Le Chant du Cygne

Par Jean-Pierre Beunas

Le Chant du Cygne est un chant alchimique qui infuse la conscience Divine dans la conscience de l'être humain. Il est le moyen sûr et agréable de se procurer l'expérience de sa conscience Divine.

C'est un hymne d'amour à la conscience. C'est la grâce qui accorde tout par surcroît. C'est une source constante de bénédictions. Il suffit de la chanter ou dele lire et la conscience s'ouvre... Le Chant du Cygne, c'est le livre de la chance.

Enfin, voilà un ouvrage auquel est attaché le pouvoir bénéfique de la conscience, d'une conscience capable de régler tous les problèmes. Trop beau pour être vrai? Non! Car le Chant du Cygne est le livre de l'Alchimie de la conscience. Cette Alchimie Divine et Sacrée transmute le mental négatif en pure conscience Divine. Le plomb des difficultés se transforme en l'or des conditions agréables.

Avec le Chant du Cygne, vous êtes au bord d'un changement de vie incroyable, grâce au Pouvoir de la Parole. Le Chant du Cygne est l'application concrète, ici et maintenant, de la connexion avec les Maîtres Ascensionnés, telle qu'enseignée dans les trois volumes du Nectar de la Conscience.

Chantez! Chantez le Chant du Cygne! Alors votre conscience commence à couler dans votre vie et vous allez obtenir les plus grandes bénédictions : Amour, chance, succès, prospérité, richesse, santé, âme soeur, argent, liberté, abondance, conscience, conscience de l'Unité, conscience Divine. C'est si simple :

chante le Chant du Cygne, ô Être de Lumière et reçois tout par surcroît.

Oui, découvrez le pouvoir de la parole

• Langue: Français
• Éditeur: Nectar
• Date de sortie: 12 oct. 2012
• ISBN: 9782922716542

Aperçu du livre

Préface de l’auteur

Le Chant du Cygne est né le 6 août 1992 à midi, en deux heures, suite à une soudaine ouverture de conscience. En une fraction de seconde, je savais « tout » de l’Alchimie de la conscience, son but et ses moyens, son mode d’emploi et son action.

Je l’ai chanté tous les jours durant six mois, et cela a profondément changé ma vie pour le meilleur, de façon durable, profonde et permanente. Depuis, ma vie est devenue plaisante et agréable. La souffrance m’a quitté. Des événements inattendus apparaissent régulièrement dans mon existence. Ma conscience a complètement changé. Une profonde transformation s’est produite. En effet, je ne « vois » plus la vie de la même façon.

En 1995, j’ai pratiqué de façon régulière, systématique et intensive, la connexion au Septième Rayon¹ toute l’année. Il s’est passé, cette année-là, beaucoup de drôles de choses, dont trois allaient orienter ma vie dans une direction complètement inattendue.

Tout d’abord, une force, une puissance intérieure me poussait à publier Le Chant du Cygne. Jusque là, il était écrit à la main sur une poignée de feuilles volantes et jamais je n’aurais pensé l’éditer.

Mais le ressenti était profond et intense, « j’obtempérai » à la « force ». Ainsi, la première édition du Chant du Cygne sortit de l’imprimerie le 22 septembre 1995. Depuis, je le chante tous les jours et Sylvie, mon épouse, m’a emboîté le pas fin 1996.

Elle y a senti un effet spécial, quelque chose d’attirant et de bienfaisant...

Dans les années 90-95, j’étais animateur de l’émission de télévision « Joie et santé » et je donnais également des conférences sur la médecine douce et l’ésotérisme. J’offrais aussi des thérapies par l’énergie suivant la méthode que j’ai écrite et publiée en 2002.

À partir de septembre 1995, j’ai proposé que l’on chante le Chant du Cygne après la conférence. L’accueil fut enthousiaste. Ainsi, un petit groupe de gens se mit à pratiquer le Chant du Cygne chez eux tous les jours et en groupe tous les jeudis. Voilà donc le second événement consistant à partager les bienfaits et bénédictions du Chant du Cygne avec tous. Ce qui, bien sûr, provoque la multiplication² de la conscience de chacun.

Le troisième aspect, le plus surprenant sans doute, était le sentiment étrange que je commençais à éprouver. En effet, plus je chantais Le Chant du Cygne et plus j’en parlais lors des conférences, plus j’éprouvais ce sentiment.

Je ressentais au fond de moi-même un appel, quelque chose de profond venant de loin. C’était comme une envie, plutôt comme un besoin. C’était fort, silencieux, muet, terriblement présent et ça disait en silence... « Écris Le Nectar de la Conscience ».

Je ressentais l’impulsion, la force mais je ne faisais rien, strictement rien pour passer à l’action et me mettre à écrire. D’une part, je n’avais jamais écrit de livres et je ne pensais pas que c’était dans mes capacités. D’autre part, je n’avais aucune idée de ce que serait Le Nectar de la Conscience.

Comme le sentiment - agréable d’ailleurs - s’amplifiait et que la « force  » devenait vivante, je décidai de lui parler. Quelque chose du genre : « Le Nectar de la Conscience, qu’est-il au juste ? »

J’exprimai cela du fond de moi-même, mais aussi à voix haute. En fait, je n’espérais, ni n’attendais de réponse. Vraiment, je n’avais aucune attente, j’étais tout à fait détaché. J’oserai même vous dire, confidentiellement et tout à fait entre nous, que la réponse, je m’en foutais complètement, puisque je pensais que je n’écrirais jamais »...

Quelques semaines plus tard, en février 1996, soudain !... Soudain, une ouverture de conscience s’est produite, qui m’a laissé pantois. Soudain, en une fraction de seconde, j’ai saisi ce qu’est le Nectar de la Conscience.

Ce n’est pas un livre, mais trois !... C’est globalement mille pages, c’est trois fois treize chapitres, c’est axé sur le chiffre treize - évident dans le tome ². C’est trois révélations : l’origine de la Bible, la dictature mondiale, les Maîtres Ascensionnés.

C’est global, c’est pratique, c’est pédagogique. C’est trois méthodes de connexion à une conscience supérieure : la connexion alchimique, la connexion au Septième Rayon, la connexion à l’âme soeur. C’est trois grands états de conscience : l’ego individuel, l’ego planétaire, l’état sans ego.

Tout cela est parvenu à ma conscience soudainement... en une fraction de seconde. C’était si fort, si clair, si puissant, si un avec moi, que je savais et que je « connaissais » le Nectar de la Conscience. D’ailleurs, je l’écrirai quelques mois plus tard d’une seule traite, sans plans ni notes pour la plupart des chapitres.

Malgré cela, comme j’étais (comme je suis) un gros ego coriace, je n’ai pas commencé à écrire... pas du tout ! Pourtant, le sentiment était fort ; pourtant, la connaissance voulue était là ; pourtant, la « force » grandissait. Je ressentais profondément, du fond de moi-même : « Écris Le Nectar de la Conscience ». Mais lui, l’ego, l’abruti, ne commençait pas ! Pas du tout.

Alors, il s’est passé trois choses (encore). Premièrement, la compagnie pour laquelle je travaillais a fermé ses portes. Bon, me suis-je dit, je vais aller planter mes choux ailleurs. Pas de problèmes ! ...

Deuxièmement, sept jours plus tard, le moteur de ma voiture a sauté. Il n’était même pas réparable. Bon, me suis-je dit, je vais acheter une autre voiture d’occasion. Pas de problèmes ! ...

Troisièmement, sept jours après, je me fais arrêter par la police sur l’autoroute, au volant de la voiture de Sylvie, pour avoir roulé à 160 kilomètres à l’heure : deux cents dollars d’amende, trois points de démérite. C’est agaçant, mais ce n’est pas un problème, pas vraiment...

Pas de problèmes ? Vraiment ? m’a dit le sinistre policier en ricanant. Vous avez, Monsieur, douze points négatifs... plus trois, ça fait ? Quinze, dis-je en bredouillant légèrement car je pressentais quelque chose de terrible. Et à quinze points, l’on passe au tribunal et l’on perd son permis pour un an !

Ainsi fut-il : j’ai dû me présenter au tribunal, d’où je repartis sans permis pour un an. En l’espace de deux semaines, j’avais perdu travail, auto, permis. J’avais un problème, un gros : j’étais cloué à la maison. Que pouvais-je bien faire pendant une année entière à la maison ?

« Écris Le Nectar de la Conscience !... »

Là, je ne pouvais que m’exécuter et je décidai de faire preuve de bonne volonté en vitesse, juste histoire d’éviter un quatrième « signe »...

Je passai tout de suite une annonce dans le journal pour recruter une secrétaire et j’ai dit à la « force » qui bouillonnait en moi : « Du calme, laisse-moi m’organiser, je commence bientôt ». Comme ça bouillonnait encore, j’ai décidé de commencer le 1er juin, ce qui me donnait un mois pour me préparer, rencontrer les secrétaires, acheter des stylos...

J’ai bel et bien débuté l’écriture du Nectar de la Conscience le 1er juin 1996 et je n’ai pas cessé d’écrire durant un an ; en fait, treize mois exactement, corrections incluses.

Dès que mon intention a été claire, la force s’est calmée pour se transformer en une présence tranquille, amicale et même affectueuse. J’ai fait connaissance avec elle. Je l’appelle ma conscience, elle est toujours là, elle sait exactement ce qu’elle veut. Et surtout, elle veut que je veuille exactement comme elle...

En général, on s’entend bien elle et moi. J’ai appris à la sentir, à l’écouter et j’ai compris qu’elle me guide, qu’elle me conduit et qu’elle me dirige vers elle. Elle ne veut qu’une seule chose, c’est qu’elle et moi nous ne fassions qu’un !... C’est d’ailleurs ainsi que se termine Le Chant du Cygne dans les quatre merveilleux soutras de la réalisation suprême.

Tu me guides, tu me conduis, tu me diriges

vers la réalisation suprême,

vers l’Ascension dans la conscience.

Cela est offert à toutes les femmes et à tous les hommes qui veulent travailler à prendre conscience. Le Chant du Cygne comble chacun de mille bénédictions superbes et infuse la conscience supérieure joyeusement dans votre vie.

Le Chant du Cygne est une porte ouverte sur le « ciel », d’où jaillit soudainement le merveilleux et l’inattendu, mille fois supérieurs à tout ce que vous pourriez espérer. De très nombreuses personnes en ont fait l’expérience depuis septembre 1995. Vous pouvez, vous aussi, vous laisser porter, vous laisser ÊTRE dans le Chant du Cygne et profiter de ses mille bénédictions. Soudain, oui soudain, la conscience jaillit et vous couvre de cadeaux riches et somptueux.

suffit pour cela de le chanter tous les jours ou de le lire à haute voix. C’est tout et c’est suffisant. Il n’est pas nécessaire d’attendre que la vie vous oblige à faire quelque chose. En effet, l’on apprend très vite à « sentir », à « ressentir », à « écouter » sa conscience, ce silence, cette puissante force qui en silence nous guide, nous conduit et nous dirige.

Dès que l’on a compris ce qu’elle veut, l’on veut aussitôt la même chose. Cette conscience supérieure qui est nous veut nous combler de tous les bienfaits. Regardez le soutra soixante et vous allez comprendre ce que la vie veut vous offrir.

Pour que tous ces cadeaux, toutes ces bénédictions apparaissent dans notre vie, il est nécessaire d’élever notre conscience, de comprendre ce qu’est la conscience, de s’intéresser à notre conscience, de se connecter sur notre conscience.

C’est tout et c’est suffisant pour qu’elle jaillisse en nous et transforme notre vie pour le meilleur.

Soudain !... l’inattendu !...

Ô, Êtres de Lumière, adorables Êtres divins, le Chant du Cygne vous rebranche sur la Réalité de la conscience qui vous guide, vous conduit, vous dirige vers la plénitude de l’Existence.

Le Chant du Cygne vous conduit directement à votre Destin divin : l’Ascension. Ses paroles secrètes et mystérieuses révèlent la connaissance cachée aux lumineux guerriers de la conscience.

La Vie m’a ôté