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Commissaire Marquanteur et le meurtre de Zurich : France polar
Commissaire Marquanteur et le meurtre de Zurich : France polar
Commissaire Marquanteur et le meurtre de Zurich : France polar
Livre électronique149 pages1 heure

Commissaire Marquanteur et le meurtre de Zurich : France polar

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À propos de ce livre électronique

Comment résoudre une affaire criminelle à Zurich depuis Marseille ? L'enquête se déplace très rapidement à nouveau vers Marseille et ses environs, où Pierre Marquanteur et son collègue Leroc doivent lutter contre le crime organisé en Europe - des gens qui marchent sur des cadavres et n'épargnent pas les policiers.



Alfred Bekker est un auteur renommé de romans fantastiques, de romans policiers et de livres pour la jeunesse. Outre ses grands succès de librairie, il a écrit de nombreux romans pour des séries à suspense telles que Ren Dhark, Jerry Cotton, Cotton Reloaded, Commissaire X, John Sinclair et Jessica Bannister. Il a également publié sous les noms de Neal Chadwick, Henry Rohmer, Conny Walden et Janet Farell.
LangueFrançais
ÉditeurAlfredbooks
Date de sortie6 avr. 2024
ISBN9783745237160
Commissaire Marquanteur et le meurtre de Zurich : France polar

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    Aperçu du livre

    Commissaire Marquanteur et le meurtre de Zurich - Alfred Bekker

    Copyright

    Un livre CassiopeiaPress : CASSIOPEIAPRESS, UKSAK E-Books, Alfred Bekker, Alfred Bekker présente, Casssiopeia-XXX-press, Alfredbooks, Uksak Sonder-Edition, Cassiopeiapress Extra Edition, Cassiopeiapress/AlfredBooks et BEKKERpublishing sont des imprints de

    Alfred Bekker

    Roman par l'auteur

    COUVERTURE A.PANADERO

    © de cette édition 2024 by AlfredBekker/CassiopeiaPress, Lengerich/Westphalie

    Les personnes imaginées n'ont rien à voir avec des personnes réellement vivantes. Les homonymies sont fortuites et non intentionnelles.

    Tous droits réservés.

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    Tout ce qui concerne la fiction !

    Prologue

    Pierre, il te faut un hobby, me dit le Libanais. Wallah, je te le dis, Pierre, tu as besoin d'un hobby.

    Va-t'en avec un hobby, lui ai-je répondu.

    Nous étions tous les deux sur un dériveur et naviguions en Méditerranée. Je fais de la voile depuis l'âge de dix ans. A l'époque, j'étais encore sur un optimiste. Mais traverser la Méditerranée sur un dériveur, c'est un plaisir à part entière. Eh bien, c'est comme ça : Un jour, on n'a tout simplement plus assez de temps pour cela. Car la voile est une activité qui demande du temps : C'est un passe-temps qui prend beaucoup de temps.

    Je m'appelle Pierre Marquanteur. Je suis commissaire à Marseille et j'appartiens à une unité spéciale, la Force spéciale de la police criminelle, ou FoPoCri, qui s'occupe principalement du crime organisé. Avec mon collègue François Leroc, je suis actif dans ce domaine depuis des années. Cela ne laisse pas beaucoup de temps libre. C'est comme ça.

    Je me trouvais à bord d'un voilier de croisière appartenant au Libanais. Tout le monde l'appelle simplement le Libanais. C'est une figure de la pègre qui a les doigts dans toutes sortes d'affaires douteuses. Mais je lui ai sauvé la vie une fois, quand un tueur de la mafia russe a voulu lui faire la peau. J'ai pu le sauver en tirant une balle dans la tête du tueur russe. Cela s'est passé dans un club de strip-tease de Pointe-Rouge appartenant au Libanais. Depuis, il m'est plutôt reconnaissant. Nous nous voyons de temps en temps. Et il me donne de temps en temps quelques renseignements que je n'aurais pas pu obtenir autrement.

    Je ne suis pas à vendre.

    Et je lui ai dit ouvertement qu'il ne devait pas me laisser le surprendre en train de faire quelque chose qui était contraire à la loi. C'est à ce moment-là que je l'ai arrêté. Il le sait et s'y conforme.

    Nous nous entendons donc très bien.

    Je ne peux pas non plus vous dire quel diable m'a finalement poussé à le rencontrer sur son voilier.

    Je sais comment cela peut être interprété.

    Mais je m'en fiche. Je sais ce que je fais. Et surtout, je sais de quel côté je suis.

    A savoir, sur celle de la loi. En tout temps. Sans exception. C'est là que je suis vraiment conservateur. Je suis quelqu'un qui croit au bien et qui pense que les faibles ont besoin de quelqu'un pour faire respecter la loi à leur place.

    Quoi qu'il en soit. D'habitude, je rencontrais le Libanais dans l'un de ses clubs. Au bar Oben-Ohne, par exemple. Il a aussi un bar à chicha, mais il ne peut plus m'y emmener. On peut à peine respirer là-bas. Je ne fume pas, vous savez, et je ne supporte pas de voir quelque chose qui fume comme ça. Peu importe que ce soit de la nicotine ou autre chose. La vapeur, la fumée, ce ne sont que des différences marginales. Cela me donne envie de vomir et je n'aime pas non plus les odeurs.

    Wallah, j'ai dit que tu avais besoin d'un hobby, Pierre, a-t-il dit. Tous ceux qui travaillent dur ont besoin d'un hobby pour se détendre un peu. Et tu as besoin de ça aussi. Sinon, un jour, tu vas te griller.

    Je pêche, ai-je dit.

    Wallah, tu ne fais jamais ça !

    Non, c'est la vérité.

    Vous pêchez ?

    Oui.

    Vraiment, maintenant ?

    Bien sûr.

    Il a ri en tirant un peu sur la voile.

    Où est-ce que tu pêches ?

    Dans le port.

    Et tu mangerais vraiment un poisson qui mord à l'hameçon ?

    Eh bien...

    Wallah, tu veux te faire tuer ?

    Il ne s'agit pas d'attraper un poisson.

    Alors de quoi s'agit-il ?

    Il s'agit de mettre de l'ordre dans ses pensées. De retrouver le calme. D'y voir clair. Vous voyez ce que je veux dire ?

    Mais... c'est inutile.

    Non.

    J'irais au moins dans un endroit où on peut attraper quelque chose.

    Je vous ai dit que ce n'était pas le sujet.

    Est-ce que c'est même légal ? Wallah, c'est légal de pêcher dans le port ?

    Pourquoi cela ne serait-il pas légal ? Ce n'est pas une réserve naturelle, que je sache.

    Le Libanais a ri. C'est ce que j'aime chez toi. Tu es drôle.

    J'aime regarder les bateaux passer. Cela a un effet apaisant sur moi.

    J'ai pensé que la voile pourrait être quelque chose pour toi.

    C'était quelque chose pour moi. Dans le passé. Mais je n'aurais pas du tout le temps de m'occuper d'un bateau. Et il faut le faire.

    Oui, c'est vrai, a admis le Libanais.

    Dis, tu ne voulais pas juste naviguer !

    Pourquoi pas ?, a demandé le Libanais.

    Mais j'avais l'impression qu'il y avait plus derrière. C'était généralement le cas. Quelqu'un comme le Libanais avait un but dans tout ce qu'il faisait. Et s'il voulait me rencontrer quelque part, c'était pour que j'apprenne de lui quelque chose qu'il voulait que je sache. C'était généralement le cas.

    Allez, tu ne peux pas me dire ça.

    Tu lis dans les pensées, Pierre. Wallah, tu lis dans les pensées.

    Alors, dites-moi tout. Qu'est-ce qu'il y a ?

    Wallah, je voulais vraiment naviguer d'abord.

    Laissons cela.

    Aucun de mes amis n'a envie de faire ça. Je vous jure que c'est vrai.

    Tu es pauvre !

    Je pensais que tu étais le bon.

    Et vous avez pensé : le marquoir a bien besoin d'un hobby.

    C'est comme ça. A aussi un avantage.

    Qu'est-ce que tu veux dire ?

    Wallah, c'est évident.

    Pas comme ça pour moi.

    Donc, ici, sur le bateau, personne n'écoute. Sinon, vous ne savez jamais qui vous écoute.

    Je suis peut-être sur écoute.

    Non, tu ne pourrais pas.

    Tu es sûr ?

    Vous auriez de la visite le lendemain et nous ne nous reverrions pas. Ce serait regrettable, n'est-ce pas ?

    Ah, oui, je vois...

    Wallah, je vous ai vraiment invité ici à l'origine sans arrière-pensée.

    À l'origine...

    Mais ensuite, j'ai appris quelque chose que tu dois savoir aussi.

    Quoi ?

    Vous savez qui est l'Albanais ?

    Je suppose que c'est quelqu'un d'Albanie.

    Wallah, vous avez du mal à comprendre ? Je ne sais pas d'où vient ce type. On l'appelle l'Albanais. Il porte aussi des noms, mais aucun n'est vrai.

    Qu'en est-il de l'Albanais ?

    Wallah, c'est quelqu'un que l'on appelle quand on a des problèmes avec quelqu'un. Quelqu'un qui met quelqu'un hors d'état de nuire.

    Un tueur de salaires.

    Mot hideux.

    Mais vrai.

    Qui a appelé l'Albanais cette fois-ci ?

    Ce n'est pas la question, Pierre.

    Ah, non ?

    Le fait est que l'Albanais a été appelé à cause de vous. C'est vous qui dérangez quelqu'un. Wallah, il y a certainement beaucoup de gens en question qui sont maintenant assis aux Baumettes depuis de nombreuses années et qui se disent : Qui m'a mis dans cette situation ? Je pourrais me balader dans une Maybach et compter mon argent, et au lieu de ça, je suis assis ici. Et l'un d'entre eux aura pensé : Aujourd'hui, je n'appelle pas mon avocat, mais l'Albanais. C'est aussi simple que cela".

    Je vois, ai-je marmonné.

    C'est un avertissement amical, Pierre ! Je suis bien intentionné.

    Merci beaucoup.

    Tu m'as sauvé la vie. Je te suis redevable.

    Qui vous a parlé de l'Albanais ?

    Je le sais par quelqu'un dont je sais que cela doit être vrai. C'est tout ce que je peux vous dire.

    Hum.

    Wallah - sinon, je serai le prochain à cause duquel l'Albanais sera appelé. Je ne peux pas vous le dire.

    Donc, en d'autres termes, l'Albanais va maintenant m'attendre quelque part à un moment donné pour me tuer.

    Wallah, mieux vaut ne jamais sortir sans son gilet en kevlar. Juste un bon conseil de ma part.

    Il n'y a rien de tel que de bons amis, pensais-je.

    *

    Nous ne savons pas qui est l'Albanais, m'a dit Monsieur Jean-Claude Marteau, commissaire général de police , mon supérieur direct.

    Ça ne sonne pas bien, Monsieur Marteau, ai-je avoué.

    Je crains que le Libanais n'ait raison : vous devriez prendre soin de vous....

    ... et ne pas sortir sans gilet en kevlar.

    Il vous a dit ça ?

    Exactement ça.

    Malheureusement, je ne peux que dire que je suis d'accord avec lui sur ce point. Bien sûr, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour découvrir qui est l'Albanais et qui l'a mandaté. Mais vous savez vous-même ce qu'il en est.

    Bien sûr.

    "Si

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