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Celui qui rêve
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Livre électronique76 pages35 minutes

Celui qui rêve

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À propos de ce livre électronique

Toussaint, dans sa vareuse, crache par-dessus bord Estampille son rêve de celui que tous font : Prendre le large, se tirer de ce monde caduc, Cette société des hommes qui matraque et qui vend tour à tour Les femmes et les enfants d’abord

À PROPOS DE L'AUTEUR

Après une enfance marquée par l’école – buissonnière – et les premiers émois amoureux, Johan Géma atteint l’âge adulte, découvrant les vicissitudes de la vie, les surprises, les rencontres fortuites et celles qui perdurent. Ces dernières ainsi que son mariage ont ravivé sa confiance en lui, l’amenant à se consacrer à l’écriture, en vers et contre tout.
LangueFrançais
ÉditeurLe Lys Bleu Éditions
Date de sortie12 juil. 2024
ISBN9791042234447
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    Aperçu du livre

    Celui qui rêve - Johan Géma

    Mon ami Alexandre

    J’errais au sein de mes idées sur le monde carnivore,

    De mes pas sur le sol de la portée des vies terrestres

    Il y avait un ciel bleu pur comme les anges,

    L’azur d’autres gens qui marchaient çà et là,

    Il y avait les sons, les odeurs, d’anciennes civilisations

    Mais rien qui ne puisse ôter ma douleur,

    Tu avais tout perdu, moi aussi,

    La vie, devenue ombre, n’avait plus ce goût de l’enquête,

    De ce même jardin d’enfants, aujourd’hui désert

    J’y fais mes premiers pas, pour rien, comme ça,

    J’y attendrai que la mort rôde (rires)

    Qu’elle supprime ces maux,

    Jusqu’à ce qu’un autre pousse le portillon

    Et entre dans le parc,

    Une pensée… je lui souris,

    Elle s’assied près de moi, laconique,

    Se produit alors un phénomène étrange

    Elle me parle de toi en catimini,

    Me prenant par l’épaule ;

    Se lève ici une brise qui exhale une odeur,

    Je la reconnais sans peine :

    C’est celle de la ganja, l’herbe de mes souvenirs,

    Quelle heure est-il à ton paradis, Alexandre ?

    Au parapet de cette ville lumière qu’est Paris,

    De celui qui surplombe le parapet des « toi »

    Il y a ton sourire rempli de peine et d’eau

    Il y a la tension de tes muscles tendus,

    Tu avais, sous tes lunettes rondes,

    Ce moins bien que les autres n’avaient su

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