L'Abîme: La rébellion de Sakla, #1

Par Frederick Guttmann

Les visions du monde des anciennes cultures de la Terre coïncident dans diverses références au début du monde. C'est le cas de l'origine primordiale du chaos et des ténèbres, des abîmes profonds. Était-ce littéral ou figuratif ? Et si c'était les deux ? Cette thèse de mythologie comparée fournit un exemple clair de la façon dont l'univers est un miroir, une chose d'une autre, puisque le métaphysique ou le spirituel est une image de la matière, des phénomènes ou des formes, et vice versa. Les dieux personnifiaient des concepts élémentaires, et cette hiérarchie de dieux englobait des aspects du cosmos. Ces dieux étaient-ils réels ? S'agissait-il d'extraterrestres, d'êtres venus d'autres dimensions ou de représentations archétypales de phénomènes mondiaux ? Ou plusieurs, ou toutes, les significations ci-dessus ?
Selon ces descriptions, l'univers-monde a été produit à partir d'un état non physique, ou univers éthérique, et a ensuite produit des dimensions, parmi lesquelles se trouveraient les plus capricieuses, les plus dures et les plus vulnérables : le physique. La planète Terre aurait été l'une des milliards de galaxies que compte cette seule galaxie, l'une des milliers de galaxies produites, toutes avec leurs multiples dimensions. La sphère terrestre aurait subi des processus de destruction et de reconstruction presque complets, avec des cavités à l'intérieur. De là naît la théorie de la « Terre creuse », également évaluée dans cette thèse. Dans ces processus, les dieux se seraient battus les uns contre les autres et auraient été les contrôleurs et les personnifications des pouvoirs du cosmos.
Les mythologies font référence au premier dieu de la matière sous différents noms : Platon l'appelait Démiurge ; Les Égyptiens l'appelaient Atoum ; les gnostiques, Ialdabaot ; la culture araméenne, Sakla ; les Juifs, Samaël ; les Grecs Cronos ; les Hittites, Aralu ; les Romains, Saturne ; le cananéen Dagon. Toutes les histoires ne suivent pas la même ligne chronologique ou généalogique, mais elles concordent sur les points les plus intéressants concernant l'origine que la Genèse biblique attribue à un état d'obscurité comme début de tout. La rébellion d'Ialdabaot aurait été la première dans le monde matériel, pour ainsi dire, et de laquelle surgirent beaucoup d'autres, comme la rébellion de Lucifer, bien plus tard. Par coïncidence, l'ufologie pourrait réconcilier cette idée d'Ialdabaot avec l'histoire draconienne-orionite.
Cet ouvrage se conclut par la formation de la matière à travers un lien avec toutes les principautés-autorités, pouvoirs, potentats, kosmokrator (hôtes du mal des régions célestes), anges noirs, esprits sombres et démons, et toutes leurs hiérarchies. Cette première partie esquisse également la figure des dieux primordiaux et la description des cultures anciennes concernant l'origine du cosmos, du système solaire et de la planète Terre.

• Langue: Français
• Éditeur: Frederick Guttmann
• Date de sortie: 12 mars 2025
• ISBN: 9798231415304

Frederick Guttmann

Israeli writer, researcher, disseminator, documentary filmmaker and influencer. He is the writer of more than 35 books, mostly research and dissemination theses.

Aperçu du livre

Frederick Guttmann Ramírez

La Rébellion Sakla

I

Les Abysses

Frederick Guttmann R.

www.frederickguttmann.com

[e-mail]

Tenerife (SPAIN) - 2012-2013

Couverture originale: Aday Quintero P.

CONTENU

Introduction – p. 5

1.

L'ABIME – p. 12.

La Terre creuse

Le journal de Byrd

Ce trou aujourd'hui

Les voix de l'enfer

La Demeure des Morts

2.

LE ROYAUME DU PÈRE – p. 53.

Le Père Universel

Mot

Christ

Les royaumes éternels

Le premier homme

La préexistence

Le Big Bang

Le multivers

3.

LA PREMIÈRE RÉBELLION – p. 115.

La sagesse

Le mal

La triade diabolique

Potentats et autorités

4.

DÉSORDRE ET VIDE? -p. 173.

Chaos

Les Eaux Primordiales

Les abysses

La nature

Éros

5.

AU DÉBUT – p. 243.

Genèse 1

Création

La lumière

Le Paradis

Les fondations

Les planètes

Formes de vie

L'humain terrestre

INTRODUCTION

"Lorsque nous regardons en arrière l'époque historique du patriarcat... il semble y avoir une terrible fatalité, un désir incessant de briser l'essence féminine, humaine et divine..." Leonard Schlain (The Goddess Alphabet)

Grâce à des travaux antérieurs, nous avons préparé le terrain pour ce travail d'enquête et de présentation sur les origines du monde et les forces qui y agissent. Dans le livre Création vs. Evolution 2012, nous préparions déjà le terrain en abordant les questions du passé en relation avec les preuves archéologiques qui montrent que l'homme n'est pas issu des singes. Toujours dans le même esprit, j'ai compilé des informations substantielles sur les ovnis dans Wandering Stars, puisque le début de la création vient bel et bien de l'extérieur. De même, ceux qui ont lu notre ouvrage de 2011, Armageddon, E-5, auront été intrigués de savoir comment l'origine de tout ce conflit universel y était mentionnée? Eh bien, nous abordons un sujet brûlant que beaucoup ont tenté de rassembler, les yeux bandés sur des questions complexes, délicates, incertaines, sombres et incomplètes.

Tout ce qui existe peut être très différent de ce que nous croyons être et de ce que l’on nous a généralement enseigné. Il nous faudrait expérimenter une Vie Eternelle pour connaître tous les mystères de cet univers irréel dans lequel nous vivons et comprendre le cosmos. Beaucoup, voyant les limites des lois physiques pour expliquer l'univers, ont été contraints de créer de nouvelles sciences telles que la physique quantique ou la mécanique quantique. Par exemple, dans Wandering Stars, il a clarifié les doutes sur la question des ovnis, car c'est ce qui nous catapulte à parler de ces questions, même si la définition d'extraterrestre est désormais infiniment courte.

L’homme s’interroge, au moins une fois dans sa vie, sur son origine. Logiquement, si nous ne savons pas d'où nous venons, nous pouvons difficilement déterminer où nous allons, qui nous sommes ou pourquoi nous sommes ici et maintenant. Nous voyons l'apparition d'êtres humains dans les archives fossiles, qui seraient vieilles de centaines de millions d'années, un aspect qui suggère qu'il y avait des humains à la surface de cette planète dans la préhistoire, et qu'en raison des événements que nous allons maintenant divulguer, l'enregistrement de ces événements a été perdu. Ainsi, la théorie évolutionniste n’est qu’un cliché et une façon de voir la vie, pas une vérité scientifique, et ce qui est un fait scientifique, c’est clarifier l’idée que l’homme a pratiquement toujours été un homme. Mais si oui, quand est-il apparu? Et où? Sommes-nous originaires de cet orbe?

Comme on s'en souviendra dans Création vs. Evolution, on a retrouvé des outils et artefacts préhistoriques qui semblent hors du temps. Cela nous montre qu’il existait d’autres civilisations avant l’ère des hommes des cavernes, qui disposaient de plus de technologie que leurs prédécesseurs apparents. Vu sous cet angle, cela change radicalement l’histoire de l’humanité. Penser qu'il pourrait s'agir d'êtres d'autres planètes est en partie plausible dans certains cas, mais pas dans ceux mentionnés ci-dessus, car certaines créatures qui voyageaient à travers l'univers sidéral à des vitesses supérieures à la lumière n'utiliseraient pas de flèches, de clous, de vis, etc. ou des lances, à moins qu'ils ne se soient perdus ici. Même avec tout, qui a dit qu’ils venaient d’autres planètes et non d’autres dimensions, réalités ou univers? Nous devons également tenir compte du fait qui suggère la possibilité que l'humanité ait connu des fractures dans son développement social, qui ont donné naissance à des âges différents, perdant encore et encore le patrimoine historique et intellectuel qu'elle avait auparavant.

Qui étaient ces personnes et comment ces preuves nous conduisent-elles à la réponse élémentaire? D'où vient l'homme? Pourquoi y a-t-il la mort, la souffrance et le mal? Les preuves nous disent, du moins en ce qui nous concerne, que nous sommes simplement réapparus des grottes il y a environ 6 000 ans et que tout ce que nous connaissons existait déjà dans le passé. Peut-être qu'en nous mêleant de la synthèse que nous exposent les découvertes archéologiques, nous trouverons la réponse tant attendue de nos annales, ou en exhumant des textes anciens: "Qu'est-ce que c'était? Ce sera la même chose qu'est-ce qui a été fait? La même chose qui sera faite; et il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Y a-t-il quelque chose que l’on puisse dire: voici, c’est nouveau? C'était dans les siècles qui nous ont précédés. Il n'y a aucun souvenir de ce qui a précédé, ni de ce qui arrivera il y aura un souvenir chez ceux qui seront après.» (Roi Salomon. Livre de l'Ecclésiaste 1:9-11. TANAQ)

La vérité est là, il suffit de la dépoussiérer. La base de notre attention aujourd'hui est d'abord d'enquêter et ensuite de montrer ce qu'était le commencement, quelle est l'origine de l'homme en nous basant sur l'histoire, les textes anciens et l'archéologie, et non sur ce concept chimérique auquel on nous a fait croire. Romains qui ont absorbé le christianisme, ou pour 250 francs-maçons britanniques aux idées naturalistes. Nous voulons également saper la controversée et mystérieuse rébellion de Lucifer et ses conséquences. Les références les plus anciennes qui mentionnent l'apparition de l'univers sont mentionnées par diverses cultures sur Terre et, par conséquent, celles-ci, ainsi que les preuves exhumées des entrailles de ce globe, seront nos principales armes face à l'ignorance de ce mystérieux bozo qui est le commencement primordial, les démons, les géants, les dieux, l'homme et la création elle-même. Certains des récits les plus frappants représentent la base du gnosticisme, il s'agit des manuscrits de Nag Hammadi (Egypte), mais nous disposons également de données de Qumran (Mer Morte, Israël), exhumées par les deux groupes en 1945 et 1947. Cependant, nous sommes nous n'entrerons pas seulement avec de la nourriture solide, mais nous exhumerons les découvertes fossiles qui reconstitueront le puzzle de notre histoire.

Avec la mise en scène de ce livre, nous voulons clarifier, entre autres points clés, l'explication de ce que l'on a tendance à appeler mythologie et légende, ainsi que la signification possible de tant d'artefacts hors du temps et, bien sûr, Mettez la loupe sur le célèbre livre de la Genèse et sa version créationniste. Je répète encore une fois que cet ouvrage nous fait voyager dans le temps, dévoilant une information cachée au public, et en met en lumière une autre qui n'a pas été vue même par les plus érudits. Si nous regardons l'histoire connue ou ce qu'on nous a fait croire, il existe d'innombrables liens dans notre humanité: quand sommes-nous apparus? Comment était-ce vraiment au début? Qui étaient Adam et Ève, à coup sûr? Comment tout a commencé?? Ces questions et bien d’autres pourraient être le moment de les résoudre et de lever le voile, du moins dans la mesure du possible, car à notre époque "nous connaissons en partie, et en partie nous prophétisons; mais quand le parfait viendra, alors ce qui est en partie prendra fin." (1ère Lettre de Paul aux Corinthiens, 13:9-10. Nouveau Testament, la Bible).

Notre passé est le portrait craché de notre avenir. Comme nous l'avons lu peu de temps auparavant dans le livre de l'Ecclésiaste, le roi Salomon nous y expose que tout ce que l'homme croit avoir découvert n'est rien d'autre que quelque chose qui existait déjà dans le passé. Aujourd'hui, grâce à la technologie et aux gens formidables qui se sont battus pour faire connaître des découvertes que notre esprit peut aujourd'hui visualiser objectivement, nous avons atteint une certaine compréhension ou compréhension supérieure à toutes les générations qui nous ont précédés. Notre croissance scientifique nous permet de regarder le ciel et de comprendre d’innombrables choses que nos ancêtres n’auraient même pas pu imaginer de toute leur vie. Les avancées des 70 dernières années n'ont jamais été vues dans toute l'histoire connue de l'humanité: le voyage sur la Lune en 1969, le début de l'ère nucléaire en 1945, les télécommunications, les puces électroniques et tous les événements mondiaux que nous laissez passer inaperçu; des choses auparavant impossibles à imaginer: un voyage sous-marin au fond des océans, à l’époque c’était impensable; conquérir l’espace aérien n’était comparable qu’aux fantasmes et aux rêves des hommes les plus fous. Aujourd’hui, la science-fiction n’existe plus.

Cette génération a connu, sait et va connaître des choses certaines et précises que tous les prophètes ont racontées à l'époque: "En vérité, je vous le dis, cette génération ne passera pas que tout cela n'arrive." (Matthieu 24:34, Marc 13:30 et Luc 21:32). Ainsi, tous les événements survenus sont de nature transcendantale pour le grand dénouement dont on parle dans de nombreuses cultures depuis des époques millénaires, et que nous avons qualifié dans Armageddon E-5 et Reconnaître le temps de la fin. Toutes ces prophéties concernent les jours que nous vivons. En même temps, ce que nous voyons et avons enregistré dans l’histoire récente n’est rien d’autre que la répétition d’événements survenus dans le passé, à des époques dont les traces ont pratiquement disparu. Alors qui a raison, la science ou la religion? Peut-être aucun des deux, et en même temps les deux.

Dans Création contre évolution, il remettait en question la branche supposée la plus importante qui expose la descendance de l'humanité et d'une partie du monde (comme l'Univers vivant est désigné dans les termes hébreux et grecs: la genèse et l'évolution, c'est-à-dire les approches ayant le plus grand poids au niveau mondial), et maintenant nous ferons de même avec la théorie créationniste des mythologies, la cosmogonie. Beaucoup prétendent avoir raison, toutes les religions disent que la leur est la vraie, l'humain se justifie et est convaincu et avili dans son raisonnement, mais laisse parler l'accumulation de points documentés. L'humanité elle-même expliquera son origine, et à cet égard, nous examinerons également les informations compilées par différents pays par rapport à ce qu'ils considèrent comme ses origines - même si malheureusement pour certains, ce n'est pas de l'histoire mais reste dans le tiroir des mythologies., également dû au passage des années et à la somme d'histoires et d'ajouts fantaisistes pour engraisser le folklore.

Rappelons que la Mythologie est ce que l'on pourrait appeler l'histoire fusionnée ou mêlée à la légende, parfois très fantaisiste, d'autres fois plus réelle, mais basée sur un fait qui s'est évidemment produit, mais dans tous les cas il doit être préalablement comparé avec la réalité, avec l'histoire et avec la science, car au fil des années, ils ont perdu leur crédibilité en raison de la perte de leurs sources et des récits urbains. Il est considéré comme un mythe parce qu’il n’existe pas de documents officiels et parce que les histoires sont devenues des romans ou des légendes irréconciliables avec la logique moderne. Cependant, toutes les données peuvent nous aider dans cette clarification importante. Je vous invite à vous plonger dans ce voyage qui peut vous faire changer d'avis, comme il a changé le mien.

I.

LES ABYSSES

LA TERRE CREUSE

"La Terre et moi ne formons qu'un seul esprit."

(Chef Josèphe des Nez Percé)

Le monde antique croyait fermement que sous la Terre se trouvait un trou géant aux proportions colossales. Dans cet endroit sombre et abyssal, il y aurait des êtres sombres et maléfiques depuis des temps immémoriaux, certains grouillant et d'autres emprisonnés dans des cachots. De nombreuses légendes pèsent sur ce lieu et ses habitants, notamment des fables sur son origine et sa relation avec les débuts du monde. Pour sa part, la science moderne enseigne que le centre de notre planète est une énorme masse solide de nickel, de fer et d’autres composés métalliques mineurs, à la fois dans le noyau interne et dans le noyau externe. Les peuples d’autrefois, on pourrait dire tous, voyaient quelque chose de très différent: ils tenaient pour acquis qu’un autre monde se développait sous la surface. Le livre de l'Exode dit: " Tu ne te feras pas d'image, ni aucune image de quoi que ce soit de ce qui est dans les cieux en haut, ni sur la terre en bas, ni dans les eaux sous la terre. (Vers. 5:8) Qu’est-ce qui pourrait bien se trouver sous les eaux et qui pourrait poser problème à Dieu qui adore les Israélites? La théorie de la Différenciation Planétaire pourrait être incorrecte si un processus artificiel pouvait être attribué à la formation de la planète sur laquelle nous vivons et au reste des sphères de l’espace. Les mesures sismiques montrent des schémas qui aujourd'hui peuvent être réfutés puisqu'ils reflètent eux-mêmes un vide à 400 km de profondeur, comme une sorte de changement d'attraction gravitationnelle, et puis, encore 400 km plus bas, IL N'Y A RIEN. Aux États-Unis, les études sur cette question n’ont pas reçu de financement supplémentaire et personne ne veut en parler. Il est interdit de survoler les pôles, le système Google Earth censure les photos des zones polaires, aussi bien de la Terre que des planètes et lunes du système solaire. Ceux qui prétendent avoir la preuve que la Terre est effectivement creuse sont également réduits au silence. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot ou d’une histoire risible, mais d’un fait qui contredit la plupart des hypothèses acceptées sur l’origine et la formation de la Terre. La théorie qu’on nous a enseignée sur la formation des étoiles – froides ou chaudes – est complètement fausse. Sa composition s'apparente plutôt à celle d'une boule creuse", avec deux ouvertures importantes au niveau des pôles. Ces concepts peuvent expliquer la signification de tant de mythes anciens sur la création de la planète, où un vide serait ajouté à l'intérieur, ce qui était bibliquement appelé l'Abîme.

Les Égyptiens considéraient l'existence du monde souterrain, le Duat, pour lequel ils créaient de longues galeries souterraines, et ils rencontraient d'autres galeries existantes (ils croyaient également aux salles d'Amenti sous la surface). Les anciens peuples d’Amérique et du Tibet en savaient beaucoup sur les royaumes souterrains et sur leurs grands maîtres. Les Grecs parlaient régulièrement des entrées d’Hadès et de la manière dont des héros courageux tentaient d’y accéder. Ce lieu a été défini par les Hébreux comme Sheol. Dans la culture mésopotamienne, il existe des récits de voyages aux enfers, notamment le roman de Gilgamesh. Pour les Nordiques, le monde d’en bas, ou l’Enfer, était à un pas de l’existence. De là, ils emmenèrent les héros que les Valkyries rassembleraient au Walhalla pour le Rangarök. Au grand prêtre Melchisédek, ils auraient dit: "Mais ceux qui sont dans le ciel ont dit beaucoup de paroles, ainsi que ceux qui sont sur la terre et sous la terre". (Melchisédek. Bibliothèque de Nag Hammadi) D'autres parties des écritures hébraïques et apostoliques disent: «... afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse, de ceux qui sont au ciel, sur terre et sous la terre ...» (Philippiens 2:10) Paul lui-même ne semblait pas ignorer l'existence de peuples en-dessous du monde, sans confondre la zone des défunts, également établie en-dessous. Jean écrit: "Et personne, ni au ciel, ni sur terre, ni sous la terre, ne pouvait ouvrir le livre, ni même le regarder". (Apocalypse 5:3) Et plus loin il ajoute: "Et à toute créature qui est dans les cieux, et sur la terre, et sous la terre, et dans la mer, et à tout ce qui est en elles..." (Apocalypse 5:13) Un exemple, dans ce cas sur l'immensité du monde d'en bas - bien qu'il y ait beaucoup plus de matériel à ce sujet - et ses piliers, nous voyons: "Ainsi parle le Seigneur: Si les cieux d'en haut peuvent être mesurés, et exploré sous les fondations de la terre ...» (Jérémie 31:37) Hénoc en a parlé substantiellement, mais en regardant le livre de Job il semble que l'on trouve une référence aux ouvertures polaires: "De quel ventre est sortie la glace? dehors? Et le gel dans le ciel, qui l'a engendré? Les eaux durcissent comme de la pierre et la face des profondeurs gèle." (Job 38: 29-30)

Cependant, plus récemment, selon des éminences du XVIIe siècle, au centre de la Terre, en dessous, brille un soleil central qui reste statique, appelé par les anciennes cultures le soleil noir ou le soleil d'émeraude (pour le Chez les Egyptiens, la divinité Atoum était la personnification de ladite étoile interne). Edmund Halley –écrivain de plus de 50 livres- (1656 - 1742), découvreur de la comète qui porte son nom (la comète de Halley) et astronome royal d'Angleterre au XVIIIe siècle, élabora un schéma où la Terre apparaissait creuse dans son noyau et en dessous il y avait la vie telle que nous la connaissons à notre surface. Il croyait également que cette planète, étant creuse, abritait 3 plantes à l'intérieur. Sa théorie était basée sur le fait que la Terre était composée de plusieurs couches ou niveaux – comme un oignon. Le mathématicien et physicien suisse respecté Leonard Euler (1707-1783) a déclaré que la Terre était une coquille dotée de deux ouvertures aux pôles, d'un soleil central et qui était habitée. Dans cet ordre, Cyrus Teed avait également une théorie selon laquelle il y aurait de la vie sous la surface de la Terre et qu'il y aurait un soleil central là-bas, des conditions environnementales naturelles et une gravité naturelle, c'est-à-dire similaires à celles de notre surface. On voit que le monde scientifique n'était pas à l'abri de cette théorie, et elles alternaient avec diverses œuvres de fiction sur le même sujet, dont les plus importantes étaient: Les Aventures d'Arthur Gordon Pym, d'Edgar Allan Poe (1833), dans lequel le héros et son compagnon font une rencontre terrifiante avec des êtres venus de l'intérieur de la Terre; et Le Voyage au centre de la Terre de Jules Verne (1864), dans lequel un professeur aventureux, son neveu et un guide pénètrent à l'intérieur de la Terre à travers un volcan éteint en Islande et découvrent de nouveaux cieux, de nouvelles mers et de gigantesques et préhistoriques reptiles qui pullulent dans les forêts. La croyance en une Terre creuse était si répandue que même Edgar Rice Burroughs, le célèbre auteur de Tarzan, se sentit obligé d'écrire Tarzan dans les entrailles de la Terre (1929), dans lequel le célèbre fils de la jungle se rend à Pellucidar, un monde situé à la surface intérieure de la Terre et éclairé par un soleil central. L'Ombre au-delà du temps (1936) de HP Lovecraft a transporté le thème jusqu'à nos jours en décrivant une ancienne race souterraine qui dominait la Terre il y a 150 millions d'années et, depuis, dans le refuge de la Terre intérieure, il a inventé les avions et véhicules atomiques et maîtrise le voyage dans le temps et la perception extrasensorielle.

De nouvelles théories sur les ovnis les reliaient à ce monde intraterrestre. Ces théories ont conduit à retrouver les légendes des civilisations perdues de l'Atlantide et de Thulé, dans la croyance que cette dernière se trouvait dans l'Arctique (à ne pas confondre avec Dundas, anciennement Thulé, l'enclave esquimau du Groenland, aujourd'hui une base aérienne et un centre de communications américains). Cependant, on pensait également qu’une autre source possible d’origine des ovnis pourrait être liée à l’Antarctique. Cette théorie est née de la publication du livre convaincant de John G. Fuller, The Interrupted Journey (1966), dans lequel l'auteur raconte l'histoire de Betty et Barney Hill, un couple américain qui, au cours d'un traitement psychiatrique dû à une période inexplicable d'amnésie, il se souvint sous hypnose qu'ils avaient été enlevés par des extraterrestres, examinés à l'intérieur d'une soucoupe volante et informé que les extraterrestres avaient des bases partout sur Terre; certains au fond de la mer et au moins un en Antarctique. La British Geological Society déclarait à l'époque: "Il y a des dizaines d'éléments contre la possibilité que la Terre soit creuse, mais il y avait des centaines d'éléments contre la possibilité d'une Terre solide. Rappelons également que l'activité volcanique ne commence pas à 6 500 km, comme on dit. S’il existait une force de cette nature au sein de la Terre, il n’y aurait rien de vivant à sa surface. Selon certains volcanologues, l'activité magmatique ne débute pas au-delà de 30 km de profondeur. Si l’on regarde la masse possible, si cette Terre était solide, nous mesurerions 1 cm de haut à cause de la pression gravitationnelle, ce serait énorme. Il suffit de prendre une calculatrice et de calculer la masse à laquelle nous serions soumis et la gravité par effet à laquelle nous serions soumis.» (UnknownWorld.com). Sir John Leslie (1766-1832), physicien et inventeur, originaire d'Édimbourg, inventeur du thermomètre différentiel au début du XIXe siècle, affirmait que la Terre était creuse. Dans la Grèce classique, lors du procès de Socrate, Méléo l'accuse de parler constamment du monde d'en bas, parce qu'il trouvait de telles déclarations inconfortables.

Athanasius Kircher (1602 - 1680) parle d'un livre publié au XVIIe siècle qui parle des Enfers. A. Kircher est né à Geisa, en Allemagne, et était un prêtre jésuite, polyglotte, érudit, orientaliste, doté d'un esprit encyclopédique et l'un des scientifiques les plus importants du baroque; Dans son livre Visa pour une autre Terre, Jacques Bergier aborde abondamment ce sujet du monde intraterrestre. Certains scientifiques dont le nom n'a pas été révélé affirmaient il y a quelques années, pour défendre ces théories, que le pôle magnétique n'est pas un point, mais une ligne circulaire parfaite, la même au Nord qu'au Sud, et que tout point de cette ligne circulaire pourrait être identifiée au pôle. Si cela est vrai, cela expliquerait ce qui s'est passé en 1909, lorsque le Dr Frederick Cook a été acclamé comme le conquérant du pôle Nord, un fait qui a eu lieu le 21 avril de la même année. Quelques jours plus tard, le vice-amiral Robert E. Peary déclarerait qu'il se trouvait au pôle Nord le 6 et qu'il y avait planté un drapeau américain. Aucun des deux explorateurs n'avait de témoin de leur exploit. Tous deux étaient sûrs d’avoir atteint le pôle Nord. Cook a dû voir le drapeau laissé par Peary, ayant été planté par lui. Mais cela n'est apparu nulle part. " Là vit la race supérieure, celle-là même qui se lèvera un jour pour nous anéantir , défendait il y a deux siècles l'Anglais Bulwer Lytton, et sa théorie serait acceptée par les philosophes du nazisme, qui seraient favorables à l'existence d'une race supérieure. un soleil intérieur. L'amiral Richard E. Byrd de l'US NAVY déclarait en 1947 que les États-Unis pourraient être attaqués par des ennemis venant d'au-delà des pôles". Walter Sullivan (auteur de In Search of a Continent - 1928), qui fut un chroniqueur des expéditions de ce célèbre explorateur polaire (RE Byrd), affirmait que nous pourrions être attaqués par des navires plus avancés qui viendraient des régions polaires. La même chose a été dite en 1947 par le général de l'USAF (United States Air Forces), George Churchill Kenney (1889 - 1977), qui a participé à la Seconde Guerre mondiale; par le contre-amiral Richard Cruzen, chef des expéditions polaires dirigées par l'amiral Byrd; et par Rodolfo Panzani, contre-amiral de la marine argentine, qui a fait référence à ces paroles dans son livre La Naturaleza de la Antártida.

Alors qu'il était encore jeune, Olaf Jansen a voyagé vers le nord avec son père et est arrivé dans un pays où la température était agréable et le soleil brumeux, différent de ce que connaissaient les voyageurs. Ils ont fait le tour des lieux, peuplés d'une végétation exubérante, et sont allés se retrouver face à un véritable mammouth. Sur le chemin du retour, le bateau a heurté un iceberg et M. Jansen est tombé par-dessus bord. Son fils sera secouru par l'équipage d'un autre navire, qui entendra son étonnante histoire. Olaf a donc été enfermé dans un asile, où il est resté 20 ans. Il a eu le temps d'écrire un livre qu'il a intitulé Le dieu qui fume, en référence à l'étrange soleil qui semblait dégager de la fumée. À propos de Richard Byrd, on raconte qu'à son retour chez lui, il fut sévèrement réprimandé et lui interdisa de faire d'autres déclarations typiques d'un fou. Byrd mourra des mois plus tard, déçu de voir ses compatriotes refuser d'accepter ce qu'il considère comme la découverte la plus sensationnelle de ces dernières années. Cependant, tout le monde n’allait pas le traiter de fou. L'Italien Amadeo Giannini a médité les paroles de Byrd et a effectué des recherches sur certains témoignages du siècle dernier et a fini par écrire un curieux ouvrage intitulé Mondes au-delà du Pôle, publié en 1959. Giannini a souligné dans son livre l'aventure du Norvégien Fridtof Nansen, qui découvre le 3 août 1894 dans la région nord du Groenland quelque chose qui le laisse perplexe: il se trouve à environ 86º de latitude nord lorsqu'il trouve des rondins traînés par le courant marin venant du nord. Cette découverte sera confirmée peu de temps après par le commandant McClure alors qu'il explorait les terres de Banks, une île de l'archipel arctique. Et aussi par le capitaine Beechy sur la côte ouest de l'île du Spitzberg, qui a trouvé des oies sauvages volant inexplicablement vers le nord au même moment. Une autre information similaire concerne un mammouth découvert en Sibérie en 1799.

À cette époque, l'Américain William Reed lancerait une curieuse théorie sur la mystérieuse région polaire, basée sur le livre écrit par le fou norvégien. Il a dit que dans chacun des deux pôles de la Terre s'ouvre une ouverture circulaire qui permet d'entrer à l'intérieur de la Terre. Cet homme était-il lui aussi devenu fou? Reed a expliqué que la force de gravité est si intense au niveau des ouvertures polaires que l'eau des rivières intérieures se précipite vers la surface de la planète, où elle gèle et devient des icebergs. Ceux-ci sont ensuite brisés en fragments gigantesques, produisant les étranges raz-de-marée bien connus des explorateurs polaires. À l’intérieur des blocs de glace, des plantes et des animaux de toutes tailles atteignent la surface, comme un mammouth découvert en Sibérie en 1799. Les scientifiques de l’époque affirmaient que le mammouth était enfermé dans la glace depuis des milliers d’années. Reed affirmait au contraire que l'énorme animal s'était aventuré imprudemment dans l'ouverture du monde extérieur et avait été emporté par le courant jusqu'aux terres sibériennes. En 1902, un autre mammouth apparaîtrait, dans la région de Bereskova, et récemment, l'être primitif qui flottait enveloppé dans la glace au large des îles Aléoutiennes. Les scientifiques ont affirmé que si les deux avaient été congelés dans des circonstances normales, à des températures pas trop basses, le processus de décomposition aurait dû se poursuivre. C'est-à-dire que l'âge du mammouth et de l'être humain n'était pas supérieur à un ou deux siècles. Cela signifie-t-il que la théorie de Reed pourrait être vraie après tout et que les premiers mammouths et humains venaient de l'intérieur de la Terre? William Reed aura un ardent défenseur de ses idées, à partir de 1920, dans le personnage de son compatriote Marshall B. Gardner, qui avait observé certains phénomènes étranges et élaboré de nouvelles théories pour compléter les précédentes. Il avait observé la neige colorée qui tombait occasionnellement sur les régions arctiques et se demandait si elle ne pouvait pas être causée par le pollen de plantes poussant dans cet intérieur inconnu de la planète. Gardner a observé la calotte polaire sur Mars et s'est également demandé si elle n'était pas tout aussi creuse. Il a expliqué que la couleur blanchâtre qui caractérise le pôle martien n'est pas due à la glace, mais aux nuages qui s'accumulent près de l'ouverture. Si la calotte polaire disparaît parfois, ajoute Gardner, c'est parce que les nuages s'introduisent par l'ouverture, lorsque l'été arrive, comme s'il s'agissait d'une gigantesque marée dont le mécanisme n'est pas encore compris.

Même si cela semble absurde, ces théories sont aussi vieilles que l’humanité et ont même reçu l’approbation d’un gouvernement presque contemporain. Dans certaines légendes anciennes, on parle du royaume souterrain d'Agarthi, situé sous les montagnes du Tibet. Il a été dit à plusieurs reprises que les ovnis dont on parle tant ne viennent pas de l'espace, mais ont plutôt leurs bases à l'intérieur de la Terre, qu'ils quittent en sortant précisément par les deux ouvertures qui existent aux deux pôles. Là vit la race supérieure, celle-là même qui se lèvera un jour pour nous anéantir, défendait il y a deux siècles l'Anglais Bulwer Lytton, et sa théorie serait acceptée par les philosophes du nazisme, qui seraient partisans de l'existence de un soleil intérieur. Selon ses hypothèses, ce soleil illuminerait une terre creuse dont les habitants sont de race aryenne et détesteraient à mort ceux d'entre nous qui vivent à la surface de la planète, profitant des délices d'un soleil extérieur qui ne devrait pas se cacher comme l'autre. Cette terre verte aurait été transportée de son emplacement et l'axe de la planète Terre aurait été modifié. Selon la science, tout au long de l'histoire terrestre, quelque 14 destructions massives ont été enregistrées, où divers facteurs ont opéré, c'est-à-dire qu'elles ont été précipitées par des causes biologiques, des changements dans la dynamique de la planète, des impacts d'astéroïdes, mais les plus désastreuses ont été les plus anciennes. C'est pour cette raison que la géographie de notre globe a tellement changé, puisque le pôle magnétique n'était pas là où il se trouve aujourd'hui. À l'heure actuelle, nous constatons que l'hypothèse selon laquelle il n'y a pas de terre au pôle Nord est totalement fausse, puisque dans les années 90, un dinosaure a été découvert dans l'Arctique. Quelque chose de similaire s'est également produit au pôle Sud, où un nouveau dinosaure a été découvert. Ainsi, nous savons que l'Antarctique était déjà une terre verte il y a 190 millions d'années (d'où le nom de Terre Verte ou Groenland). Des millions d'années plus tard, un groupe de paléontologues a découvert le dinosaure sous la glace, près du glacier Beardmore, à environ 4 000 m d'altitude. Ce n'est que maintenant que ce dinosaure a pu être identifié et nommé, après une décennie d'études patientes. Des paléontologues, dirigés par William Hammer, ont découvert un pied, une patte et une cheville sur le mont Kirkpatrick.

Ils estiment que ce dinosaure de l’Antarctique mesurait environ 6 m de long et pesait entre 4 et 6 tonnes. Les responsables de l'étude sur Glacialisaurus Hammeri, Diego Pol, paléontologue au Musée Egidio Feruglio en Argentine, et leurs collègues ont déterminé que ce nouveau genre et cette nouvelle espèce de dinosaure appartenaient à la période jurassique. Il s’agit d’un sauropode, issu du groupe des plus grands dinosaures qui ont marché sur terre, qui n’avait jamais été découvert en Antarctique. Les Sauropodomorphes avaient un long cou et étaient herbivores. Ils étaient répandus dans le monde entier, puisqu'on les trouve aujourd'hui en Chine, en Afrique du Sud, en Amérique du Sud, en Amérique du Nord et même en Antarctique. Et cela parce qu'à cette époque, les continents étaient encore unis dans le supercontinent Gondwana, et le climat était plus ou moins le même dans presque toutes les régions qui sont aujourd'hui si séparées les unes des autres (Sources: LiveScience, EurekAalert. Publié par Martín Cagliani. 12 décembre 2007). Les palmiers ont proliféré dans l'Arctique il y a 53,5 millions d'années, pendant une période de transition tempérée connue sous le nom de maximum thermique de l'Éocène 2, selon une étude de l'Université d'Utrecht. aux Pays-Bas, publié dans l'édition en ligne de la revue Nature Geoscience. Les chercheurs expliquent que la présence de ces plantes indique que les températures hivernales sur les continents de la région arctique étaient en moyenne supérieures à 8º Celsius. Les scientifiques, dirigés par Appy Sluijs, ont utilisé des sédiments marins collectés dans l'océan Arctique pour évaluer les changements environnementaux associés au réchauffement rapide survenu pendant le maximum thermique de l'Éocène 2. Cet événement climatique est souvent attribué à une augmentation rapide des concentrations de carbone atmosphérique. Leur reconstruction modèle des températures de surface de la mer a atteint 27º Celsius, entre 3º et 5º au-dessus des conditions ambiantes. Les scientifiques expliquent que la présence de pollen de palmier dans les sédiments marins a révélé que les palmiers étaient présents dans les latitudes les plus septentrionales de la planète.

Le journal de Byrd

En 1956, Richard E . Byrd revint d'un voyage aux pôles et déclara qu'il avait vu " un continent merveilleux" - puisqu'au pôle Nord en particulier, il est indiqué qu'il n'y a que de la glace et non de la terre -, dans son propre journal il déclare: " Je dois écrire ce journal en secret et dans le secret absolu. Cela fait référence à mon vol dans l'Arctique le 19 février 1947. Il viendra un moment où la rationalité des hommes devra se dissoudre dans le néant et alors l'inévitabilité de la Vérité devra être acceptée. Je n'ai pas la liberté de divulguer la documentation qui suit, peut-être qu'elle ne verra jamais le jour, mais je dois, en tout cas, faire mon devoir et la raconter ici avec l'espoir qu'un jour tout le monde pourra lire cela, dans un monde où l'égoïsme et l'avidité de certains hommes ne pourront plus supprimer la Vérité. Ses propos ne sont pas étranges, puisqu'un film pas très ancien a été révélé, réalisé depuis un avion, où l'on voit des montagnes de l'Arctique. Cependant, dans le journal de Byrd, il continue son entrée, basée sur le journal de bord de la journée:... Des étendues de glace et de neige en dessous de nous, vues d'une coloration jaunâtre avec des dessins au trait. Modification de l'itinéraire pour un meilleur examen de ces configurations colorées, également observées des colorations violettes et roses. Le compas magnétique et l'aiguille gyroscopique commencent à tourner et à osciller, il ne nous est pas possible de maintenir notre itinéraire avec les instruments. On indique la direction avec la boussole solaire, tout semble encore en ordre. Les commandes semblent lentes à réagir et à fonctionner, mais aucune indication de givrage. ... 29 minutes de vol depuis la première observation de montagnes, pas d'hallucination. C'est une petite chaîne de montagnes que nous n'avons jamais vue auparavant. Puis il dit: Outre les montagnes, il y a quelque chose qui semble être une vallée avec une petite rivière ou un ruisseau qui coule vers la partie centrale. Il ne devrait pas y avoir de vallée verte ici! Il y a ici quelque chose de décidément étrange et anormal! Nous ne devrions survoler que la glace et la neige! À gauche se trouvent de grandes forêts sur les pentes des montagnes. Nos instruments de navigation tournent toujours comme des fous....Je modifie l'altitude à 1400 pieds et fais un virage complet à gauche pour mieux examiner la vallée en contrebas. Il est vert avec de la mousse et de l'herbe très touffue. La lumière est différente ici. Je ne parviens pas à voir le Soleil. Nous tournons encore à gauche et apercevons ce qui semble être une sorte de gros animal. On dirait un éléphant! NON!!!. On dirait que c'est un mammouth! C'est incroyable! Pourtant il en est ainsi! Nous descendons à 1000 pieds et j'utilise des jumelles pour mieux examiner l'animal. C'est confirmé, c'est un animal semblable au mammouth. "

"Nous avons trouvé d'autres collines verdoyantes. L'indicateur de température extérieure indique 24º Celsius. Maintenant, nous continuons notre route. Les instruments de bord semblent désormais normaux. Je suis perplexe devant leurs réactions. J'essaie de contacter le camp de base. La radio ne fonctionne pas. ...Le paysage environnant semble plat et normal. Devant nous, nous voyons ce qui semble être une ville!!! C'est impossible!. L'avion semble léger et étrangement flottant. Les contrôles refusent de répondre! Mon Dieu!. À notre droite et à notre gauche se trouvent des appareils d’un type étrange. Ils s'approchent et quelque chose rayonne d'eux. Ils sont désormais suffisamment proches pour voir leurs insignes. C'est un symbole étrange. Où sommes-nous? Que s'est-il passé?. Une fois de plus, je tire fermement sur les commandes. Ils ne répondent pas!!! Nous sommes fermement piégés par une sorte de piège invisible en acier.» Puis il prie: "Notre radio grince et une voix arrive, parlant anglais avec un accent qui sonne résolument nordique ou allemand! Le message est le suivant: - Bienvenue sur notre territoire, Amiral. Nous vous atterrirons exactement dans sept minutes. Détendez-vous, Amiral, vous êtes entre de bonnes mains. Je remarque que les moteurs de notre avion sont en panne. L'appareil est