Courrier des lecteurs
Lors d'un récent voyage à New York, j'ai tenu à aller dîner au pour rencontrer Pascaline Lepeltier. Lors de cette soirée, unrité réside dans son faible taux de polissage. Là où la plupart des sakés sont polis au minimum 75 %, celui-ci ne l’était qu’à 10 %. Dans les faits, cela donne un saké très nature, avec beaucoup de mâche, qui offre une palette florale et lactique intéressante, embrasse la fermentation du chou et transcende la rondeur du ris de veau. L'accord décolle en bouche. En une fraction de seconde, lampée et bouchée justifient à elles seules la raison de notre visite. C'est beau, c'est grand, c'est scientifique! (estomaqué) dirait-on en anglais. J'ai relaté cette expérience de haut vol sur Facebook via ma page Escapades Gourmandes.