La Bible du XXIe siècle selon Einstein et Darwin

Par Mark von Stutzheim

Au faîte d’un progrès fait pour le bonheur, l’homme qui se croit insubmersible, plonge dans le malheur. Sous la dictature de la Finance et des technocrates, 80 % de l’Humanité crient misère sous le nez inactif des religions et penseurs établis. Sous le masque médiatique,l’espèce humaine court au suicide et y entraîne animaux et plantes. Ses pollutions sont quasi-irréversibles et les damnés de la Terre commencent à hurler. Les institutions, devenues des monstres, créent plus de malheurs qu’elles n’en préservent, contrairement à leur mission. Dans le même temps, grâce à l’explosion de la communication, naît un village mondial de bonne volonté qui créera une Cité radieuse avec des morales et des lois neuves pour une écologique de vie et de spiritualité. Cette révolution nous est donnée par la Science de la relativité qui rejoint la tradition et remplace le rapport de force par l’harmonie. Nous n’avons plus le choix. Ce livre n’a rien inventé, mais tiré les conséquences de 150 ans de découvertes.

• Langue: Français
• Éditeur: Les Éditions du Net
• Date de sortie: 17 mars 2015
• ISBN: 9782312031415

Aperçu du livre

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La Bible du XXIe siècle selon Einstein & Darwin

Mark von Stutzheim

La Bible du XXIe siècle selon Einstein & Darwin

LES ÉDITIONS DU NET

22 rue Édouard Nieuport 92150 Suresnes

© Les Éditions du Net, 2015

ISBN : 978-2-312-03141-5

Ce livre est dédié :

à la vie qui m’a fait naître dans 6 religions dont celle de la science, le Cosmos et leur lien avec la tradition,

à André COSSA qui m’apprit la loi et Andrée CREMIEUX FORTIN la rationalité de l’irrationnel.

Au prince Mohamed El MARNISSI qui m’a appris dès ma naissance la grandeur du véritable Islam.

À Stéphane HESSEL dont je partage à 99 % les opinions et convictions.

Au Petit Prince, mon demi-frère jumeau, comme moi naïf, lucide et sensible, à l’errance planétaire, la prêtrise de la rose et l’ennui que nous procurent les grandes personnes, pleines de pouvoir et d’orgueil éphémères.

À mes enfants de sang, qui me prennent depuis 30 ans pour un doux rêveur-but I am not the only one-, ainsi que les femmes rencontrées, qui m’ont révélé l’intuition, la route la plus sure vers le réel. Elles sont en filigrane dans la bataille de ces lignes pour que notre espèce ne soit pas détruite par son égoïsme machiste, prédateur et pollueur.

À CHARLIE mon frère de révolte, lui assassiné et moi discrètement ruiné pour vouloir réveiller la torpeur de la pensée unique et de l’indifférence générale.

À COLUCHE, seul homme politique sérieux que j’ai rencontré avec Gandhi, Carol Woytila, Pierre Desproges, Henri Groues, à qui je n’ai qu’un reproche à formuler : nous avoir lâchés au moment où nous avions le plus besoin d’eux.

Et à tous les hommes de bonne volonté plus nombreux qu’il n’y paraît.

Le 14 janvier 2015

Mark von STUTZHEIM

Avant-Propos

Ce livre définit, entre autres vérités nouvelles difficiles à prononcer :

que les religions qui mettent à feu et à sang la planète sont devenues des légendes qui trahissent l’esprit de leurs fondateurs, mais que ‘Yechoua’est plus que nécessaire,

que Dominique STRAUSS-KHAN, seule personne apte à résoudre la crise mondiale et celle de la France, est victime d’un vaste complot de la C. I. A, au risque de sa vie,

qu’il lance les bases de la Bible du IIIe millénaire selon des cosmogonies et spiritualités issues des travaux de Darwin, Lamarck, Einstein, Lemaître Sagan (Karl), Reeves & Co.

Que notre crise est une mutation qui nous contraint, si nous voulons survivre, à ne plus exploiter dans un désordre glouton :

la Nature : mers, sols, plantes et animaux,

les autres humains, chez soi et partout dans le monde, le Tiers en premier,

ne plus utiliser le rapport de forces dans nos relations individuelles et collectives.

Mais, puisque dans ce monde actuel on existe que médiatisé, je ne citerai que Dan BROWN (auteur du DA VINCI CODE) fait dire à un des personnages de son ouvrage INFERNO :

« Donc, vous pensez qu’on devrait accueillir ces innovations à bras ouverts ».

« Si on ne le fait pas, on ne respecte pas la vie, ce serait comme si les hommes des cavernes se laissaient mourir de froid par peur de créer un feu ».

Nous n’avons rien inventé, ni l’un ni l’autre, mais comme Graham BELL et Thomas EDISON pour le téléphone autrefois et tant d’autres découvertes, c’était « dans l’air du temps ». Et cette synthèse doctrinale se heurte à l’hostilité d’institutions périmées. BROWN en a fait des romans. Espérons que l’aridité sévère de mes propos qui donne un autre regard sur RAMSES, YECHOUA, MOHAMED et LUTHER ne rebuteront pas le lecteur. Avec comme prophètes EINSTEIN et DARWIN et leurs successeurs du XXe et XXIe siècles.

Nous vivons une révolution au ralenti, avec plaies et bosses et conflits périmés ; mais que dans les mots, les actes sur toute la planète, et ailleurs, observons une vraie révolution, au sens propre.

« Aux armes citoyens, formez vos bataillons, qu’un sang impur abreuve nos sillons », est un chant barbare qui me hérisse le poil depuis ma plus tendre enfance et devenu indécent aux jours que nous vivons où la douceur, l’amour et la recherche d’harmonie universelle sont les seules armes que nous ayons le droit d’utiliser aujourd’hui.

Si vous pensez résolument que tout est immobile, que Dieu a créé l’univers et l’homme en 7 jours de 24 heures, que la Terre est plate, que Jésus a combattu les Juifs, que Mohamed a prêché la guerre sainte contre des chrétiens et Luther fut un apostat. Si enfin tout va pour vous au mieux dans le meilleur des mondes, ne lisez pas ce que les Québécois appellent ce « pamphlet ».

Il pourrait ne pas être accepté par vous, mais je vous promets des réveils douloureux.

Est-ce pour cela qu’on assassine CHARLIE, autre chantre de la liberté et de la différence. Mais la vérité, consciente ou inconsciente sur ce drame qui a réuni à Paris les chefs d’État du monde a pour racine, non dite, que des criminels islamistes prennent comme prétexte la pauvreté des peuples qu’ils terrorisent.

Et convertissent à leur faux Islam, très loin de Mahomet, pour les venger à leur propre profit, le seul ennemi que les Occidentaux protègent : la haute finance internationale qui appauvrit ces pays pleins de richesses naturelles achetées à bas prix par le jeu des matières premières sous la surveillance de leurs chefs d’État corrompus.

Je ne suis pas sûr d’être l’auteur de cet ouvrage que j’ai le sentiment d’avoir écrit sous la dictée de l’air du temps que je peux appeler ce que le sens commun dénomme Dieu et qui commande impérativement notre avenir d’humains si nous voulons que nos descendants survivent. Nous en sommes là.

« En ce début de millénaire », dit Edgar MORIN, « la planète est sur la voie vers l’abîme. » Les humains se multiplient à vouloir dire NON à la folie qui l’agite du Nord au Sud et d’Est en Ouest :

La vie publique mondiale, donne le spectacle d’un cauchemar où des puissants imposent des lourdes lois à des peuples impuissants.

La violence rôde : celle du riche qui pille les ressources du pauvre à bas prix. Lequel viole son territoire qu’il envahit par un tsunami d’immigrés affamés, qui ne cessera que par la fin des dictatures pourries complices des intérêts du Nord. Des bandits utilisent la pauvreté de ces peuples à l’Islam pacifique, pour mettre à feu et à sang la planète (New-York, septembre 2001, Paris, janvier 2015, Copenhague, février 2015) en imputant la faute aux chrétiens et juifs d’Occident.

Le cancer des mégapoles anonymes, le gâchis de guerres fratricides, la pollution sous toutes ses formes de la malbouffe aux déchets qui détruisent nos corps, nos âmes, nos océans et la terre.

On maltraite les « FEMEN », courageuses révolutionnaires qui combattent avec beauté et fraîcheur des siècles d’hypocrisie machiste et apportent vérité, force et espoir dans un monde qui s’écroule et tremble où les femmes de talent commençaient à devenir des « simili hommes ». Leur combat ressuscite la féminité.

Les médias, premier pouvoir universel, confisqué par un microcosme sans autre âme que l’Audimat, qui va au secours du scoop, mais jamais de la réalité.

Le crime de dire ces vérités m’a valu bien des misères depuis 20 ans. Et pourtant… elle tourne… la vie. Même si attaqué par les maîtres de la pensée unique, je vois ce message lancé en 2000, devenir, maladroitement certes, une réalité en Ukraine, Tunisie, Égypte, Libye et ailleurs en traînée de poudre. Il évolue vers la paix en un Monde… Tiers, fragile qui commence à nous donner des leçons. Quoi qu’il y paraisse. Comme l’a demandé Stéphane HESSEL, « je m’indigne… depuis 30 ans ? » Sans avoir eu la même carrière et le même accès aux médias dont, il devait être, en apparence, complice pour… S’indigner.

Cette litanie dit le mépris du microcosme mondial pour la vraie écologie, même si des voix d’élites sincères, s’élèvent, d’Al Gore à Nathalie Kosciusko-Morizet. Mais on la limite à l’air, les plantes et la mer. L’écologie touche certes la nature, mais aussi la vie commune, ‘politeïa’(politique au sens large) : le respect de soi, des autres, de la spiritualité à la santé, dans la présente anarchie de la vie sociale, du couple aux nations. Nous en présentons ici les nouvelles donnes et solutions.

Cette crise conduit l’espèce à sa perte, d’Alta au Cap, de San Francisco à Vladivostok. Mais les consciences s’éveillent face au danger devenu mondial. C’est l’aube d’une révolution qu’exige la survie de l’Homme. Voulez-vous que cela change ? Cela ne dépend que de l’union de tous pour mettre fin à toutes ces pollutions. Si nous laissons faire, la vie s’éteindra bientôt sur la planète bleue, perdue au milieu des étoiles. Périront aussi nos frères animaux et plantes. Rien n’est plus maîtrisé. Il est urgent de tout modifier : actes, croyances, vie sociale, lois, etc… : tout cela est éminemment politique.

Comment ? = Réveillez-vous, frères endormis, tous petits enfants de Lucie.

En retrouvant nos liens avec l’univers, liens que la science rénove depuis deux siècles, y compris morales et spiritualités. Par une nouvelle vision du monde qui prend racine dans la tradition. Lié depuis toujours au cosmos, l’homme, sorti de l’animalité, le sentait sans le réaliser. Il nommait ce lien Anou, Râ, Bouddha, Zeus, Yahvé, Allah ou Dieu. Sa dépendance, innée, devient rationnelle. Tout vient de ma rencontre avec mon prophète : Albert EINSTEIN. En effet, adolescent, j’ai été, avec bonheur, choqué par une de ses confessions :

« La Science sans religion est boiteuse, la religion sans Science est boiteuse ».

« Et par ailleurs, je ne crois pas en un Dieu personnel et je ne l’ai jamais nié, mais exprimé clairement. Si quelque chose en moi peut être appelé religieux, c’est l’admiration sans bornes pour la structure du monde pour autant que la Science peut nous en révéler »

Ce lien au Cosmos nouvellement conceptualisé révolutionne notre vue du monde et met au rang de légendes les cosmogonies qui régissent plus de la moitié des humains depuis des milliers d’années. Si les savants chinois, grecs et arabes en avaient eu l’intuition mathématique ou spirituelle, le modèle atomique apporté par la Science depuis 150 ans prouve ce que sont l’Univers, le temps, l’espace, l’esprit et la matière. En apparence, curieusement, la nouvelle pensée rejoint la tradition et concerne toute l’humanité.

Cette cohérence neuve, Universelle, n’est ni chrétienne ni bouddhiste, ni musulmane, ni juive, ni animiste ou athée, mais toutes à la fois. Elle met fin aux guerres entre les religions et entre religion et science. Elle concerne aussi ceux qui veulent sauver la planète des métastases du cancer d’une civilisation en stade final. Cela peut nous permettre de transformer une poubelle planétaire en un lieu de bonheur, même si nous nageons encore dans le purin.

Il est temps de lâcher nos certitudes périmées et de rétablir l’écologie générale, physique, morale et spirituelle, de notre boule ronde et bleue… Sinon, nous la perdrons, cette boule. Face à ce danger, mortel, commençons par restaurer nos écologies personnelles par une mise en harmonie avec nous-mêmes, l’autre et la nature, conscients de l’unité que nous constituons ensemble.

Pour survivre, libérons de leur gangue nos spiritualités dites révélées, qui servent à ce jour de masque de légendes au service du rapport dominant / dominé. C’est pour cela que tous les jours encore des humains s’entre-tuent et ruinent le monde au Moyen-Orient, en Asie en Afrique ou ailleurs. La surpopulation, les guerres et les pollutions ne cesseront, c’est urgent, que lorsque seront admises une nouvelle vision du monde et la nature spirituelle de la vie liée au cosmos, dans la pensée, l’action et les relations. Selon ce modèle, atomique, l’irrationnel est l’intuition d’un rationnel non encore connu et l’énergie, forme de la lumière qui a été, perçue, il y a 2. 500 ans par Bouddha et Démocrite, contemporains en contact ou pas, comme particule, universelle éternelle. C’est sur cette intuition qu’a été bâtie la spiritualité de la réincarnation.

Après les révolutions de conception du monde animal de DARWIN et LAMARK, la théorie de la relativité et la Science des fondements, et toutes leurs équipes durant les 150 dernières années, nous ont offert une réalité qui justifie aussi le renouveau du bouddhisme et de l’animisme. La preuve rejoint la croyance.

Cette spiritualité impose un modèle écologique : dans la nature comme dans les relations des êtres et des sociétés : la compassion et la maîtrise des émotions deviennent la base de la psychologie moderne : la communication y remplace le combat.

Initiée par la non-violence de Gandhi, suivie par la croisade du Dalaï-lama, elle démontre la primauté de l’harmonie sur la force, de l’Être sur l’Avoir, clef de notre avenir : l’évolution écologique.

Sa méthode : respect, amour, santé et spiritualité conjugue joliment le rapport des humains : couple, éducation, vie sociale.

Sans renier Ramsès, Bouddha, Moïse, Jésus, et Mohamed, dévoyés par les politiciens dont l’échiquier est la malédiction de notre temps. Une cité nouvelle, planétaire, naît sous le signe de la lumière, symbole divin et réalité de science qui devient l’axe de la modernité. Elle tire du rationnel sa force et dicte notre généalogie d’enfants des étoiles. Sa nature intime d’onde et de particule constitue toute vie, de l’infini cosmique à l’infini petit. Une réalité spirituelle tirée de la science conduit notre avenir.

La néo-psychologie, avec Deepak CHOPRA s’en inspire. Barack OBAMA en est le premier fruit, même si cela se voit encore peu, dans l’étau politico-financier qui bride sa révolution. Nous devons ces mutations à nos relations, de plus en plus intimes, avec l’Asie et l’Afrique.

C’est le bénéfice de la mondialisation et discrète contrepartie d’une ère coloniale encore vivace à travers ses agents locaux aujourd’hui par bonheur en voie de disparition : Moubarak, El Assad, Ben Ali, Kadhafi, Gbagbo…

La révolte des peuples musulmans se voulant pacifique, hors des intégrismes, en est la première étape. Même si elle traverse de très sinueux méandres.

(La Révolution Française, ne l’oublions pas, a mis 80 ans à obtenir des apparences de démocratie.)

Elle se propage vite par la magie d’Internet et du cellulaire à tous les damnés de la Terre et marginaux d’Afrique d’Europe et d’Amérique. Elle lie intuition et raison en sa pensée, à la suite de celles des grands initiés cités plus haut. Même si leurs acteurs sont un peu brouillons.

Tout cela par le fait des savants du XIXe siècle à nos jours. Il devient évident que la vie nous vient du Cosmos, corps et âme. Cela fera l’objet du chapitre 3 : « L’homme Cosmique ».

Notre nouvelle culture, universelle, est fondée sur une vision intuitive par la tradition et rationnelle de par la science, de la vie et… de la mort. Elle balaye les idées reçues et justifie la réincarnation. Ne le nient plus que les captifs de mythes périmés. Dans le même temps ou l’astrophysique et la science atomique des fondements à suivi le transformisme de l’évolution de Darwin, une nouvelle vue du monde, née de façon aussi peu contestable que le fait que la Terre est ronde pour Galilée.

Adam et Ève sont de jolies légendes pour Jean E. Charon, disciple d’Einstein. La thèse de ce savant, dans son ouvrage : « J’ai vécu quinze milliards d’années » (Albin Michel, 1983), justifie la permanence de la conscience à travers le temps et apporte une révolution des concepts. On ne peut plus dissocier Spirituel et Matériel, de même nature intime. Le jeu cosmique est une perpétuelle évolution en tous domaines, y compris la conscience.

À la lumière de cette vision de spiritualité, ce que la tradition nomme Dieu est la commune conscience du Cosmos, contenant toutes les autres. Elle a sa propre maîtrise et constitue la pointe de pyramide de toutes les consciences, des galaxies à la moindre particule.

L’avenir ne peut, par nature se bâtir solidement que sur le passé. Il faut donc avoir la sagesse d’accepter que cette spiritualité rejoint une tradition partagée par plus de la moitié de l’humanité. Elle fut l’intuition du filigrane de notre lien au Cosmos mis à jour par la Science. Il en est proche par son vocabulaire, sa vision et la pratique du bouddhisme. C’est aujourd’hui notre vraie raison d’espérer. Et retrouver une nouvelle cosmogonie… et les structures et règles qui en découlent du familial au spirituel en passant par l’économique et le politique. Je m’en explique au chapitre 2.

Cette révolution, au sens propre du mot, est le constat que tout est en système, avec sa propre écologie, et depuis toujours. Elle donne enfin son sens au passé et au futur. Cette réalité, même limitée à l’état actuel de nos connaissances, (formule d’Hubert REEVES) ouvre un horizon merveilleux, mais exigeant quant à notre place dans l’Univers. Elle exige une adaptation permanente à tout ce qui l’entoure et le compose de la pierre à l’ange. Cela explique la souffrance, d’apparence absurde, mais salaire négatif de notre positive évolution. Descartes disait : « Je pense, donc je suis ». Nous devons désormais dire : « J’évolue, donc je suis ».

La conséquence est énorme pour nous, corps et âme, notre vie intime et sociale et le changement de notre véhicule d’évolution : la mort, évasion du visible.

Soyons heureux des outils que nos anciens croiraient magiques :

Notre corps, merveille technologique avérée, ce qui le nourrit et l’environne,

nos rapports à autrui exigeant autoécologie : respect, amour, soin, distance de raison et abandon de toute violence sous toute forme,

nos outils quotidiens : maisons, véhicules, commodités,

nos liens écologiques avec la nature : minéral, végétal et animal,

l’audiovisuel incluant télécommunications et Internet qui donne :

le savoir qui se développe et s’unifie d’un bout à l’autre du village plantaire avec la révolution portable-Internet, qui nouvel outil de démocratie et les nouveaux codes du bien et du mal pour toute la communauté humaine,

le progrès de l’humain à vivre par lui-même, et non à travers les clercs, dégagé de préjugés et de violence, discriminations raciales ou économiques,

le transport international, qui achemine partout êtres, pensées et objets,

les énergies propres à chasser les pollutions : notre père soleil, le vent et l’eau, partout où cela est possible.

Elles seront toujours moins chères que la fin de la vie sur Terre. N’en déplaise aux écologistes, le nucléaire, apprivoisé, serait mieux que les combustibles fossiles. Sauf l’hydrogène au prix nul,

les armes, instruments de mort supposés interdits par des religions qui en usent pourtant pour leurs querelles. Les bannir et leur coût monstrueux serait une évolution de l’homme pour permettre de reconstruire une planète en faillite.

Cette liste est loin d’être limitative.

Dans un monde résigné, les veilleurs dénoncent le tsunami de pollutions qui affectent nos vies. Mais l’inertie est encore trop forte : la peur de nos institutions perverties, déjà dénoncée aussi en 1905 par l’iconoclaste Albert Einstein est un leurre. Elles sont pleines de failles. Un grain de sable peut enrayer leur racket mécanique à la machinerie parasite. Ce sable, il y en a des dunes.

L’avocat, juriste de terrain, autrefois acteur central de la vie publique, le sait.

Nous l’avons hélas en France, remplacé par l’énarque, serviteur de la pieuvre publique et les technocrates du privé. Passéiste, il sait tout à 25 ans et il n’est occupé que par ses ambitions. L’association des anciens Élèves de l’école Nationale d’administration est un groupe à bonne conscience parisienne, plus puissante à l’échelle française que la ‘Cosa Nostra’et les Franc-maçons réunis.

Tous sont intimement liés aux anciens de ‘Goldman-Sachs’, technocrates disséminés à tous les postes clefs de la planète. Le « Président Énarque » HOLLANDE, ‘apparatchik’de l’E. N. A. Parisienne, a fêté sa victoire à Tulle, s’y faisant le chantre de la décentralisation. Pourtant, il met en place 13 régions sans demander son avis au peuple ni à ses représentants relativement légitimes.

Or le retour de l’avocat à l’avant-scène rendrait son écologie à notre vie publique : appliquant la loi sur le terrain. Il est le mieux placé pour la fabriquer.

Cela sortirait de sa torpeur une institution judiciaire repliée sur elle-même où l’avocat ne fait aujourd’hui que mendier la justice au lieu de l’exiger. Ce fut, comme dans les pays anglo-saxons, dans l’élégance et l’honneur que se vivaient les Barreaux jusqu’à la création de l’institution ‘Énarchique’. Monstrueux mélange d’une nouvelle caste irresponsable et remake du machiavélique Louis XIV et des Apparatchiks soviétiques.

Notons que ce sont deux avocats à l’esprit libre, Barack OBAMA et Nicolas SARKOZY qui se sont risqués à vouloir s’attaquer au gâchis mondial perpétré par leurs puissances coloniales : l’Europe et les USA. Non sans mal face à l’inertie réactionnaire des pétroliers texans, de la C. I. A., des technocrates européens et autres allocataires de tout poils. Pourtant, l’auteur de ces lignes a toujours été un disciple de P. Mendès-France et le co-créateur des « Amis de la Terre », en 1969.

Partout, misère et pollution dépassent les cotes d’alerte : une vie programmée impose à tous des lois nuisibles contrôlées par des ‘matons’virtuels. Les lobbies financiers imposent leur conformisme pour vendre des produits inutiles, des aliments dénaturés et des poisons chimiques liés à une médecine peureuse qui tarit les caisses sociales. Pendant ce temps, on néglige le bio et des soins, anciens ou nouveaux, écologiques et peu coûteux, exclus, non remboursés.

Les temples de notre temps : les grandes surfaces. La foule s’y presse pour apaiser sa peur. Elle remplit son caddie et sa tête avec des produits pollués, seules drogues dures non poursuivies par le Code Pénal.

Par bonheur, le besoin d’écologie progresse. Des humains de plus en plus nombreux fuient ces conformismes et comprennent que l’écologie est globale. Leur pensée est complète, on dit holistique. Elle est cohérente et aléatoire comme la vie.

N’oublions pas la seule question : que fais-je sur cette planète ? Pourquoi souffrance, injustice et mort ?

C’est le problème de notre mutation ? Mutation qui passera par la prise de responsabilité à taille humaine, de préférence aux mains des femmes. Vite, arrêtons le massacre.

Les artisans des sciences fondamentales, de Mgr. Georges LEMAÎTRE, évêque catholique et savant à EINSTEIN, Israélite déiste, mathématicien-philosophe ont provoqué une formidable révolution qui révèle nos liens au Cosmos.

Nos anciens : Chaldéens, Chinois, Égyptiens et Aztèques en eurent l’intuition, eux l’ont prouvé. Notre tâche est de traduire au quotidien les nouveaux concepts nés de la Science. La pensée unique, dénoncée par Gorge ORWELL et son ‘Big Brother’, périmée, mais vivace, maintient un autisme général de légendes utiles, superstitions religieuses, pour que vaches folles et humains dépendants restent bien gardés.

Le ‘flicage’général : automobile, informatique, social, fiscal, etc, n’était pas imaginable il y a moins de 100 ans. On cite en correctionnelle de naïfs amateurs de musique, des innocents sont tués, des peuples étouffés en Afrique et ailleurs pour les Banques et le Pétrole. La camisole a le pas sur l’humanisme, même si des symboles de liberté, de Coluche au Dalaï-lama, sont vivants.

Tout cela pour que le marketing vende sa pollution biologique et morale et fasse décréter par les pouvoirs que tout ce qui lui échappe est exclu. Pour combattre ces maux, la mondialisation, balbutiante, progresse. Elle mêle spiritualité, politique, mode de vie, etc. Or, qui, aujourd’hui