce moment que j’ai vu cet amour prendre forme.
Pendant des semaines je n’ai vécu que pour lui et par lui. Comme un adolescent.
Cette écriture du malheur dans laquelle je me reconnais complètement réduisait nos échanges à peu de mots, tant notre entente m’est apparue naturelle et forte dès les
