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Le Murmure de l’Ame
Le Murmure de l’Ame
Le Murmure de l’Ame
Livre électronique299 pages3 heures

Le Murmure de l’Ame

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À propos de ce livre électronique

Description du livre 

Et si le murmure que vous entendez n'était pas une voix extérieure, mais votre propre Âme qui se souvient ? Dans un monde rempli de bruit, de doutes et de chaos, « Le Murmure de l'Âme » est une invitation à entrer dans le silence intérieur - cet espace sacré où l'Âme parle. À travers de véritables récits issus de plus de vingt ans de travail en régressions, l'auteure Alla Panacea, hypnologue, régressologue et guérisseuse de l'âme, dévoile des histoires profondément humaines et spirituelles. Ces témoignages montrent que l'Âme se souvient de ses incarnations, traverse le temps et garde en elle les réponses que nous cherchons.

Dans ces pages, vous découvrirez :

 Des expériences authentiques de réincarnation et de mémoire de l'âme

 Des révélations mystiques qui éveillent la conscience

Des clés pour mieux comprendre votre mission de vie et votre origine divine

Ce livre n'est pas seulement une lecture, mais une transmission. Chaque chapitre est comme un miroir, un souffle, une lumière qui vous rappelle :

 

Vous n'êtes pas perdu. Vous êtes simplement en train de vous souvenir.
 

LangueFrançais
ÉditeurAlla Panacea
Date de sortie16 sept. 2025
ISBN9798232008826
Le Murmure de l’Ame
Auteur

Alla Panacea

   

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    Aperçu du livre

    Le Murmure de l’Ame - Alla Panacea

    Le Murmure des Âmes

    Auteur Алла Панацея

    Résumé

    Devant vous se trouve un livre tissé à partir des souvenirs des Âmes.

    Ce sont des histoires vraies de personnes qui, à travers des séances profondes de régression et d’hypnose avec moi, Alla Panacea - Hypnologue, Régressionniste, Thérapeute Psycho-Énergétique et Guérisseuse d’Âmes - ont de nouveau touché les portes de leurs vies passées.

    Dans ces récits, des siècles oubliés, des terres lointaines et des destins entrelacés par des fils invisibles reprennent vie. Chaque histoire n’est pas une fiction, mais une révélation entendue lors d’un voyage dans d’autres temps et espaces.

    Dans mon travail, je guide la personne vers un état de profonde relaxation, où l’esprit se retire et où l’Âme commence à parler. Dans ces instants, ressurgissent des souvenirs, de victoires et d’erreurs, d’amour et de perte, de rencontres et d’adieux qui ont laissé leur trace non seulement dans le passé, mais aussi dans le présent.

    En tant qu’auteure de ces histoires, je les partage avec vous avec une profonde gratitude envers ceux qui m’ont confié leurs souvenirs. Ce livre n’est pas seulement une collection de récits. C’est un pont entre les vies que nous avons vécues et qui nous sommes aujourd’hui. Il nous aide à comprendre que l’Âme n’oublie jamais, et que tout ce que nous avons vécu est devenu une partie de notre chemin actuel.

    Peut-être qu’au fil de ces pages, vous reconnaîtrez aussi votre propre reflet...

    Alla Panacea

    De l’Auteure

    Je suis née en Moldavie, dans une terre où chaque printemps porte le parfum des vergers en fleurs, et où les gens gardent dans leur cœur une sagesse simple : la vie est un chemin que l’Âme choisit bien avant de commencer.

    C’est là, parmi les rivières tranquilles et les champs fertiles, que j’ai entendu pour la première fois mon murmure intérieur. À l’époque, je ne savais pas encore que c’était la voix de mon Âme, m’appelant en avant, vers des voyages et des découvertes.

    Mon chemin m’a menée loin de ma terre natale. Depuis 26 ans, je vis au Portugal, un pays où l’océan respire l’éternité et où les couchers de soleil rappellent que chaque jour est une petite vie. C’est ici que j’ai appris à écouter les gens, comme j’écoutais autrefois le vent et le murmure des rivières de mon enfance.

    J’ai toujours cru que la connaissance est lumière. C’est pourquoi mon parcours d’apprentissage a été long et riche. J’ai obtenu un diplôme universitaire en Pédagogie et Psychologie, afin de comprendre comment se développe et s’épanouit la personnalité humaine. Au Portugal, j’ai achevé des études à l’Institut d’Hypnose et de Régression, apprenant à guider les gens dans les profondeurs de leur mémoire, jusqu’à euxmêmes. À Barcelone, j’ai étudié le Biomagnétisme, découvrant les secrets de l’équilibre énergétique du corps. À l’Institut japonais de Kyoto, j’ai appris la Médecine chinoise et le diagnostic, étudié l’acupuncture, ainsi que les anciennes pratiques du Shiatsu et du Seitai-Do, des techniques qui restaurent l’harmonie entre le corps et l’esprit.

    Depuis plus de vingt ans, je pratique à Lisbonne, aidant les gens à guérir non seulement leur corps, mais aussi leur Âme. Pour moi, chaque rencontre est un voyage unique. Je crois que les maladies, les peurs et même les circonstances les plus difficiles ne sont pas des hasards, mais des étapes sur le chemin de l’Âme vers l’éveil.

    La régression est devenue pour moi un outil particulier. Pendant ces voyages intérieurs, les gens racontent des histoires qu’il serait impossible d’inventer : des souvenirs d’autres vies, d’amour et de perte, du choix d’un corps, d’une famille, d’un pays... et de la mission qu’ils ont apportée avec eux sur Terre.

    Ce livre parle précisément de cela. Vous y trouverez des récits que j’ai entendus, des récits que les Âmes elles-mêmes m’ont permis de transmettre. Ce ne sont pas seulement des histoires, ce sont les murmures des Âmes : sincères, révélateurs, parfois empreints de mélancolie, et parfois lumineux comme un lever de soleil sur l’océan.

    En chacun d’eux se trouve une clé, peut-être celle de votre propre mémoire.

    Chapitre 1. Je suis née pour me souvenir

    Je suis venue au monde dans le silence du matin, lorsque les premiers rayons du soleil n’avaient pas encore touché la terre et que l’air était transparent, comme un souffle entre le sommeil et l’éveil. Mon premier souffle fut léger, mais il y avait en lui quelque chose de plus que le simple mouvement de l’air dans mes poumons. Je savais déjà que je ne revenais pas pour la première fois.

    Mon corps était neuf, mais mon Âme était vieille comme les étoiles. Je portais en moi les ombres et la lumière de centaines de routes, de milliers de visages, de voix et de regards. Mais tout cela était caché profondément, comme sous une glace transparente. Je les sentais, mais je ne pouvais pas encore les nommer.

    L’enfance et les premières ombres de la mémoire

    J’ai grandi aux yeux des autres comme une enfant ordinaire, mais le monde ne l’a jamais été pour moi. Parfois, les rues sur lesquelles je marchais semblaient être des décors que j’avais déjà vus. L’odeur de la poussière après une pluie d’été pouvait me plonger dans une tristesse inexplicable, tandis que le crépitement du bois dans la cheminée me remplissait de joie, comme si je me trouvais à nouveau auprès du feu avec ceux qui depuis longtemps n’étaient plus là.

    Dans mes rêves, je me retrouvais souvent dans des lieux trop réels pour n’être que le fruit de mon imagination : dans un jardin où des lanternes brillaient parmi les branches des orangers ; dans une salle aux colonnes de marbre où la fraîcheur de la pierre se faisait sentir sous mes pieds nus ; dans une rue étroite pavée de pierres où je courais, riant...

    Un jour, très jeune, j’étais assise sur le perron à contempler le coucher du soleil, et soudain, le monde autour de moi changea. Les couleurs s’assombrirent, l’air s’emplit d’odeurs de mer et de sel. Je sentis sur ma peau la fraîcheur du vent, et à ce moment-là, la mémoire s’ouvrit...

    ––––––––

    Premier souvenir - Une vie au bord de la mer

    Je me tiens sur un quai en bois. Je porte une simple robe en lin, mouillée à l’ourlet. Dans mes mains, un filet rempli de petits poissons. C’est ma maison, un petit village au bord de l’océan. Le vent fouette mes cheveux, et au loin, j’aperçois une silhouette, un homme vêtu d’un manteau sombre. Mon cœur s’accélère. Il revient d’un long voyage, et je sais que cet homme fut mon amour au fil de nombreuses vies.

    Nous avons vécu une existence brève mais pleine d’amour. Un an plus tard, une tempête a emporté son navire, et avec lui, une partie de mon Âme.

    Je me souviens de ce jour où je me tenais sur la plage, les vagues rejetant sur le sable des morceaux de bois. Je tenais dans mes mains son amulette, imprégnée de sel, et je savais : c’était un adieu. Ce jour-là, j’ai compris pour la première fois que l’amour ne meurt pas avec le corps. Il plonge dans la profondeur de l’Âme et attend la prochaine rencontre.

    ––––––––

    Deuxième souvenir - Une vie dans l’ombre

    Dans un autre rêve, ou peut-être un souvenir, je suis différente. L’obscurité de la pièce est éclairée seulement par des bougies. Je porte des vêtements noirs ; mon visage est caché sous une capuche. Je suis une sorcière dans une ville médiévale. Les gens viennent me voir pour des herbes et des conseils, mais ils me craignent.

    Un jour, un coup frappé à la porte a tout changé : ils venaient pour moi. Sur la place, le bûcher brûle. Je me tiens là, sentant les cordes s’enfoncer dans mes mains, mais il n’y a pas de peur. Seulement de la fierté et un silence

    intérieur. Je sais que c’est la fin, pour le corps, mais pas pour moi. Mon Âme sortira des flammes comme un oiseau et s’envolera.

    Ce feu s’est gravé en moi, non comme une douleur, mais comme un serment : ne plus jamais cacher ma force, peu importe sous quelle forme je renais.

    ––––––––

    Prise de conscience

    Chaque souvenir est une clé. Certains ouvrent des portes vers la joie, d’autres vers des épreuves. Mais sans eux, je ne serais pas entière. En me souvenant, je me rassemble comme une mosaïque et je commence à comprendre pourquoi je suis venue dans cette vie.

    Je suis née pour me souvenir. Pour retrouver ceux que j’ai aimés, pardonner à ceux qui m’ont fait souffrir, et accomplir les promesses faites jadis à moi-même dans des vies lointaines.

    Et peut-être que toi, qui lis ces lignes, tu ressens toi aussi cet appel. Peut-être as-tu reconnu dans des inconnus des yeux familiers, ou trouvé quelque chose de toi dans des lieux anciens. Peut-être es-tu venu ici, toi aussi, pour te souvenir.

    Si c’est le cas, alors ce livre est notre chemin commun. Ici, je vais te raconter des histoires enfouies dans la profondeur des Âmes, afin que tu puisses entendre ton propre murmure...

    ––––––––

    Épilogue du chapitre

    Ce soir-là, quand j’ai terminé d’écrire ces lignes, je suis restée longtemps assise près de la fenêtre à regarder le ciel. La nuit était claire, et les étoiles brillaient si fort qu’elles semblaient me rappeler : « Tu n’es pas seule. Tu as toujours fait partie de quelque chose de plus grand. »

    Peut-être est-ce là l’essence du chemin, non pas seulement se souvenir du passé, mais apprendre à voir l’éternité dans chaque instant du présent. Chaque vie n’est ni un commencement ni une fin, mais une vague dans l’océan infini de l’existence.

    Et si tu lis ces mots, sache ceci : ton Âme se souvient, elle aussi. Elle attend le moment où tu la laisseras parler.

    Chapitre 2. J’ai choisi un corps avec le syndrome de Down pour enseigner l’amour pur

    Je me souviens du moment où je me tenais sur le seuil entre deux mondes.

    Devant moi s’ouvraient d’innombrables chemins : je pouvais choisir n’importe quel corps, fort, gracieux, brillant selon les critères humains.

    Mais mon regard s’est posé sur un seul, un petit corps dont le cœur chantait déjà l’amour, bien qu’il ne soit pas encore né.

    Je savais : dans ce corps, je ne deviendrais pas une grande savante, je ne gravirais pas de montagnes, je ne gagnerais pas de courses.

    Mais dans ce corps, je pourrais toucher l’âme des gens comme ils l’avaient oublié depuis longtemps, sans conditions, sans calcul, sans masque.

    Une conversation avant la naissance

    « Comprends-tu ce que cela signifie ? » demanda la voix douce de mon Guide.

    « Ton visage sera différent, ton esprit, pas comme le leur. Le monde peut être cruel. »

    « Je sais, » répondis-je. « Mais je vois dans leur cœur une faim de simplicité, de lumière, de sincérité. Ils ont perdu la capacité d’aimer sans peur. Je peux leur rappeler comment. »

    Le premier souffle

    Je suis venue au monde au milieu de larmes et de sourires.

    Dans les yeux de ma mère, un amour immense et une douce inquiétude.

    Dans les yeux de mon père, de l’incertitude mêlée à de l’espoir.

    Dès le début, j’ai senti que ma mission avait commencé.

    J’embrassais, je riais, je tendais les mains vers les gens, et chaque fois que mes petites mains touchaient leurs joues, quelque chose en eux s’adoucissait.

    Un souvenir d’une autre vie J’avais déjà été ici autrefois.

    Dans une autre vie, j’avais un corps fort, beau et un esprit brillant.

    Mais je passais à côté de tant de cœurs, absorbée par mes propres objectifs.

    Je voyais la douleur dans les yeux des gens, mais j’avais peur de m’arrêter, peur que l’amour ralentisse ma course.

    À la fin de cette vie-là, je me suis retrouvée seule.

    Et alors, au-delà du voile, j’ai compris : les seuls moments qui comptaient vraiment étaient ceux où j’aimais et où je me laissais aimer.

    Mon chemin dans ce corps

    Aujourd’hui, je vois le monde autrement.

    Je ris quand j’ai envie de rire.

    Je pleure quand mon cœur déborde.

    Je ne cache pas mes émotions, et cela désarme les autres.

    Les gens me disent souvent : « Il y a quelque chose de spécial en toi, une certaine lumière. »

    Mais ce n’est pas « quelque chose »  c’est l’amour pur, celui que j’ai apporté de la Maison des Âmes.

    Je sais que je fais parfois réfléchir les gens.

    Quand quelqu’un se presse et que je marche lentement, il s’arrête.

    Quand quelqu’un porte un masque, mon étreinte le rend inutile.

    Quand quelqu’un est épuisé par la vie, mon sourire le ramène à lui-même.

    Le sens de mon choix

    J’ai choisi un corps avec le syndrome de Down parce qu’il est parfait pour enseigner aux gens la plus grande vérité, aimer simplement.

    Aimer non pas pour les réussites, non pas pour la beauté, non pas pour l’intellect, mais parce que nous sommes tous des âmes issues de la même lumière.

    Si tu lis ces mots, peut-être as-tu rencontré quelqu’un qui t’a rappelé cette vérité.

    Peut-être que c’était moi.

    Ou peut-être une autre âme qui, elle aussi, a choisi un corps particulier pour t’offrir une rencontre avec l’amour pur.

    Chapitre 3. J’étais la sorcière qu’ils craignaient

    Je me souviens de ce choix, il n’a pas été fait pour le pouvoir, mais pour la connaissance.

    Dans le monde des Âmes, je me tenais à la croisée de deux chemins : l’un, paisible et sûr, menait à une vie terrestre simple ; l’autre, sombre et épineux, me promettait les clés de mystères que mon Âme brûlait de découvrir.

    J’ai choisi l’obscurité, non pas comme le mal, mais comme la profondeur.

    Une obscurité où l’on pouvait entendre le plus faible murmure des herbes, le soupir de la lune la nuit, le battement de cœur de la terre.

    Avant la naissance

    -  Ils te craindront, dit mon Guide.

    -  Pourquoi ? demandai-je.

    -  Parce que tu verras plus qu’eux. Et les gens craignent souvent ce qu’ils ne peuvent comprendre.

    J’ai accepté cela. Je savais que mon savoir ne serait pas pour tout le monde. Je suis venue là où la forêt était dense et les nuits, longues.

    Souvenirs de cette vie-là

    Je suis née dans un petit village au bord de la forêt. Ma mère connaissait les herbes, mon père était un chasseur silencieux. Dès mon enfance, je sentais les arbres me chuchoter, le vent porter des messages secrets, l’eau du puits refléter non seulement les visages mais aussi les destinées.

    À dix ans, je savais déjà arrêter un saignement, faire baisser une fièvre, apaiser l’âme avec des herbes et des mots. Les gens venaient me voir en secret, apportant des œufs, du miel, du tissu en échange de mon aide. Mais le matin, en me croisant dans la rue, ils détournaient les yeux.

    Crainte et révérence

    Ils

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