Son CV
207 KCAL*
Protéines : 24,4 g
Glucides : 0,5 g
Lipides : 12 g
Fibres : 0 g
*Valeurs pour 100 g de sardine à l’huile, appertisée et égouttée (Source : Ciqual).
Reine du barbecue et du garde-manger, la sardine tient une place à part dans la famille des poissons gras. Elle se distingue de ses congénères par son dos aux reflets bleu métallique… et par sa teneur particulièrement élevée en oméga 3. « C’est l’un des poissons gras qui en contient le plus, confirme Raphaël Gruman, diététicien. Et comme c’est un petit poisson, il a l’avantage de ne pas être chargé en métaux lourds comme peuvent l’être le thon, le saumon ou l’espadon. » La sardine peut ainsi être mise au menu au moins deux fois par semaine, en alternance avec d’autres petits poissons gras, comme le maquereau. « Cette consommation régulière permet de couvrir nos besoins en oméga 3, dont les apports dans la population générale restent globalement inférieurs aux recommandations de santé », regrette notre expert.
Protection du cerveau
Acides gras essentiels, les oméga 3 ne peuvent être synthétisés par l’organisme. Ils doivent obligatoirement être apportés par l’alimentation. L’atout des sardines : une portion (100 g) suffit largement à couvrir nos besoins quotidiens en EPA explique le spécialiste. Protecteurs du cerveau, les oméga 3 contribuent également au bon fonctionnement du système cardiovasculaire, au maintien de l’acuité visuelle et à l’équilibre émotionnel. précise notre expert.