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Inocencio et le Divin Enfant
Inocencio et le Divin Enfant
Inocencio et le Divin Enfant
Livre électronique258 pages3 heuresSaga de Inocêncio

Inocencio et le Divin Enfant

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À propos de ce livre électronique

Le Voyage d'Inocencio est une saga initiatique, un parcours d'autodécouverte à travers les cinq grandes étapes de la transformation et de la croissance humaine : l'enfance, la jeunesse, la maturité, la maturité profonde et, enfin, le temps de la récolte.

Tout commence au sein du foyer — un lieu d'amour, de sécurité et de paix —, au cœur d'une petite communauté d'agriculteurs. Ici, le grand-père, né sur le Vieux Continent, incarne le sage mentor, gardien des secrets du cosmos et du sens de la vie. Ce savoir, sans égal parmi les hommes, éveille chez son petit-fils Inocencio une sensibilité nouvelle à la Nature, l'aide à découvrir sa véritable essence et à comprendre sa place dans l'univers — le préparant ainsi à la grande odyssée de l'existence.
LangueFrançais
ÉditeurSelene
Date de sortie30 août 2025
ISBN9786580224234
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    Aperçu du livre

    Inocencio et le Divin Enfant - Valdi Ercolani

    Inocencio et le Divin Enfant — Valdi Ercolani. Ilustrations: Anna Luiza Bellucci. Selene Editora.

    Synopsis


    «Le Voyage d’Inocencio est une saga initiatique, un parcours d’autodécouverte à travers les cinq grandes étapes de la transformation et de la croissance humaine : l’enfance, la jeunesse, la maturité, la maturité profonde et, enfin, le temps de la récolte.

    Tout commence au sein du foyer – un lieu d’amour, de sécurité et de paix –, au cœur d’une petite communauté d’agriculteurs. Ici, le grand-père, né sur le Vieux Continent, incarne le sage mentor, gardien des secrets du cosmos et du sens de la vie. Ce savoir, sans égal parmi les hommes, éveille chez son petit-fils Inocencio une sensibilité nouvelle à la Nature, l’aide à découvrir sa véritable essence et à comprendre sa place dans l’univers – le préparant ainsi à la grande odyssée de l’existence.

    «Cet ouvrage est un trésor. Il mérite d’être lu, de préférence sous un arbre, en vacances face à la mer, ou dans le silence complice de la nuit. C’est l’histoire d’une enfance riche en valeurs morales – un poème qui touche le cœur en profondeur. »

    Valderez Escobar – Écrivain

    «La puissante magie de Inocencio et le Divin Enfant éveillera non seulement l’âme des petits-enfants et des grands-pères, mais aussi, sans nul doute, celles de nos jeunes et adolescents, de nos adultes – ces parents qui furent enfants, et deviendront, à leur tour, grands-parents –, les invitant à une réflexion profonde et bouleversante sur le sens de la vie. »

    Assuramaya – astrologue, écrivain et journaliste


    Inocencio et le Divin Enfant — Valdi Ercolani. Ilustrations: Anna Luiza Bellucci. Selene Editora.

    À propos de l’auteur

    Valdi Ercolani est né en 1939, au sein d’une famille d’agriculteurs, dans une petite communauté rurale du Rio Grande do Sul, aujourd’hui connue sous le nom de Nova Esperança. À l’âge de sept ans, sa famille s’installe à São Borja. Il y devient cireur de chaussures, vendeur de journaux, puis projectionniste dans le cinéma local.

    À quatorze ans, il part vivre chez la famille Goulart Macedo à Porto Alegre, où il reçoit une formation en arts graphiques. À vingt-deux ans, il se rend à Los Angeles (États-Unis) pour approfondir ses connaissances en création publicitaire. Un an plus tard, il revient au Brésil et s’installe à São Paulo, où il travaille comme directeur artistique au sein de l’agence MPM Propaganda.

    En 1966, il part pour l’Europe. Il séjourne à Lisbonne, à Porto, puis à Madrid, où il exerce comme scénariste de films publicitaires aux Studios Moro. En 1967, il s’installe à Londres pour étudier l’art cinématographique à la London School of Film Technique.

    En 1969, il s’établit à Paris et rejoint l’agence de publicité Havas Conseil en tant que directeur artistique. Durant cette période, il participe à un concours de scénarios pour une campagne antidrogue organisée par la Mairie de Paris – il figure parmi les quatre lauréats sélectionnés.

    En 1971, il voyage à Alger, en Algérie. De retour au Brésil en 1972, il fonde sa propre société de production de films publicitaires. En 1975, il réalise son premier long-métrage, O Resgate, sélectionné pour représenter le cinéma latino-américain au Festival de Téhéran, dans l’ancienne Perse.

    En 1990, il s’installe à Barcelone, où il travaille pendant deux ans dans le domaine du cinéma. En 2000, inspiré par le concept de la « Journée du Héros », il entame l’écriture d’une saga introspective retraçant les cinq grandes étapes du développement humain : l’enfance (Inocencio et le Divin Enfant) ; la jeunesse (L’Éveil d’Inocencio) ; la maturité (Inocencio et le Début du Grand Voyage) ; la maturité profonde (Inocencio à la Recherche du Grand Homme) ; et enfin la récolte (Inocencio et les Trésors Oubliés).

    Sommaire

    Synopsis

    À propos de l’auteur

    Préface de l’auteur

    Préface

    L’origine de ce livre

    Inocencio et le Divin Enfant

    Les ouvrages qui ont nourri

    la sagesse du grand-père Pietro.

    Œuvres de l’auteur

    Landmarks

    Capa

    Folha de rosto

    Créditos

    Sumário

    Préface de l’auteur

    Les idées qui expriment des vérités indiscutables ne meurent jamais. Même si elles sont parfois oubliées par les hommes, elles continuent de vivre dans l’espace. Avec le temps, elles refont surface dans la conscience humaine et se réintègrent à la vie. Je fais ici référence à l’Odyssée du Héros, un modèle narratif que l’on retrouve à travers les âges et les cultures. Elle nous inspire par ses récits de bravoure, de dépassement de soi et de transformation, nous invitant à réfléchir sur notre propre potentiel et sur le parcours que chacun doit accomplir au cours de son existence.

    L’Odyssée du Héros raconte l’histoire d’un jeune qui franchit hardiment les frontières du connu pour affronter l’inconnu, convaincu de posséder en lui les ressources nécessaires pour vaincre les dragons, tant extérieurs qu’intérieurs. Au bout du chemin, il découvre des trésors et revient porteur de vérités nouvelles, capables de transformer sa propre vie et celle de ceux qui l’entourent.

    L’Odyssée d’Inocencio est une épopée intérieure, une quête de soi marquée par cinq étapes de transformation et de croissance : l’enfance, la jeunesse, la maturité, la maturité profonde et le temps de la récolte. C’est un voyage à la découverte de ce que nous sommes, de la mission qui nous incombe, de ce que nous sommes venus accomplir sur cette Terre. Et si chaque itinéraire est unique – car chaque voyageur trace son propre chemin – il est souvent plus facile d’avancer en connaissant les expériences de ceux qui sont déjà revenus.

    Cette odyssée commence dans un foyer, lieu d’amour, de sécurité et de sérénité, au sein d’une communauté de petits agriculteurs. Puisque la fonction du héros est d’apprendre, il lui faut un guide. C’est le grand-père, né en Italie, qui remplit ce rôle de mentor : sage expérimenté, dépositaire des secrets du cosmos et du sens de la vie, il accompagne et encourage son petit-fils Inocencio, l’invitant à s’enraciner dans les valeurs éthiques et spirituelles, morales et humaines.

    À vous, lectrices et lecteurs, j’ai voulu raconter cette odyssée avec les mots les plus justes possibles, pour la rendre vivante et captivante. Pour cela, je me suis appuyé sur la raison et la logique comme outils privilégiés. Je ne propose aucune nouvelle religion, car ma « religion » est l’univers, et le seul objectif de mes livres – adressés au cœur de l’humain – est d’enseigner à penser et à élargir les consciences.

    À l’aide de l’étiologie – cette discipline qui cherche à comprendre les raisons profondes des choses –, j’ai examiné des faits, recueilli des opinions, remis en question l’absurdité de certaines réalités et interrogé les comportements. Pour chaque situation, j’ai posé un principe, celui que je juge le plus solide, dans l’espoir qu’il puisse encourager les parents soucieux du bonheur de leurs enfants ; servir de repère aux enseignants et éducateurs désireux de former des citoyens intègres, capables de réfléchir à leurs actes et de rechercher leur épanouissement sans perdre de vue le bien commun; et peut-être aussi orienter les jeunes et les adultes encore en quête de leur propre voie.

    V.E.

    São Borja, automne 2004

    Préface

    D’emblée, nous sommes saisis par une couverture au goût exquis, qui nous invite, avec une délicieuse insistance, à ouvrir le livre. Dès cet instant, le lecteur se laisse emporter, happé par la lecture, de la première à la dernière page.

    En parcourant les lignes de l’œuvre de Valdi Ercolani, le lecteur découvre une multitude de raisons de se confronter aux grands dilemmes de l’existence, tous liés à ce cycle universel du commencement et de la fin, dans lequel nous sommes tous engagés. Surgissent alors, indissociablement, les figures du petit-fils – le commencement – et du grand-père – la fin.

    L’intrigue philosophique, la magie du récit et la partition captivante des dialogues confèrent à l’œuvre son charme singulier. Dès les premières pages, nous sommes ramenés à notre enfance, ce lieu d’origine où tout prend racine. Les plus jeunes marcheront dans les bras aimants de ceux qu’ils chérissent, ces êtres chers aux cheveux blanchis par le temps, qui continuent à les accompagner.

    Les adultes, eux, s’élèveront sur les ailes de l’inspiration, vogueront vers des îles baignées de mers douces et vivront de tendres songes aux côtés de ces glorieux compagnons que l’âge a noblement parés d’argent. Quant aux plus anciens – que l’auteur évoque avec grâce et poésie –, ils verseront des larmes, car eux seuls savent ce que c’est que d’avoir été petit-fils, puis parent, et d’être aujourd’hui devenu grand-père. Tout au long de ce récit d’une touchante candeur, ils revivront la tendresse du printemps, la force de l’été et l’automne des feuilles tombées, arrosées par les larmes de bonheur que seuls les arcanes de la sagesse peuvent faire couler.

    Impossible de ne pas chérir cet archétype émouvant du petit-fils en quête des réponses que les brumes du passé et les brouillards de l’avenir rendent accessibles seulement à ceux qui ont déjà parcouru de longs et sinueux sentiers du destin.

    La sagesse du grand-père, transmise avec un soin extrême à son petit-fils dévoué, s’exprime avec une grandeur pleine de grâce, comme lorsqu’il aborde la question des valeurs matérielles : « Qu’est-ce qui est le plus affligeant – ne pas obtenir ou perdre de l’argent? » Des situations en apparence simples, mais traitées avec une rhétorique lumineuse, captivent le lecteur du début à la dernière page.

    Le style singulier de chaque chapitre enchante par sa beauté, sa finesse, et plus encore par l’art de l’inattendu – cet art qui surprend le lecteur à chaque nouvelle page.

    Valdi Ercolani déploie avec sagesse une pensée inédite et spontanée, qui traverse toute l’œuvre. On y trouve une matière féconde, propice à l’élévation de l’esprit et aux élans méditatifs. L’auteur met en scène des situations dans lesquelles chacun de nous peut se reconnaître, offrant ainsi de magnifiques opportunités de réflexion. Philosophe à la culture incontestable et à la profondeur spirituelle affirmée, il nous convie à une véritable université d’expériences humaines, rarement réunies dans une seule œuvre.

    Le lyrisme constant est la signature délicate de chaque phrase, que ce soit dans l’introduction, où il esquisse un décor mystique, ou dans l’évocation de ses premières années – l’enfance, le père, la grand-mère disparue prématurément, laissant un vide douloureux –, ou encore à travers quelques personnages secondaires, chacun animé d’une magie contagieuse. Et surtout, l’éternel grand-père – figure mêlée de dieu, de héros et de centaure – évolue au sein d’une Nature poétiquement décrite, si vibrante qu’elle semble faire partie du quotidien du lecteur. Parlant de la Mère Terre, l’auteur la célèbre comme en prière, tel un prêtre devant ses vœux les plus sacrés.

    À un moment donné, je me suis senti redevenir un enfant face à mon propre grand-père, lorsque le magnifique Valdi se projette devant le sien : « J’ai demandé à mon père et à mon grand-père de me bénir. » Seul celui qui a connu une enfance semblable à celle que l’auteur nous dépeint peut percevoir toute la profondeur de cet instant. Il nous rappelle que nous aussi avons été petits-fils, que nous demandions chaque soir la bénédiction de nos aînés…

    – La bénédiction, papa ! La bénédiction, maman ! La bénédiction, grand-père !

    – Que Dieu te bénisse !

    Répondaient-ils, attendris, empreints de foi et de bienveillance.

    Des habitudes que le temps a emportées, emmenant avec elles tant de poésie, renaissent ici sous la plume de Valdi Ercolani, dans cette œuvre généreuse, riche d’amour et de sensibilité. Le petit-fils reste toujours ce chercheur fervent et infatigable de vérité, qui trouvait, dans la sagesse du grand-père, les réponses les plus profondes aux questions de l’enfant – enfant qui, devenu grand-père à son tour, perpétue cet héritage.

    Merci, Valdi.

    Vous avez su raviver, dans l’âme de chacun, le souvenir précieux du petit-fils que nous avons été et du grand-père que nous sommes devenus. Vous avez su, dans votre œuvre Inocencio et le Divin Enfant, exprimer toute la tendresse que ressentent les grands-pères d’aujourd’hui. Et nos petits-enfants – ces enfants qui déposent notre mémoire dans les reliquaires les plus enchantés de notre âme – s’y reconnaîtront, éclairés par la lumière de votre récit.

    Vous avez rallumé, dans le cœur des petits-enfants d’aujourd’hui, une aura de sainteté, et ravivé le culte de l’image du grand-père, trop souvent oubliée ou reléguée dans le tumulte de la modernité.

    Vous nous avez montré que tout n’est pas perdu, qu’il est encore possible de rêver à ce petit garçon observant sa mère traire la vache à l’enclos, et son père mener le bœuf qui tire la charrue au temps des semailles. Mais plus encore, vous avez abordé avec grâce et culture les réalités de notre quotidien, nos inquiétudes, nos élans, nos angoisses – et vous nous avez offert, dans votre récit, une voie vers la véritable félicité.

    La magie puissante de votre chant, dans Inocencio et le Divin Enfant, éveillera non seulement les âmes des petits-fils et des grands-pères, mais aussi, à coup sûr, celles de nos jeunes et adolescents, de nos adultes – ces parents qui furent enfants et deviendront à leur tour grands-pères –, les invitant à une méditation profonde et émouvante sur la vie, qui se transformera, comme les fleurs de votre mandarinier, en délicieux fruits offerts par la Mère Nature.

    São Paulo, Lune de la Balance, 2004

    Amoureusement,

    Assuramaya

    L’origine de ce livre

    Après trois années de recherches intenses, nourries par des sources de sagesse authentique, puis deux autres années consacrées patiemment à l’écriture, le livre était enfin achevé. Il ne manquait plus qu’une introduction essentielle, dans laquelle l’auteur tenterait de justifier l’élan qui l’avait poussé à plonger dans ce vaste lac d’idées.

    Mais par où commencer ?

    Au fil de ces années, j’avais accumulé une quantité considérable de magazines contenant des reportages qui avaient attiré mon attention. Je les rassemblai dans une mallette et partis pour São Borja, où je passai deux semaines en compagnie de ma sœur cadette et de ma mère, presque nonagénaire.

    La maison, simple mais chaleureuse, conservait vivants les souvenirs de temps heureux et de paix. Le potager, avec ses six cents mètres carrés de verdure, invitait à renouer avec la nature – un lieu où les légumes poussaient sous le regard attentif de mains expertes, et où les arbres fruitiers offraient leurs présents généreux. Le verger, peuplé d’oiseaux bavards, ouvrait un passage vers l’enfance, cet espace où le temps s’étirait et où le bonheur se trouvait dans les choses les plus simples.

    Quel bonheur de retrouver ce foyer, où la douceur des oranges mûres, cueillies avec tendresse, ravivait des émotions endormies et ce sentiment profond d’appartenance.

    En parcourant le verger, mon regard s’attarda sur un papayer orné de neuf fruits suspendus. Plus loin, un kakier, chargé de grappes de kakis mûrs, attira mon attention. En les comptant, j’en dénombrai dix. En imaginant sept kakis par grappe et cinq ou six graines par fruit, je réalisai qu’il y avait là la promesse de centaines d’arbres à venir. Un rapide calcul indiquait plus de quatre cent futurs kakiers prêts à germer. La générosité de la nature me stupéfiait.

    Armé de ma pile de magazines et d’une chaise, je cherchai l’ombre accueillante d’un manguier dressé près du verger. Je me mis à feuilleter distraitement les pages à la recherche d’inspiration.

    Un article, intitulé « L’absurde de la misère », me heurta de plein fouet: on y voyait des gens fouillant une décharge pour se nourrir. L’image d’une mère, souriante, brandissant une boîte de lait concentré pour préparer un flan à sa fille, me bouleversa. Mes pensées me ramenèrent au potager de ma mère. Si un lopin de terre de vingt mètres sur trente pouvait produire autant de nourriture, comment expliquer un déséquilibre aussi criant ?

    À mesure que mes doigts tournaient les pages, les titres résonnaient comme des cris d’alarme sur l’état du monde. « Voyages dans l’espace : 170 milliards de dollars estimés pour la colonisation de Mars » – exposant l’ambition humaine de conquérir de nouveaux mondes.

    Un autre titre révélait la fragilité de notre planète : « La Terre appelle à l’aide : un nuage de pollution de la taille de trois fois le Brésil, épais de trois kilomètres, recouvre une partie de l’Asie où vit un cinquième de l’humanité. » L’ampleur de la catastrophe me glaça d’effroi.

    Bientôt, une autre nouvelle : « La nature contre-attaque : fonte des glaciers, sécheresses, pénuries d’eau et réchauffement climatique – les réponses de la planète aux agressions humaines. » Page après page, la réalité se révélait plus dure encore. « L’arsenal des armes de destruction massive continue de croître », dénonçait un article, révélant la folie de la course aux armements.

    Puis une lueur d’espoir : « Mondialisation : de nouvelles opportunités de progrès. » Mais l’illusion s’effaçait aussitôt : « Files d’attente du désespoir.

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