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« Cherche un Espoir ! »
« Cherche un Espoir ! »
« Cherche un Espoir ! »
Livre électronique221 pages2 heures

« Cherche un Espoir ! »

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À propos de ce livre électronique

« Cherche un Espoir ! » m’a dit la Vierge Marie, le 4 mars 2008 ! Au delà de mon présent témoignage, le but de ce livre est de transmettre ce message salvateur à Tous (croyants ou non), afin que chacun trouve sa voie.

Par ce large « portrait de Marie » que j’ai donc pû voir, je souhaite vous faire bénéficier aussi des grâces que la Sainte Vierge accorde à ceux qui ont recours à Elle, en m’appuyant sur les multiples apparitions mariales publiques, avec leurs anecdotes, guérisons et autres miracles avérés !

Afin de mieux imaginer ce cheminement de deux millénaires avec « Notre-Dame », le lecteur découvrira plusieurs photographies d’Oeuvres inédites - soit 22 photographies en couleur et 2 en noir et blanc, dont un ancien plan d’Israël et une carte de France des apparitions mariales évoquées -, venant ainsi agrémenter le récit et pouvoir en visualiser le contexte, d’une manière plus animée !
LangueFrançais
Date de sortie11 sept. 2012
ISBN9782312004594
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    Aperçu du livre

    « Cherche un Espoir ! » - Jean-Marie Salicis

    978-2-312-00459-4

    Note de l’auteur

        La  Sainte  Vierge  Marie  étant  une  des  personnalités  la  plus connue (et reconnue) mondialement depuis deux millénaires, avec son divin fils Jésus-Christ, ce présent essai propose un éclairage plus large sur la « Mère de Dieu ».

        En m’appuyant sur des textes apocryphes[1] et d’autres ouvrages sur Marie, je souhaite répondre ainsi aux interrogations que tout lecteur est en droit de se poser sur l’énigmatique mère du Messie. D’autant que la Bible en parle peu, alors qu’elle est aussi mère de l’Eglise (selon les termes de son fils Jésus).

        Ces apports littéraires sont riches en anecdotes et autres révélations honnêtes (et non pas scandaleuses) et permettent à cet ouvrage d’être une clef de compréhension quant à la Mission de Marie « pleine de Grâce », avant même sa naissance jusqu’à aujourd’hui et demain encore envers ceux qui ont recours à Elle.

    Introduction

        Marie, la « Mère de Dieu », c’est le dessein du Père qui nous a envoyé son fils Jésus-Christ. Et pour que son divin enfant soit parfait, il lui fallait une mère « sans tâche » et si pure que la conception du Messie ne pouvait être naturelle ! C’est donc par le surnaturel que Dieu le Père dû procéder par « l’opération du Saint-Esprit », en envoyant ses anges pour expliquer ses actions à Marie, puis à son futur époux : Joseph. Mais pour que la Sainte Vierge soit parfaite, elle devait aussi être conçue d’une manière surnaturelle et Yahvé répondit alors positivement à Anne[2], en quête d’un enfant qu’elle n’avait pu avoir jusque-là.  En remerciement à Dieu de bien vouloir lui accorder une progéniture malgré sa stérilité, Anne s’engage par la prière au Temple de Jérusalem, à confier l’enfant-miracle à ce Temple, dès qu’il sera sevré. Son mari Joachim qui est pourtant âgé, l’encourage à croire en la puissance de ses prières, en prenant l’exemple biblique de Sara : femme d’Abraham qui a eu Isaac pour enfant promis par Dieu, malgré leurs âges avancés (Gn 17 :15-22)[3]. C’est donc le premier miracle de Marie, que d’être ainsi conçue divinement en sa pieuse mère Anne et son tendre mari Joachim, car leur vœu fut exaucé et ils confièrent ensuite la « petite Marie »[4] au Temple, comme promis (vers ses trois ans, selon les visions de Maria Valtorta)[5]. Car il était fréquent à l’époque en Israël, de déposer les petites filles Juives au Temple, pour leur éducation religieuse jusqu’au mariage. D’autant que leur « Toute Pure Enfant » était déjà très empreinte des choses saintes malgré son jeune âge et à la stupéfaction de ses parents. Ce phénomène surnaturel se reproduisit chez Jésus aussi : tous deux petits-enfants, se rappelant de Dieu. Ainsi, « la parfaite enfant au cœur de colombe » parle à peine qu’elle sait évoquer à sa mère Anne « la parole de l’ange Gabriel à Daniel (selon Maria Valtorta)[6], où le Christ est promis » en Dn 9 : 21 à 26[7]. Ce à quoi sa mère lui répond qu’il lui faudra attendre encore environ 30 ans, pour voir le Messie : « Emmanuel » (Jésus), alors que Marie réplique : « Que de temps encore ! Et je serai au Temple… Dis-moi : si je priais tant, tant, tant ; jour et nuit, nuit et jour et que dans ce but je ne voudrais être que de Dieu, toute la vie, l’Eternel me ferait-il la grâce de donner avant le Messie à son peuple ? »

        La jolie petite « fleur de lys » (comme on appelle aussi la Sainte Vierge Marie, ou : lis) bénéficie donc déjà de la « science infuse », même si elle ne sait pas encore qu’elle sera la mère du Christ. Néanmoins, ses parents en sont informés  par les anges,  juste avant la mort de son père Joachim et sa mère ne le révèlera pas à leur trop jeune enfant Marie, qui l’apprendra donc lors de l’Annonciation.

        Cette science infuse dont bénéficiera aussi son fils Jésus, d’une manière innée également (car elle fait partie du plan de Dieu afin que Mère & Fils de Dieu le Père soient parfaits), émane de la « Sagesse » citée en Si 1 : 1 « Toute sagesse vient du Seigneur (Yahvé), elle est près de lui à jamais. » + Si 1 : 5 « La source de la sagesse, c’est la parole de Dieu dans les cieux ; ses cheminements, ce sont les lois éternelles » (ou : »"La source de la sagesse est le Verbe »), selon les variantes bibliques.[8] Malgré son très jeune âge, Marie entre donc au Temple de Jérusalem, accompagnée de ses parents et lorsque le prêtre lui demande son consentement : 

        « Marie de David, est-ce ton vœu ? »[9]

        La Petite Marie lui répond d’un ton assuré : oh, oui ![10]

       On dit que « Dieu créa l’homme à son image » (ou à sa ressemblance), mais chez la Petite Marie, c’est Elle qui voit déjà Dieu en Image de son âge, comme dans un rêve ou un jeu de gamins (à qui est David contre Goliath, ou Zorro plus récemment), en une sorte de personnage devenu presque un copain de jeu,  même s’il reste toujours Maître du jeu en question. En fait, c’est progressivement devenu la vie de la Petite Marie que de « jouer » avec son Ami Dieu, à Elle ! Et quand Elle le cherche : « Où es-tu, que fais-tu ? », son  Ami Dieu de jeux lui répond : « Petite Marie, tu sais bien que je suis là, avec toi, mais rendort-toi, puisque je serai encore là à ton réveil » et la Petite Marie  tombe dans le sommeil, dans les bras de son Seigneur (et non pas ceux de Morphée).

        Même si Elle est séparée de ses parents, Marie sait intrinsèquement que  son  Seigneur  Dieu  est  aussi  un  Père  pour  Elle, que l’Eternel est le Père des pères et  des  mères  et  qu’Elle  est  donc ainsi et aussi fille  de  Dieu  le Père : « abba » (papa),  comme  dira  son fils  Jésus-Christ  qui  précisera  ultérieurement   que   « Dieu  est  en nous » de  par  le   Royaume  des  cieux.  Mais  cette  vue  lointaine  et  pourtant  si  proche  nous  semble  tellement  étrangère   que  nous  ne réalisons toujours pas  (pour la plupart)  l’existence même  de  Dieu  en nous et devenons   ainsi   des     « robots »     (boulot/métro/dodo)    qui   nous abrutissent dans un travail  devenu  souvent  contraignant, après,  puis avant un long transport qui  nous  mène on  ne sait où  et  un  sommeil agité dont les rêves virent aux cauchemars. Mais avant  même  que  le métro existe, la « petite Marie » savait déjà tout cela et c’est pourquoi Elle  nous   invite   depuis   plus  de   deux   millénaires,   à   raisonner autrement qu’une « espèce en  voie  de  disparition »,  à cause  de  nos agissements inconsidérés et destructeurs sur la seule planète Terre qui nous supporte encore !

        Car la « Petite » Marie est devenue Grande et va bientôt sortir du Temple, toujours « pleine de Grâce » et aussi du Savoir et de la Connaissance acquise, mais pas seulement dans les écritures bibliques. D’après Maria Valtorta[11], notre Marie a 15 ans lorsqu’elle est proposée en mariage rituel à Joseph, selon une procédure particulière décrite dans la Bible à Is 11 : 1[12] (Le descendant de David  « Un rejeton sortira de la souche de Jessé, un surgeon poussera de ses racines »). Joseph est donc désigné au Temple de Jérusalem, devant les prêtres et les autres prétendants, par le seul rameau qui soit fleurit. Mais le lauréat ne comprend pas cette sélection surnaturelle, lui qui a déjà une barbe blanche et donc un âge avancé, selon l’Eglise orthodoxe qui s’appuie sur le « Protévangile de Jacques (Jc 9 : 1 & 2) : « Alors le prêtre dit à Joseph : tu es l’élu ; c’est toi qui prendras en garde la vierge du Seigneur ». Mais Joseph protesta : « J’ai des fils, je suis un vieillard et elle est toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d’Israël ? » Cette version des textes permet de mieux comprendre pourquoi  des frères de Jésus soient cités dans le « Nouveau Testament »[13]  (dont à Mt 13 : 55). Il s’agirait donc alors de demi-frères (selon l’appellation actuelle), issus d’un précédent mariage de Joseph devenu veuf, mais père de quatre fils (Jude, Juste ou Joseph, Jacques et Simon), ainsi que de deux filles (Assia et Lydia).

        Quant à l’Eglise catholique, elle voit plutôt un Joseph plus jeune (environ 35 ans), mais néanmoins déjà porté aussi vers Dieu et prêt à se soumettre à ses volontés, car il était souvent au Temple de Jérusalem. D’ailleurs, le facteur âge n’est pas important dans sa relation future avec la jeune Marie, si ce n’est que Joseph a dû y faire preuve de maturité, en tant que père-nourricier de Jésus.

    Photo. « St. Joseph charpentier » de Georges de la Tour (vers 1642),    exposé au Louvre à Paris (137x102cm), où Jésus tient la bougie :

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    Partie I

    La vie de Marie

    Chapitre N° 1

    L’Annonciation

        Marie reçoit la « visite » de l’ange Gabriel, envoyé par son Ami Dieu. Mais ce n’est plus un jeu d’enfant et la Vierge qui vient de se fiancer à Joseph (selon les usages juifs de l’époque), est bien consciente de l’engagement qui lui est proposé :

        « Réjouis-toi, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi. » (Luc 1 : 28) ou :

        « Je te salue, toi à qui une grâce a été faite, le Seigneur est avec toi. (Tu es bénie parmi les femmes). » est la version de la Bible protestante « Second 21 ».

        La Mission de Marie commence ici et se poursuit donc toujours, en la prière[14] qui lui est dédiée :

                           Je vous salue, Marie pleine de grâces ;

                           Le Seigneur est avec vous.

                           Vous êtes bénie entre toutes les femmes

                           Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.

                           Sainte Marie, Mère de Dieu,

                           Priez pour nous, pauvres pécheurs,

                           Maintenant, et à l’heure de notre mort.

                           Amen.

    Peinture de Fra-Angelico (1426) « Annonciation » :

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        A cette intervention surnaturelle, Marie est évidemment troublée et se demande ce que signifie cette salutation ? L’ange poursuit donc son message :

        « Sois sans crainte, Marie ; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l’appelleras du nom de Jésus. Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut. Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père ; il régnera sur la maison de Jacob pour les siècles et son règne n’aura pas de fin. »  Mais Marie dit à l’ange :

        « Comment cela sera-t-il, puisque je ne connais pas d’homme ? » (Marie n’étant que fiancée et n’a donc pas de relation conjugale avec Joseph), l’ange lui répond :

        « L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’ est pourquoi l’être Saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu. Et voici qu’Elisabeth, ta parente, vient, elle aussi, de concevoir un fils dans sa vieillesse, et elle en est à son sixième mois, elle qu’on appelait la stérile ; car rien n’est impossible à Dieu. » Marie dit alors :

        « Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole ! » Et l’ange la quitta. (Luc 1 :30-38).

        Dès cette révélation angélique, la jeune Marie court rejoindre sa cousine Elisabeth qui habite à proximité de Jérusalem. Alors, Elisabeth pousse un grand cri et dit :

        « Bénie es-tu entre les femmes, et béni le fruit de ton sein ! »  (Luc 1 : 42).[15]

        Cette « Visitation » durera jusqu’à la naissance de Jean, dont son vieux père Zacharie avait prié au Temple (en tant que prêtre), afin que sa femme stérile puisse enfin procréer, malgré son âge avancé. Son vœu fut donc exaucé et confirmé dès la conception de l’enfant, par l’ange Gabriel qui lui apparut. (Luc 1 : 11 à 25).

        Par ces révélations angéliques, les deux femmes apprennent leur Mission respective : Elisabeth enfantera de Jean-Baptiste, précurseur du Messie que porte déjà la Vierge Marie !

        Joseph n’est pas encore informé de ces secrets entre femmes et Marie angoisse quant à devoir expliquer sa grossesse surnaturelle à son fiancé, éloigné depuis trois mois. Ses craintes d’être rejetée par son futur époux sont telles qu’Elle se réfugie dans ses prières à l’endroit du Père céleste, son Ami Dieu qui ne l’a jamais laissée seule, surtout maintenant qu’Elle vient de perdre son tendre père Joachim (selon Maria Valtorta).[16] Parce-que sa Mission en tant que « Mère de Dieu »[17] pèse lourd sur les frêles épaules de notre jeune Marie et ressemble déjà à la Croix que son Fils portera ensuite !

        Comme son ventre commence à s’arrondir, portant ainsi la « lourde charge » du Messie annoncé, Elle plie les genoux aussi et s’effondre en larmes pour invoquer Dieu de lui venir en aide. Car Elle ne peut plus se cacher d’être enceinte, comme a pu et dû le faire sa cousine Elisabeth. Malgré sa confiance absolue en Yahvé, la « Servante de Dieu » ne sait pas encore que l’archange de son Seigneur Tout Puissant, est apparût en songe à Joseph et lui a dit : « Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ta femme : car ce qui a été engendré en elle vient de l’Esprit Saint ; elle enfantera un fils, et tu l’appelleras du nom de Jésus[18] : car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. » (Mt 1 :20-21).[19]

     photo. d’une peinture contemporaine :                                      

    image003.jpg

        Mais c’est donc dans un profond désarroi que la jeune et jolie femme doit reprendre la route pour rejoindre son fiancé, sous la torture mentale de ne savoir comment annoncer  ce qui devrait pourtant être une bonne nouvelle (d’autant que c’était un déshonneur pour une femme juive d’être stérile, au risque d’être

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