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Le poète dénué de talent
Le poète dénué de talent
Le poète dénué de talent
Livre électronique204 pages56 minutes

Le poète dénué de talent

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À propos de ce livre électronique

Comment résumer ce recueil de poèmes écrit en 4 langues ? Disons que je cherche à décrire, ou peut-être même à découvrir la nature de mon univers, par le biais de la poésie, depuis 20 ans. La majorité étant décrite en Français, une part importante en Anglais, ainsi que deux poèmes en Allemand et en Italien.
LangueFrançais
Date de sortie20 avr. 2012
ISBN9782312006628
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    Le poète dénué de talent - Dennis Glenn

    cover.jpg

    Le poète dénué de talent

    Dennis Glenn

    Le poète dénué de talent

    LES ÉDITIONS DU NET

    70, quai Dion Bouton 92800 Puteaux

    © Les Éditions du Net, 2012

    ISBN : 978-2-312-00662-8

    PARTIE I

    Toxic poetry

    Le 18 avril 2012

    ALLONGES SUR LA RIVE

    Je rêvais de sang sur la rêve

    D’yeux qui parlaient de pêchés

    J’ai une tâche rouge au cœur et

    Un refuge blanc au sang glacé

    Me voici dans le noir de tes tifs

    Et je te vois dorée au soleil

    Lèvres pâles et démarche graciles

    Trahissent ton émoi farouche.

    Ta peau lactée, ta voix douce

    Forment le reflux du tempo

    Mélodies amères de nos cœurs

    Aux bords des rives nos rêves se mêlent

    Le lac était lisse profond et mou

    Comme ta peau parfumé

    Avant 1994

    TOMBE !

    Drapé dans une toge de soie pourpre,

    L’homme se tenait au-dessus du récif

    Qui tranchait le ciel tourmenté.

    Soumises à la torture des vents aigus

    De noires volutes étaient déchiquetées

    Par l’éclat spasmodique d’éclairs blancs

    L’horizon semblait muré de tous côtés.

    Le tonnerre roulait son désir de destruction

    Couvrant le fracas des vagues d’encre

    Qui se jetaient contre la pierre

    L’écume monta jusqu’à ses lèvres.

    Un rictus cadavérique tordit sa face.

    Deux gemmes d’énergie cristallisées

    Etincelèrent dans les fentes contenant ses yeux.

    Il hurla alors son désir de s’embraser.

    Le rire semblait secouer son corps comme

    S’il en exorcisait tous les démons glauques

    L’espace d’une seconde, il sembla dominer les éléments de sa folie !

    Une vague s’écrasait contre le récif

    Sa chute suivit une trajectoire parfaite jusqu’au rocher d’onyx.

    Il était d’un blanc verdâtre marbré de rouge éclatant.

    Avant 1994

    LIGNES DE VIE

    7 lignes de doutes

    Pourquoi regarder en avant,

    Quand on marche à reculons ?

    J’ai perdu tout mon sens,

    Quelle en est l’orientation ?

    Mais le feu brûle encore.

    Quelque chose reste fort,

    Qui éclaire le chemin.

    7 lignes de confiance

    Les vagues et le courage ?

    Je les regarde.

    Il n’y a rien de faux.

    Le courage, c’est le vent.

    L’amour, c’est de l’eau.

    La terre et le feu,

    Sont-ils amis amers ?

    AMOUREUX

    Ne doute pas de moi

    Ça serait dommage.

    J’ai vraiment besoin de toi ;

    Que tu sortes de ton blues ?

    Aime-moi maintenant !

    Ne me laisse pas en dedans !

    C’est vraiment le moment.

    Tentons notre chance !

    Chasse tes hésitations

    Qu’on trouve le chemin !?

    Aimons contre les barrières !

    On pourra être fiers,

    Et reprendre la main

    Au jeu de la transe

    Qui rempli le vide.

    C’est l’amour qu’on trouve

    Même s’il n’est pas apparent

    J’ai confiance en toi !

    YOU WERE THERE STONED ALONE.

    I couldn’t help watching you.

    I would have stared at you until the twilight of centuries.

    What were you thinking?

    How could you seem to be so lonely?

    I made a sign you didn’t notice.

    If you had made the slightest move,

    Perhaps I would have taken you far,

    Far away, just by one word,

    Or one slight touch.

    But you were there, stoned alone,

    And I was stoned myself.

    How could I have spoken to you,

    I often lose my words,

    When I really need them.

    Hey, Hey, you, come and wake up!

    It’s the dawn of a walk;

    You’re dead and dead, dead !

    Why don’t you move?

    I’m living to see you die,

    Because I can’t speak to you

    While I hold your hand!

    Are we living or is it a deadly joke?

    Speaking for nothing

    Is the job of the man who’s leading you to the guillotine.

    Is it the end of rock and roll?

    Are we going to stop now?

    Was it really all so empty?

    PICTURES OF THE BEACH

    Autumn leaves from the trees

    Orange leaves from the breeze

    Rotting iron colour

    Teeth are blue like the third floor

    End of the night

    Sand of beach indoor

    July 5th 2002

    TURQUOISE

    Because I have found

    Autumn leaves from the trees

    Fallen to the ground like the flees

    And the freeze of the breeze and the sound

    What you please is tonight

    Hand in hand in the light

    Of the trends fallen flight

    Hand in hand reach the flight

    End of all the twilight

    Arms burdened with white sleeves

    Light the dynamite

    July 5th 2002

    BANANA BREAST

    Raise your head

    Fill your mind

    Search and find

    Destiny

    And the threads

    To be free

    And tell me

    Chase the flee

    Never fake

    What you make

    Stand so free

    Just with me

    What you mean

    Is in your spleen

    Drink again

    Raise your flame

    June 2002

    BLACK CAT AND SNOW

    In the cool night, a white crown cat

    Mews and leaves pad tracks in the snow

    Finally shedding the magic Moan

    Dust covers the landscape

    Then the feline follows me in

    As I walk in through the white door

    And take place in a cream armchair

    So I sit tight, musing over

    And then the cat lies on my chest

    When I am lackadaisical

    Taking me

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