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L’Appel du Passé
L’Appel du Passé
L’Appel du Passé
Livre électronique197 pages2 heures

L’Appel du Passé

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À propos de ce livre électronique


À propos du livre «L'Appel du Passé»

 

L'Appel du Passé se compose de 33 chapitres, chacun révélant une histoire vraie après des séances de régression et d'hypnose. 
Ces récits profonds, émouvants et transformateurs dévoilent des souvenirs anciens, des vies antérieures et des sentiments qui résonnent encore dans le présent. 
Dans cet ouvrage, passé et présent s'entremêlent avec sensibilité et puissance, montrant comment chaque âme porte des marques, des réponses et des chemins qui peuvent mener à la guérison. 
Ce livre fait partie d'un univers littéraire plus vaste, qui comprend des titres tels que «Le Murmure de l'Âme Panacée», «Le Murmure des Âmes», «Le Murmure des Ombres», «La Malédiction du Ciel», «L'Alchimie du Placebo» et le livre pour enfants «Les Secrets de la Vallée Lumineuse» - tous consacrés à l'éveil intérieur, à la guérison de l'âme et à la compréhension des liens qui unissent nos vies passées à notre vie présente. 
Cet ouvrage invite le lecteur à explorer des histoires vraies, à réfléchir à son propre parcours et à découvrir comment le passé peut éclairer le chemin du présent.

LangueFrançais
ÉditeurAlla Panacea
Date de sortie4 déc. 2025
ISBN9798232313913
L’Appel du Passé
Auteur

Alla Panacea

   

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    Aperçu du livre

    L’Appel du Passé - Alla Panacea

    L’Appel du Passé

    «Une saga de réincarnation de l’âme.

    La mémoire de ses vies qui t’appellent à regarder en arrière»

    PROLOGUE. L’APPEL DU Passé

    Il existe des livres écrits avec l’esprit, d’autres nés du cœur, et certains dictés par l’âme elle-même. Ce livre appartient à cette dernière catégorie. Ici, il n’y a ni fiction ni imagination, seulement des histoires vraies de personnes qui, sous hypnose régressive, ont retrouvé ce que leur âme avait longtemps gardé dans le silence. Chaque récit est une porte ouverte sur le passé, où renaissent des vies oubliées, des villes disparues, des destins, des émotions. Mais surtout, renaît le sens : pourquoi nous revenons encore et encore, ce que nous portons à travers les siècles, et ce que nous devons apprendre pour redevenir lumière.

    Ce livre n’est pas simplement à lire c’est un voyage. Il n’y a pas de personnages inventés, car chacun d’eux est réel. J’ai seulement changé leurs noms, ajouté le souffle des images, les senteurs, les couleurs, pour que chaque histoire vive dans ton imagination comme un film dans lequel tu pourrais te reconnaître. Peut-être que l’une de ces âmes est la tienne. Peut-être qu’en lisant, ton cœur tremblera, car il se souviendra. La mémoire de l’âme ne s’efface jamais, elle attend simplement que nous soyons prêts à écouter son murmure.

    Je suis Alla Panacea, hypnologue, régressologue, thérapeute psycho-énergétique, une femme qui n’a pas cherché des réponses mais la vérité. Mon chemin a commencé par la curiosité, il est devenu une vocation. J’ai étudié à l’Institut Portugais d’Hypnose et de Régression, puis le BioMagnétisme à Barcelone, et à l’Institut Japonais de Médecine Chinoise à Kyoto. Mon premier diplôme vient de l’Institut de Pédagogie et de Psychologie de Moldavie. Toutes ces connaissances, ces cultures et ces pratiques se sont unies en moi comme dans un creuset alchimique où la science occidentale et la sagesse orientale se sont rencontrées, dans l’être humain.

    Mais mes véritables maîtres ont été les personnes elles-mêmes, celles qui venaient à moi. Leurs voix, leurs larmes, leurs silences. Pendant les séances de régression, elles se souvenaient de leurs vies passées, des choses que la conscience avait oubliées mais que l’âme avait gardées précieusement. Elles revoyaient leur mort et leur renaissance, leur douleur et leur amour, leurs pertes et leurs retrouvailles, à travers les âges, à travers les corps, mais toujours avec la même lumière dans les yeux. Parfois, elles se mettaient à pleurer, non par peur, mais par reconnaissance : « C’est moi... je me souviens... »

    C’est ainsi que sont nés les chapitres de ce livre. Je les ai écrits non pas en observatrice, mais en témoin. Chacun d’eux a traversé mon cœur. Parfois, après une séance, je restais longtemps dans le silence, car je sentais que l’énergie de l’âme flottait encore dans l’air, comme si elle ne voulait pas partir. J’entendais son murmure. Ce murmure est devenu mon premier livre, puis le deuxième, le troisième... et maintenant, celui-ci.

    Tout ce que nous vivons, l’amour et la perte, la joie et la douleur, la santé et la maladie, la richesse et le manque, est le langage de l’âme. Elle nous parle à travers la vie elle-même. Mais souvent, nous ne l’écoutons que lorsque nous tombons malades, que nous perdons quelqu’un, ou que nous restons seuls. Alors l’âme murmure plus fort, à travers le corps, les coïncidences, les rêves. Et si nous refusons encore d’écouter, elle nous appelle en arrière, dans la mémoire des incarnations, là où tout a commencé. Là, nous pouvons encore changer notre destin, pardonner, libérer, guérir.

    Ce livre est une saga réincarnationnelle de l’âme. Chaque chapitre est une fenêtre ouverte sur une autre vie, un autre siècle, un autre corps, mais toujours avec la même étincelle de lumière. Tu liras l’histoire de femmes qui furent prêtresses, d’hommes morts à la guerre, d’enfants qui n’ont jamais grandi, de vieillards qui se souvenaient d’un amour au-delà du temps. Ils sont tous des fils d’un même tissu, celui de l’humanité. Et peut-être, parmi ces voix, reconnaîtras-tu la tienne.

    Ma mission n’est pas seulement de raconter des histoires, mais d’éveiller la mémoire, pour que tu sentes l’énergie qui vit derrière les mots. Chaque histoire est un miroir dans lequel se reflète ton propre être. Car le véritable miracle de la réincarnation n’est pas que nous revenions, mais que nous puissions nous souvenir.

    La vie humaine n’est qu’une page du grand livre de l’âme. Mais si nous nous rappelons les chapitres précédents, tout ce qui semblait douleur devient sens. Tout ce qui paraissait hasard devient ordre. Tout ce qui faisait peur devient lumière.

    Le Murmure de l’Auteure, Alla Panacea

    N’aie pas peur de ton passé. Il n’est pas venu pour te retenir, mais pour te libérer. Quand tu acceptes tes anciennes histoires, tu n’en es plus le prisonnier, tu en es le créateur. Et alors, l’âme commence à murmurer, non plus sur ce qui a été, mais sur ce que tu peux encore devenir.

    Chapitre 1. Le Chant du Désert

    Épigraphe

    « Le sable se souvient de chaque pas. Même si le vent efface les traces, l’Âme se souvient du chemin. »

    La chaleur faisait fondre l’horizon, transformant l’air en une brume tremblante où le temps perdait toute forme. Il marchait depuis de nombreux jours, un homme grand, vêtu d’un manteau usé, le visage brûlé par le soleil, les yeux pleins de mémoire. Il s’appelait Samir, mais ce nom sonnait en lui comme étranger, donné jadis, dans une autre vie à laquelle il n’appartenait plus. Le sable murmurait sous ses pas, parlant dans une langue plus ancienne que les mots, l’appelant vers le lieu où commençait le chant ancien du désert.

    Il était guérisseur. Non pas celui qui soigne avec les herbes, mais celui qui écoute le souffle de la terre. Autrefois, il entendait le vent parler la langue des éléments. Mais un jour, il tourna le dos à cette voix, faisant confiance à la raison plus qu’à l’intuition. Alors, le don le quitta. Et le désert l’appela de nouveau, pour lui rappeler que toute guérison ne vient pas du savoir, mais de la mémoire du cœur.

    Chaque pas le menait plus profondément dans le silence. Le soir, il dressait sa tente, allumait un feu et observait les flammes transformer la nuit en sanctuaire vivant. Le feu savait tout, il était un être de mémoire, écoutant chacune de ses pensées. Samir posait ses paumes devant les flammes et murmurait des prières,  non pas à Dieu, mais au Chant, celui qui vit dans chaque cellule lorsque l’homme cesse d’avoir peur.

    Cette nuit-là, le vent portait quelque chose d’étrange. Une odeur d’encens, et une voix de femme. Lointaine, fragile, mais d’une familiarité bouleversante. Il la suivit sans réfléchir, le cœur battant, tandis que le sable semblait bouger sous ses pas, le guidant. Puis, à la lueur d’un feu solitaire, il la vit, une femme vêtue de blanc, la tête inclinée, les doigts effleurant les cordes d’une lyre ancienne. Quand elle leva les yeux, ses prunelles contenaient tout un ciel d’étoiles.

    — Je t’attendais, dit-elle doucement. Tu n’es pas venu chercher des réponses. Tu es venu te souvenir.

    Ces mots le traversèrent. Elle parlait comme si elle le connaissait depuis mille ans.

    — Qui es-tu ? demanda-t-il.

    — Je suis la voix de ton Âme, répondit-elle. Celle qui chantait lorsque tu guérissais par le feu. Celle qui s’est tue lorsque tu as oublié ton chemin.

    Elle lui tendit un bol rempli d’une eau claire et lumineuse.

    — Bois, dit-elle. Ce n’est pas de l’eau. C’est la mémoire.

    Il but, et le monde se déchira.

    Il se vit jeune homme, debout dans un Temple de Lumière, dont les murs respiraient et les voûtes chantaient. Ses mains luisaient lorsqu’il touchait les malades, et leurs corps répondaient par la clarté. Il ne disait pas un mot, il se souvenait seulement que toute vie était une seule mélodie. Mais la peur arriva, peur de perdre son pouvoir, peur de mourir, peur de n’être rien. Et cette peur ferma son oreille. Le chant s’éteignit.

    Quand la vision disparut, les larmes coulaient sur son visage.

    — Pourquoi ai-je oublié ? murmura-t-il.

    — Parce que l’Âme n’apprend pas par la force, mais par la perte, répondit-elle. Ce n’est qu’en perdant le chant que tu as pu entendre le silence.

    Ils restèrent silencieux. Le vent passait entre eux, comme le souffle du monde.

    — Reviens à toi, Samir, dit-elle, et souviens-toi : ce n’est pas la main qui guérit, mais la présence.

    Elle se leva, sa silhouette se dissolvant dans l’aube. Seule la lyre resta dans le sable. Il la prit et fit vibrer une seule note. Ce son ouvrit en lui ce qui avait été oublié. Le désert se mit à chanter. Le sable ondulait comme un être vivant, le vent dansait avec le feu, et tout, les étoiles, l’air, son souffle, se fondait en un seul rythme. Ce n’était pas une musique extérieure. C’était son cœur, se souvenant de la mélodie.

    Depuis ce jour, il ne guérit plus avec des mots. Il était simplement là. Les gens venaient à lui avec leur douleur, et repartaient dans le silence. Car il était devenu un miroir où chaque âme se voyait guérie. Le Chant du Désert ne le quitta jamais, même lorsqu’il dormait.

    Et un jour, lorsque son corps devint léger comme la poussière, il comprit enfin : le désert n’avait jamais été un lieu. C’était l’Âme. Celle qui se souvient de tout.

    Le Chuchotement de l’Auteure, Alla Panacea

    Chacun de nous traverse son propre désert. Parfois la vie semble muette, et nous cherchons des réponses à l’extérieur, oubliant que le silence est le langage de l’Âme. Le sable peut effacer les traces, mais non la mémoire. Nos épreuves ne nous détruisent pas, elles nous polissent jusqu’à ce qu’il ne reste que l’essence.

    Le désert n’est pas une punition. C’est un retour. Là où rien n’est de trop, la foi renaît. Quand l’esprit brûle, il ne reste que le chant. Et dans ce chant, tout.

    Écoute attentivement ce que

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