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La révolution Séraphique: Tome 1
La révolution Séraphique: Tome 1
La révolution Séraphique: Tome 1
Livre électronique461 pages4 heures

La révolution Séraphique: Tome 1

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À propos de ce livre électronique

L'idée, cette étincelle de lumière, plus vieille que le monde, est la cellule constitutive de la pensée et de l'esprit. Elle est au commencement, au cœur et à la fin de tout. Ce sont les idées qui font la civilisation, les hommes et les cultures. Ce sont elles qui se reflètent sur le miroir de nos sociétés et de nos comportements. Lorsqu'elles changent, le monde change. Il n'y a rien d'aussi puissant que l'idée dans l'univers ! Depuis près de quatre mois, des vagues d'idées nouvelles, se déversent sur la page « Révolution Séraphique » du réseau social facebook.
Un grand mouvement d'idées est déjà né, et il touchera les côtes de la politique, de l'économie, des sciences et de la culture, des armées, des sports, des arts, des techniques, de la famille, des religions et de toutes les assises de notre civilisation. Le présent ouvrage se veut le premier d’une série qui vous fera découvrir les messages de Sophos Holy, et les réactions des milliers de sympathisants qui suivent son mouvement.
LangueFrançais
Date de sortie3 janv. 2017
ISBN9791029006166
La révolution Séraphique: Tome 1

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    Aperçu du livre

    La révolution Séraphique - Sophos Holy

    Biouele

    Acte 1

    Mettre l’amour en toute chose pour créer un monde meilleur.

    La révolution séraphique se définit comme la refondation de nos sociétés sur des bases susceptibles de garantir le bonheur à tous les hommes. Une réforme des systèmes politiques, économiques et socioculturels en vigueur dans le monde est urgente, si nous voulons mettre fin aux guerres, aux actes terroristes, à la misère et aux injustices de plus en plus ravageuses qui frappent tous les continents. Il est temps de trouver des alternatives au capitalisme et au socialisme, aux républiques et aux démocraties, aux monarchies et à toutes les organisations incompétentes qui depuis plusieurs siècles, ne parviennent pas à construire des États où il fait bon vivre. En vérité, ces doctrines sont défaillantes et semblent même entretenir les maux qui nous asservissent. Nous devons nous en débarrasser et trouver de nouvelles formes d’organisations sociales, plus intelligentes et plus humaines. La clé de ce changement réside dans l’adoption du principe de « l’amour désintéressé » dans la politique, l’économie, les échanges, l’éducation, la vie familiale, le culte etc. Si la constitution et le droit d’un État reposent sur la recherche du bonheur de tous les citoyens et non sur les privilèges de quelques puissants, nos pays connaitront la paix. Le règne de l’amour en l’homme et dans toutes les branches de la vie sociale a pour nom la « DOMINARCHIE ». J’invite les jeunes du monde entier, tous les mouvements intellectuels et spirituels qui rêvent de changement, à réfléchir sur cette alternative et à la promouvoir dans leurs pays. De nombreux États sont des bois pourris qui ne résisteront pas au vent de cette révolution. Même si cela prend du temps dans certains pays, il faudra poursuivre la diffusion de ces nouvelles idées car la vérité finira par triompher. Seule la réalisation de l’Amour dans le droit et les institutions des peuples, pourra rendre à l’homme sa dignité et mettre fin aux malheurs qui ravagent le monde. Le slogan de notre combat sera donc « L’AMOUR EN TOUT ET TOUT DANS L’AMOUR ».

    Acte 2

    La société est le miroir de l esprit d’un peuple.

    Les États sont comparables aux hommes. Les territoires représentent leurs corps. Les populations dépeignent leurs âmes, et les institutions révèlent leur esprit. Un homme dont la pensée est saine produit des œuvres admirables, tandis que celui dont l’esprit est corrompu se plait à faire souffrir ses proches. Un État peut donc être raisonnable, pacifique, honnête, charitable et cultivé. Il peut également être voyou, irresponsable, hypocrite, voleur ou maléfique. En vous référant aux lois, à la qualité des services, aux institutions et aux actes sociaux d’un gouvernement, vous pouvez identifier la nature divine, humaine, sauvage ou satanique d’un État. Ce sont les hommes qui font les lois et les institutions. L’esprit des législateurs représente le moule dans lequel se façonne la vie des citoyens. Nous pensons et agissons, conformément aux paroles et aux convictions des dirigeants qui nous sont imposées comme des lois et des ordonnances. Si le législateur est sage et bienveillant, sa parole nous procure la paix et le bien-être. S’il est par contre ignorant et méchant, le souffle de ses lèvres est semblable aux fumerolles d’un volcan qui créent partout la désolation. La vie devient un enfer, comme on peut le constater dans les pays où les peuples gémissent, se révoltent et se radicalisent. La loi d’un peuple traduit son esprit. C’est elle qui fait le bonheur ou le malheur des hommes. Refondez-la dans la quête du bien-être de tous. Alors, elle fera naître le paradis sur terre.

    Acte 3

    La civilisation actuelle est désuète.

    Ce qui cloche avec nos États, c’est qu’ils veulent faire porter aux peuples des chaussures et des costumes idéologiques qui ne sont plus à leurs tailles. Les orteils s’écorchent depuis plus de 200 ans dans les bottes de la république, et tous les peuples transpirent sous le manteau et le casque étouffants du capitalisme. Il est temps pour les stylistes modélistes de la pensée, de reprendre les mesures de l’Afrique, de l’Europe, de l’Amérique et de l’Asie ; afin de leur concevoir des doctrines plus humaines et plus structurantes. Il est temps de dire avec intelligence NON à toutes les institutions et lois qui ne germent pas du principe qui crée l’homme et doit le gouverner : « L’AMOUR »

    Acte 4

    La charpente occulte de l’hymne national camerounais

    Levons un pan du voile de la chambre du mystère où sont gardés les secrets du pays. Tout (e) camerounais (e) doit savoir que notre hymne est une construction de 12 vers, répartis en trois quatrains. Les quatre premiers vers chantent l’énergie de la terre et placent le Cameroun sous l’invocation du Soleil (Logos) dont le drapeau est le symbole caché. (Vers 3 et 4)

    Le second quatrain unit les 238 tribus du pays dans le feu de l’Amour qui crée une nation flamboyante, pétrie de foi et d’unité. Le service qui est prescrit à ce peuple est défini dans le dernier vers du refrain qui dit : « A toi l’amour et le grand honneur ». Servir véritablement le Cameroun, c’est l’aimer et aimer tous ses enfants du nord au sud et de l’Est à l’Ouest.

    Le refrain proclame que le Cameroun est notre bonheur, notre joie et notre vie. Une source de telles merveilles ne peut que mériter notre amour et notre reconnaissance. Le bonheur, la joie et la vie forment le triangle dans lequel le triangle national doit se réaliser. Les valeurs de la devise (paix, travail, patrie) se trouvent dans ce même triangle du soleil et elles se rapportent aux plus lointains ancêtres du Cameroun, qui nous ont transmis le chasse-mouches (paix), la canne du berger (travail) et le siège ou le trône (patrie qui nous porte).

    Sans commettre le sacrilège de tout révéler (tout au moins pas maintenant), je voudrais juste dire aux Camerounais qu’ils sont le peuple du Soleil. Ils doivent être unis dans l’amour, et cela leur ouvrira les portes du Bonheur, de la Joie et de la Vie. En effet, à l’Amour rien n’est impossible

    Chantez donc avec ferveur cet hymne incroyable, dont le premier et le dernier vers, résument notre destin.

    « Ô CAMEROUN BERCEAU DE NOS ANCÊTRES…, A TOI L’AMOUR ET LE GRAND HONNEUR »

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    COMMENTAIRES

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    Karl Ottou Chaque fois que je vois papou, je vois le CHRIST, MOÏSE en plein jeûne. quelle force quel courage. nous arrive t il de faire notre introspection : ESPRIT ES TU LA ?

    J’aime · Répondre · Contacter · 18 juin, 19:39

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    Francis Eboutou Incroyable analyse bravo

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 19 juillet, 20:46

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    Linda Stella Boho J’admire

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 29 juillet, 23:25

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    Kepler Tchoffo Tros class

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 5 août, 08:01

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    Liliane Mekui Trop d emotion me fait pleuré

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 13 août, 14:56

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    Paulette Chantal Eyenga Mve tres bonne analyse

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 13 août, 17:25

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    Francois Mapoko Mbanga SO BE ITVoir la traduction

    J’aime · Répondre · Contacter · Hier, à 10:23

    Acte 5

    L’hymne national français est-il un chant barbare ?

    Telle est la question, posée par un internaute à la suite de la publication de mon article sur l’hymne national camerounais. Comme je l’ai dit dans une précédente publication, le territoire, le peuple et les institutions d’un pays représentent son corps, son âme et son esprit. L’État est comparable à un homme et l’hymne traduit l’écho de ses valeurs fondamentales. Lorsqu’on écoute l’hymne national français, surtout en cette période de Coupe de l’UEFA, on croit entendre les cris d’une armée qui s’apprête à livrer bataille. La guerre s’est transportée sur les terrains de football où les deux équipes doivent : « mettre le feu dans le camp adverse, faire des tirs cadrés, harceler les adversaires, être agressives, attaquer, tacler, créer des murs pour stopper les boulets de canon lors des coups francs, assurer la défense, gagner la confrontation, etc. ». Le langage des journalistes, l’attitude des supporters, l’état d’esprit des joueurs motivés par les primes de match font des stades de football des visages modernes des arènes romaines. Au lieu de parler d’un match entre les équipes de football de la France et du Cameroun, on dit que la France et le Cameroun vont s’affronter au Parc des princes. Cet abus de langage crée des passions qui vont au-delà du sport et font naitre des frustrations chez ceux qui ne s’intéressent pas au football. La porte est donc ouverte à tous genres de débordements et cela est un danger pour la paix. La Fifa doit faire sortir l’État, l’armée et la guerre des terrains de football, ainsi que du langage des journalistes sportifs. Le football est un jeu et tous ceux qui en font un instrument de guerre occulte entre les nations, devraient être expulsés des stades.

    Pour revenir à l’hymne national français, il faudrait que l’État prenne des mesures pour expliquer ce chant qui date du temps où, les armées Autrichiennes se préparaient à envahir la France révolutionnaire, à la suite de l’exécution des membres de la famille royale à Paris. Ce chant de mobilisation des forces républicaines contre les restaurateurs de la monarchie, rappelle une période effroyable de l’histoire de la France. Si on l’écoute cependant en percevant les mots dans leur résonnance spirituelle, les huit couplets et les huit refrains de cette chanson se révèlent éblouissants de lumière.

    L’hymne national français est le cri de liberté d’un peuple, qui ne veut plus retrouver les chaines de sa servitude. Il est le chant de la marche de l’homme, contre la tyrannie de l’injustice, de l’ignorance, de la misère, de la discrimination et de tout ce qui peut engendrer l’esclavage physique, psychique ou moral. C’est cette lutte qui fait la « gloire des enfants de la patrie ». Lorsqu’ils crient donc, « aux armes citoyens, formez vos bataillons » ; l’homme éclairé doit surtout voir les armes de la science, de la philosophie, de la technologie, de la religion et de la culture française dans son ensemble. C’est tout ce qui fait la grandeur de ce peuple, qui constitue son arsenal de guerre contre ses assaillants véritables, qu’il ne faut pas voir a priori comme des hommes ou des armées classiques ; mais comme l’ensembles des doctrines, des pensées et des œuvres qui asservissent le peuple. Les armées autrichiennes d’aujourd’hui, sont les terroristes, les mauvaises politiques qui font marcher les grévistes, les inondations et tout ce qui rend la France malheureuse. L’hymne national français n’est donc pas un chant barbare, par contre, ceux qui en font un chant de guerre traditionnel et le vivent en tant que tel, sont effectivement des barbares

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    77 partages

    43 000 personnes atteintes

    COMMENTAIRES

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    Franc Toukam Encore une grosse connerie comme disait mon prof pas tres loin du negre du tramway d’aime cesaire !!

    J’aime · Répondre · Contacter · 2 · 25 juillet, 18:16

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    Sadjo Sossolom Exellent ! Telles sont d vraies analyses digne d’un bel observateur réaliste tes propos snt d’une conviction impressionante. Seulement, j’ai peur pr toi que les anti francais et ceux qui cmprenent de travers te traitent de fanatique.

    J’aime · Répondre · Contacter · 1 · 25 juillet, 19:02

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    Revolution Seraphique Bonsoir, frère de Tokombéré. Heureux de savoir que nous marchons ensemble. Ta pensée me fortifie. Je me contente d’expliquer l’hymne national français, comme je l’ai fait pour celui de mon pays le Cameroun. cela ne fait pas de moi, un français ou un dé… Voir plus

    J’aime · Répondre · 2 · 25 juillet, 22:38

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    Christophe Yap J ai envie de rire… ce texte est tout un hymne a la gloire d un peuple en perte de vitesse. Une sorte d inventaire avant liquidation comme dirait les pays vendeurs a la sauvette de la boutique Europe.

    J’aime · Répondre · Contacter · 2 · 28 juillet, 08:38 · Modifié

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    Revolution Seraphique Non mon cher frère. J’expliquais l’hymne du Cameroun et un internaute m’a posé la question de savoir, ce que je pensait de l’hymne français. Je l’ai donc expliqué selon ma vision. La France a ses laideurs mais elle a également des beautés. même si vous ne l’aimez pas, il faut reconnaitre ce qu’elle peut avoir comme valeurs.

    J’aime · Répondre · 26 juillet, 00:14

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    Pascal Bayang Kewa mn gar tu conai.

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 25 juillet, 23:54

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    Guy Patrice Njanteu Ngaha Très bonne analyse

    J’aime · Répondre · Contacter · 26 juillet, 06:09

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    Maurice Ntsele merci pour ses infos mon frere et courage a toi tes un patriote

    J’aime · Répondre · Contacter · 26 juillet, 08:03

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    Revolution Seraphique bonjour maurice ; c germain ndigo ton oncle ; bonne journee

    J’aime · Répondre · 26 juillet, 09:28

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    Hector Vlad Itok Très bonne analyse sur cet hymne. Sachons que la france aussi a souffert un temps et s’est formé sur une espérance de liberté Même si aujourd’hui elle baffoue ses principes de fonctionnement. Tous les anti-français n’auront que faire de tout ça, alors qu’ils évitent de commenter.

    J’aime · Répondre · Contacter · 26 juillet, 16:09

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    Evariste Vigil Essono analyse pertinente mais sache qu’il sagit de la culture Française !

    J’aime · Répondre · Contacter · 1 · 26 juillet, 20:07

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    Ngom Charles Aime Moi je ne te traiterai pas de fanatique car ce que tu dis est vrai. Tu as presque tout dit de ce qu’est un hymne. Les français aiment leur hymne et leur pays, c’est légitime, c’est leur orgueil, âme, esprit, c’est légitime, c’est leur fierté c’est e… Voir plus

    J’aime · Répondre · Contacter · 2 · 27 juillet, 09:12

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    Revolution Seraphique Bonjour. Vous avez raison. la liberté, l’égalité, la fraternité et les couleurs des drapeaux ne peuvent pas devenir la propriété d’un peuple ou d’un État. Ces valeurs sont naturelles et universelles

    J’aime · Répondre · 1 · 27 juillet, 09:59

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    Bbarth Lowé Pour ma part il faut respecter les autres. L’hymne français fait partie de l’identité de la nation française, alors qu’elle vous plaise ou pas vous n’avez pas le droit de traiter cette hymne de BARBARE. Si vous avez un quelconque problème avec les dirigeants ou la politique française limitez vous la. Mais respecter le peuple français.

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 2 · 27 juillet, 10:16

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    Leatitia Yamdeu Bbarth Lowé, tu n’a rien compri de cette publication. Ne résonne pas en enfant mais lit entre les lignes. Très bon résonnement à toi ki a publié ca ! Bravo

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 3 · 27 juillet, 11:54

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    Frédéric Thiérry Maba Restons objectif, tt les pays ont une histoire, aujourd’hui si vs voulez revoir l’hymne d’un pays c ke vs voulez revoir son histoire et c pas possible !!! C vrai k’il est bien de faire des réflexions mais posons ns la question ke dirons les autres à propo… Voir plus

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 3 · 27 juillet, 12:18

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    Ahmed Hassau Mon pote evite de faire le faux savant ou le savant du non savoir. rappelles toi plus loin kan socrates disait : tout ce ke g sais c’est ke g ne sais rien. kan a l’hymne et la souverainete d’un pays laissons a son peuple l’opportunite d’analyses ils en ont bien les capacites intellectuelles. mais kan meme belle galimatia de ta part si tu peux comprendre ce ke sais bien sur

    J’aime · Répondre · Contacter · 3 · 27 juillet, 14:31 · Modifié

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    Revolution Seraphique TMieux que toi mon cher ami car je suis de nationalité française

    J’aime · Répondre · 1 · 27 juillet, 18:05

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    Clement Ngah l’hymne RESTE LA CARTE d’identité d’un PEUPLE

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 27 juillet, 23:09

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    Revolution Seraphique Salut. On verra. Bonne nuit

    J’aime · Répondre · 28 juillet, 00:27

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    Germaine Ruth Meyee Belinga c davantage un chant de raliment q un hymne…

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 28 juillet, 21:12

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    Corinne Abouang TSIIIIIIIIIIUP

    J’aime · Répondre · Contacter · 1 · 28 juillet, 22:38

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    Kabirou Yagami Allons enfants de la Patrie (…) L’étendard sanglant est levé (…) Entendez-vous dans les campagnes… Voir plus

    J’aime · Répondre · Contacter · 29 juillet, 08:12 · Modifié

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    Jojo Franco Respectons les institutions des pays eu aussi on une histoire. soyons positif au lieu d’être des babares

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 29 juillet, 13:07

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    Martiinoo Le Moine Ngueffaang Il revient donc au politik de mettre tout en oeuvre pr recontextualiser ce chant

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 30 juillet, 00:04

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    Terence Loe que puis-je ajouté a cela rien… mais vu l’état des choses aujourd’hui, ns continuons à croire que leurs hymnes est celle d’un appel à la servitude des peuple particulièrement africain (impérialisme moderne)… en fait sur 10 français d’origine biensur… Voir plus

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 31 juillet, 10:48

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    Said Mouaffo Mouhamad Ki poura donc passé en rvu cs parole ? N negligons pa l fait k chak jeneration trouve en ces chant patriotik 1e par d verité dou la stabilité d c chant. San tout foi vs doné tor bi1sur

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 31 juillet, 20:10

    1,6 KHeavenly Joy Jenkins, Cevano Kenfack et 1,6 K autres personnes

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    Nøīr Lłãmí Sophos c’est un régal de te lire.

    J’aime · Répondre · Contacter · 1 · 25 juillet, 16:46

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    Revolution Seraphique Coucou petit frère. t’embrasse

    J’aime · Répondre · 2 · 25 juillet, 18:37

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    Kryn Sontia Belle analyse, les marseillais (français) doivent donc revoir les règles liées aux emblèmes de leur nation

    J’aime · Répondre · Contacter · 3 · 25 juillet, 22:03

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    Jean Paul Ntock À propos du football, une petite lecture sur la géopolitique du football du prof Mathias Éric OWONA t’edifiera sur le fait que le football est bel et bien un affrontement, un jeu avec des motivations et des engagements plus qu’individuel ou personnel… Voir plus

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 5 · 25 juillet, 23:44

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    Serge Abran En fait, les Français reconnaissent en général que c’est assez barbare et il a souvent été question d’en changer les paroles. Mais c’est un rappel très fort du passé révolutionnaire, d’un temps où ça « chauffait », et la tradition est très forte aussi. Comme l’attachement des Français à leur hymne est très grand, cet hymne reste inchangé.

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 4 · 26 juillet, 08:14

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    Adrien-cedric Ndeme Qu’un sang impur, Abreuve nos sillons. C’est en fait ce couplet qui soulève le plus d’émoi. Mais enfin… c’est leur histoire qui y est raconté.

    J’aime · Répondre · Contacter · 2 · 26 juillet, 21:30

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    Vincent Serge Nguini Lire Sport et civilisation de Y. Dunning et Nobert Elias. Tres édifiant !!!

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 3 · 26 juillet, 22:34

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    Bravo Evis ainsi soit-il

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 27 juillet, 08:29

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    Egardo Mbiandjeu Coul

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 27 juillet, 08:41

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    Serge Abran Vous vous souvenez de ce qu’étaient à l’origine les paroles de l’hymne camerounais ? On les a heureusement changées (!!!!!), mais il n’est pas aussi facile de changer celles d’un hymne comme La Marseillaise, qui a une longue histoire.

    J’aime · Répondre · Contacter · 28 juillet, 08:41

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    Revolution Seraphique Oui, « autrefois tu vécu dans la barbarie… tu sors de ta sauvagerie… » TRISTE.

    J’aime · Répondre · 1 · 28 juillet, 10:37

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    Ali Ismael La france (F) un pays sans âme ni histoire héroïsme propre à elle. Un pays construit par l’histoire des autres. Un pays des parvenus, des mendiants et criminels.

    J’aime · Répondre · Contacter · 2 · 28 juillet, 13:52

    9 réponses

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    Désiré Mponguede « Peu à peu tu sors de ta sauvagerie ». Nous avons chanté ça ?

    J’aime · Répondre · Contacter · 29 juillet, 02:32

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    Revolution Seraphique écoutes ce qu’on a fait chanter aux Congolais durant ces mêmes années, tu pourras t’écrouler

    J’aime · Répondre · 29 juillet, 08:39

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    Jojo Franco Respectons les emblèmes et institutions des états svp. être anti français ou anti colons ne veut pas dire de bafoué leur instances

    J’aime · Répondre · Contacter · 29 juillet, 13:12

    3 réponses

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    Emmanuel Nanga breff ta assuré sa penétre c bien

    Je n’aime plus · Répondre · Contacter · 1 · 30 juillet, 17:13

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    Edjang’s BO c est quoi le sang impur qui doit abreuver les sillons ? :)

    J’aime · Répondre · Contacter · 30 juillet, 20:34 · Modifié

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    Olivier Stéphane Propos très éloquent en somme sur la forme. Mais quelques reserves sur le fond à propos du football dont la géopolitique est un chapitre du cours« Grands Problèmes Politiques Contemporains » du Pr Owona Nguini, en 3e année de Licence option Droit Public. (Confère à ce propos la brillante analyse ci-dessus de Jean Paul NTOCK).

    J’aime · Répondre · Contacter · 30 juillet, 22:13

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    Jo-angels Nted D’après colonisation les noirs : indigènes, tirailleurs, barbares et race inferieure. M1tenan traite des esprits. votre histoire chers français vous le rappellez dans votre hymne qui est barbare et sauvage à la fin ?

    J’aime · Répondre · Contacter · 1 août, 15:59

    Acte 6

    Les apports de la sexualité dans la création d’une nation

    L’état d’esprit des parents, leurs comportements sexuels et les cadres physiques de leur vie intime exercent une grande influence sur la conception des enfants car tel est le moule, telle est la forme de l’objet qu’il produit. Aucun homme ne souhaite apprendre qu’il a été conçu dans les toilettes d’un bar sordide, le caniveau d’une rue, la table d’un boucher, ou le lit d’un motel fréquenté par des prostitués et des fumeurs de chanvre. Il n’est pas défendu de faire l’amour dans la nature, la cuisine ou la piscine. Toutefois, lorsqu’on veut donner naissance à un enfant ; il est indispensable d’y mettre du sérieux et de se trouver un cadre honorable, à la hauteur de l’HOMME sinon, une telle négligence devient criminelle. Ce qui se fait dans la bassesse attire la bassesse, et ce qui se fait dans la gloire attire la gloire. Le bonheur d’un homme se prépare dès le jour de sa conception. Tous ceux qui veulent faire naître de grandes âmes dans leurs familles, doivent éviter de s’accoupler n’importe où et n’importe comment. Ils doivent faire preuve de grandeur, d’humanité et d’ingéniosité car le fait de se comporter comme des bêtes sauvages qui ne recherchent que le plaisir, affaisse notre humanité dans l’animalité. L’état d’esprit de ceux qui font l’amour peut souiller la conception de l’enfant lorsqu’il est fade et malsain. Concevoir un enfant en temps de querelles, de stress, de deuil ou de maladie n’est pas recommandable. Lorsqu’on se reproduit également pour montrer sa virilité, renforcer ses moyens de défense, s’assurer un héritier pour ses richesses, être bien entouré dans sa vieillesse ou encore valider par chaque enfant, un numéro de loto qui pourrait rapporter gros, c’est faire preuve d’égoïsme et de narcissisme. Ces enfants n’ont pas de valeur en eux-mêmes, puisqu’ils ne sont que des outils de travail au service du bien – être de leur géniteur. On ne les aime pas mais on se sert d’eux pour assouvir ses propres désirs. S’ils n’accomplissent pas les tâches pour lesquelles on les a « fabriqués », on regrettera ensuite toutes les peines et les sacrifices consentis pour les éduquer. Ces enfants, qui forment la grande majorité de

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