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Mon parcours vers la communication animale
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Livre électronique133 pages1 heure

Mon parcours vers la communication animale

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À propos de ce livre électronique

"Mon parcours vers la communication animale" explore l’univers de la communication animale à travers trois parties distinctes. La première retrace le parcours personnel de l’auteure, prouvant que cette pratique est accessible à tous, et met en lumière l’importance de ses animaux, véritables guides dans son cheminement. La deuxième partie présente sa méthode de communication animale et les principes essentiels qui la composent. Enfin, la troisième partie aborde le rééquilibrage énergétique, complément précieux pour approfondir cette connexion avec les animaux.

À PROPOS DE L'AUTRICE 

De comportementaliste canin passionnée à communicatrice animale, Lydie Lebreton signe ici un ouvrage né d’un deuil intime, devenu un véritable pont entre l’homme et l’animal. À travers cette expérience personnelle, elle partage son savoir avec sensibilité et engagement, guidée par l’envie profonde de renforcer l’harmonie entre humains et compagnons à quatre pattes.
LangueFrançais
ÉditeurLe Lys Bleu Éditions
Date de sortie4 juil. 2025
ISBN9791042270711
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    Aperçu du livre

    Mon parcours vers la communication animale - Lydie Lebreton

    Introduction

    Si vous avez ouvert ce livre, c’est certainement parce que la Communication animale vous appelle ou, en tout cas, vous interpelle. Le changement dans les énergies actuellement amène beaucoup de monde à voir la vie autrement et à s’intéresser à d’autres disciplines, comme la communication animale. Certaines personnes s’éveillent à une autre façon de vivre, ouvrent les yeux à une autre réalité que celle que l’on nous propose dans les journaux, à la télévision et bien d’autres médias. De plus en plus de personnes travaillent en lien avec le monde subtil : les magnétiseurs, les hypnothérapeutes, les médiums, les énergéticiens…

    La Communication animale est une manière de travailler avec ce monde très enrichissant, harmonieux et qui permet d’avancer sur son chemin de vie et de voir d’autres facettes de notre présence sur Terre.

    Selon Albert Einstein : « Tout est énergie, et c’est là tout ce qu’il y a à comprendre dans la vie. Aligne-toi à la fréquence de la réalité que tu souhaites et cette réalité se manifestera. Il ne peut en être autrement. Ce n’est pas de la philosophie. C’est de la physique ».

    Depuis ces dernières années, la communication animale semble se démocratiser, j’ai peut-être cette impression parce que je m’y intéresse. Il faut dire aussi que, face aux perspectives angoissantes et instables proposées de nos jours, face à la mécanisation de nombreux écosystèmes, un besoin de retourner aux sources et aux choses simples de la vie, à l’authenticité de la nature devient nécessaire. Il y a de plus en plus de propositions de formations où les femmes sont en majorité.

    Ce qui me fait un peu peur dans cette démocratisation c’est que tout le monde se mette à communiquer avec les animaux, en fasse un business, dévalorise la communication et également « raconte » n’importe quoi aux animaux ou sur les animaux. Alors oui, comme je l’ai écrit en 1er lieu, tout le monde peut communiquer avec les animaux, mais il y a tout de même certains prérequis, une éthique et aussi des limites. Souvent les gardiens demandent une communication avec leur animal pour des raisons émotionnelles : Parce qu’ils veulent savoir comment il va ? Savoir s’il souhaite partir ? Savoir pourquoi il a ce comportement ? S’il nous aime ? … Il est à mon sens inconcevable de faire une communication animale sans avoir de compétences et de raconter des « bêtises » au gardien. Le lien entre le gardien et l’animal est trop important, parfois fragile, pour prendre le risque de transmettre des informations erronées. Bien entendu, une communication animale n’est pas fiable à 100 %. À mon sens, une personne qui communique avec les animaux doit rester humble et toujours savoir se remettre en question.

    Qui suis-je ?

    Je suis Lydie Lebreton, je n’ai pas d’enfant. Mes enfants, ce sont les animaux. Je suis une personne cartésienne, j’ai aussi une formation scientifique en chimie. Je garde un côté « terre à terre » qui me permet, je pense, de rester connectée à la réalité et de ne pas être trop « perchée ». J’adore passer du temps dans la Nature, passer du temps avec mes animaux.

    Mon enfance

    J’ai toujours eu l’impression depuis toute petite d’être différente des autres. J’ai toujours eu du mal à m’intégrer. J’enviais les filles de mon âge qui étaient extraverties et qui étaient les « stars » de l’école. J’avais l’impression qu’elles étaient mises en lumière, que tout le monde les regardait et faisait attention à elle. J’ai toujours eu peu d’ami(e)s, j’étais souvent seule. Il faut dire aussi que mes parents ne me laissaient pas beaucoup de liberté et la possibilité de sortir. Même lorsque j’ai eu mon premier amour, ma mère n’a pas accepté qu’il dorme chez nous.

    J’ai l’impression parfois de ne pas avoir profité suffisamment de ma jeunesse et de l’insouciance de mon enfance.

    Je préfère la compagnie des animaux qui sont pour moi des êtres vrais, sans faux semblant, qui ne jugent pas et qui pardonnent facilement nos erreurs. Aujourd’hui, j’ai peu d’ami(e)s, mais je peux compter sur eux si j’ai besoin.

    Je suis une personne qui a les pieds sur terre avec le sens des réalités, mais je reste une grande enfant. Parfois, on me trouve « décalée », mais je me moque du regard des autres. Je ne pense pas toujours comme tout le monde. Comme une enfant, j’aime m’émerveiller, m’amuser, dire les choses sans filtre. C’est peut-être un peu grâce à cette part enfant que je peux communiquer avec les animaux.

    J’ai toujours eu la fâcheuse tendance à être parfois trop directive, honnête et entière à mon sens, dans mes propos et cela ne plaît pas toujours.

    À l’époque, j’étais très fermée, je ne croyais pas à tout ça. J’avais perdu mon âme d’enfant, car, lorsqu’on est enfant, on est plus ouvert et on perçoit des choses que les adultes ne voient plus. C’est en effet, généralement, sous la pression des parents qui souhaitent l’intégration sociale de leurs enfants que cette magnifique qualité s’éteint. Pour être socialement correct, il faut penser et faire comme tout le monde. De plus les moyens de communiquer artificiellement comme maintenant avec les portables dès la petite enfance ne laissent pas de place à la communication intuitive. C’est ainsi qu’on peut distiller le doute dans la tête d’un enfant. On demande souvent aux enfants de grandir trop vite et on leur impose souvent des règles de « bonne manière » qui les empêche de profiter de l’insouciance d’être un enfant. L’exemple le plus frappant pour moi est celui d’obliger les enfants à embrasser une personne pour lui dire bonjour. C’est un peu comme quand on oblige un chien à subir une caresse d’une personne qu’il ne connaît pas.

    Le milieu extérieur est très important pour évoluer. Dans mon adolescence, quand mes parents ont divorcé, j’ai laissé un peu mes études de côté. Disons que c’était une excuse supplémentaire pour moins bosser. Avec du recul, et, en réalité, cela manifestait un malaise important que je n’ai pas su examiner. Par ailleurs, même si je n’ai pas eu une enfance malheureuse, je n’ai pas vraiment eu l’enfance insouciante que tout enfant devrait avoir. Notamment j’étais la grande sœur qui devait s’occuper de son petit frère et assurer les tâches ménagères de la maison.

    Je suis une personne qui a pris l’habitude de s’appuyer sur ses facilités, capacités et aussi de ne pas forcément s’écouter. Pourtant, pour avancer dans l’énergétique et pouvoir aider les autres, il faut avant tout prendre soin de soi, écouter les signes et parfois sortir de sa zone de confort.

    Ainsi, on me dit souvent que je devrais être plus douce et à l’écoute de mon enfant intérieur. Mais c’est quelque chose que je n’ai pas appris et dont je n’ai pas l’habitude. Après plusieurs signes de l’Univers, j’ai décidé de participer à un stage sur l’enfant intérieur. Ce qu’il est ressorti de ce stage, c’est l’abandon. Ce n’est pas le sujet du livre, donc je ne développerai pas, mais, en effet, je me suis sentie abandonnée par mes amis à l’école, par mes parents qui m’ont quelque part fait grandir trop vite. Cela explique certainement pourquoi j’aime tant les animaux qui ne nous abandonnent pas, sauf quand ils s’en vont. Et même là encore, ils restent près de nous s’ils ressentent que nous en avons besoin.

    À la suite de divers emplois et d’une fin de CDD dans une entreprise qui m’avait fait espérer une embauche, j’ai ressenti le besoin de créer ma propre activité en lien avec les animaux. Ainsi, je me suis formée au métier d’éducateur comportementaliste canin. J’ai toujours beaucoup aimé les chiens, même si nous n’en avons pas eu lorsque j’étais enfant. Mes parents ont eu un berger allemand qui gardait la station-service dont ils étaient les gérants. Ma mère a eu un petit caniche dont j’ai peu de souvenirs. Les seuls souvenirs que j’ai c’est que mon père a emmené ce berger allemand un jour et il est revenu sans et que ma mère a replacé ce petit caniche rapidement.

    Ainsi j’ai créé mon activité Animo’Relax en 2008 pour aider les humains avec leurs chiens. Mais surtout pour aider les chiens à se faire comprendre de leurs gardiens et essayer de leur apporter une vie sur Terre la plus douce possible.

    J’ai adopté Dickens, mon premier chien, en 2008 également. Je vous parlerai de lui plus tard. Et Freyja, dont je vous parlerais plus tard également en 2010. Avant d’avoir des chiens, j’ai eu des lapins nains et des cochons d’Inde.

    Il y a plusieurs années, je me rappelle avoir vu à la télévision une personne qui parlait aux animaux. Dans mon souvenir, elle avait les gardiens au téléphone et elle réalisait une sorte de dialogue entre l’animal et son propriétaire. Elle jouait le rôle d’interprète. Cette dame m’avait vivement interpellée, mais pas forcément en positif. Je m’étais dit que c’était du charlatanisme et que les gens croient vraiment en n’importe quoi. En tout cas, moi, je n’y croyais pas. Mais avec du recul, je me dis que, peut-être inconsciemment,

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