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Traité d'équitation: L'art de l'écuyer, les exercices à cheval, la manière d'emboucher les chevaux, de les soigner
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Traité d'équitation: L'art de l'écuyer, les exercices à cheval, la manière d'emboucher les chevaux, de les soigner
Livre électronique128 pages1 heure

Traité d'équitation: L'art de l'écuyer, les exercices à cheval, la manière d'emboucher les chevaux, de les soigner

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À propos de ce livre électronique

DigiCat vous présente cette édition spéciale de «Traité d'équitation» (L'art de l'écuyer, les exercices à cheval, la manière d'emboucher les chevaux, de les soigner), de Chatelain. Pour notre maison d'édition, chaque trace écrite appartient au patrimoine de l'humanité. Tous les livres DigiCat ont été soigneusement reproduits, puis réédités dans un nouveau format moderne. Les ouvrages vous sont proposés sous forme imprimée et sous forme électronique. DigiCat espère que vous accorderez à cette oeuvre la reconnaissance et l'enthousiasme qu'elle mérite en tant que classique de la littérature mondiale.
LangueFrançais
ÉditeurDigiCat
Date de sortie6 déc. 2022
ISBN8596547426707
Traité d'équitation: L'art de l'écuyer, les exercices à cheval, la manière d'emboucher les chevaux, de les soigner

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    Traité d'équitation - Chatelain

    Chatelain

    Traité d'équitation

    L'art de l'écuyer, les exercices à cheval, la manière d'emboucher les chevaux, de les soigner

    EAN 8596547426707

    DigiCat, 2022

    Contact: DigiCat@okpublishing.info

    Table des matières

    AVERTISSEMENT.

    INTRODUCTION.

    1.

    Des qualités et des vices du Cheval.

    Des Chevaux de guerre.

    Du Manége.

    Distinction de l’Homme de cheval d’avec l’Ecuyer.

    Notions anatomiques de l’homme et du cheval.

    De l’Homme sur le cheval.

    DIVISION DU CORPS DE L’HOMME EN TROIS PARTIES.

    De la partie immobile.

    De l’Assiette.

    Du Corps et de sa position.

    Des Mains.

    De l’Épine du dos et des reins.

    Des Jambes.

    Des Pieds.

    De la Tenue à Cheval.

    De la Justesse et de l’Aisance.

    De la Grâce.

    Des Aides. (D’après M. de Bohan.)

    DE LA POSITION D’UN RECRUE.

    Premiers moyens que l’Instructeur doit employer.

    MAIN.

    Signification et explication des différentes acceptions de ce mot.

    Des Allures.

    Des Courses de Tête et Exercices de Corps.

    INSTRUCTION

    Sur le Tir des armes à feu pour la cavalerie, d’après celle imprimée en 1816 par ordre de Son Exc. le Ministre de la guerre, sur le Tir des armes à feu de l’infanterie.

    Du Nettoiement des armes à feu.

    Observations sur la confection des Cartouches.

    Observations générales sur l’usage de la Carabine et du Pistolet.

    Des soins qu’exigent les Chevaux,

    De l’Art d’emboucher les Chevaux.

    VOCABULAIRE DE L’ART DE L’ÉPERONNIER.

    B.

    C.

    E.

    F.

    G.

    J.

    L.

    M.

    O.

    P.

    R.

    T.

    00003.jpg

    AVERTISSEMENT.

    Table des matières

    L’ART de monter à cheval, dont la connaissance est indispensable à un officier de cavalerie, fait le sujet de cet ouvrage.

    Un officier appelé à travailler à l’instruction des cavaliers ne peut le faire avec succès que lorsqu’il possède lui-même la science des divers caractères des chevaux, la manière de corriger leurs vices et de profiter de leurs bonnes qualités; les notions anatomiques et géométriques de l’homme et du cheval, et les différentes allures de ce dernier. Toutes ces matières sont traitées dans cet ouvrage, et nous y avons joint quelques détails sur les courses de tête et exercices de corps que l’on pratiquait autrefois, et qui pourraient l’être encore. Nous y avons traité du tir des armes à feu, à pied et à cheval; de la confection des cartouches, et de l’art d’emboucher les chevaux, partie essentielle de la science de l’instructeur, suivi du vocabulaire de l’art de l’éperonnier. Ce traité est orné de plusieurs planches gravées, servant à la démonstration des aplombs et des allures.

    Nous avons, pour former cet ouvrage, consulté les plus grands maîtres, tels que le baron de Bohan, d’Auvergne, Dupaty, La Guérinière, Labroue, Thiroux et de Garsault.

    Le tir des armes à feu a été soumis à un officier supérieur chargé depuis plus de vingt ans de la surveillance sur la confection des armes à feu. D’ailleurs cet article a été basé sur une instruction ministérielle de 1816, relative au même sujet, mais pour l’infanterie.

    Les personnes qui aiment l’exercice du cheval, et à qui la fortune permet ce plaisir, peuvent aussi y trouver des choses intéressantes. Cet ouvrage renferme des principes certains d’équitation, et une foule d’autres détails qui paraissent légers, et méritent cependant une attention particulière. Que de personnes manieraient leurs chevaux avec plus d’aisance et d’exactitude, si elles voulaient se donner la peine d’étudier la manière de les emboucher, et le faire elles-mêmes! D’ailleurs l’art de l’équitation fait partie de la bonne éducation, et un jeune homme bien né ne peut pas plus se dispenser de s’y livrer qu’à celui de faire des armes: ces deux exercices étant propres au développement physique, et servant à donner à celui qui les pratique la grâce et la souplesse qui lui sont nécessaires.

    Les amateurs du tir des armes à feu, et qui cultivent cet exercice avec goût, y trouveront des données certaines qui les mettront à même d’acquérir la justesse et la précision qu’il comporte.

    Au reste, nous avons consulté les personnes les plus éclairées, et nous nous sommes efforcé de ne rien omettre de ce qu’il est essentiel de savoir pour faire un bon écuyer et un bon instructeur. Nous osons donc espérer que notre travail ne sera pas inutile, et qu’il offrira, tant aux officiers qu’aux amateurs de l’équitation, des principes qui ne seront pas sans intérêt .

    INTRODUCTION.

    Table des matières

    1.

    Table des matières

    L’ÉQUITATION, ou l’art de monter à cheval, dit M. de Bohan, dans son Traité d’Équitation militaire ( Encyclopédie, page 264), nous enseigne et nous démontre la position que nous devons tenir sur un cheval pour y être avec le plus de sûreté et d’aisance. Il nous fournit en même temps les moyens de conduire le cheval avec la plus grande facilité, et d’obtenir de lui, de la manière la plus simple, et en le fatiguant le moins possible, l’obéissance la plus exacte et la plus parfaite, en tout ce que sa construction et ses forces peuvent lui permettre.

    Il résulte de là que le cavalier est celui qui, solide et aisé sur l’animal, a acquis la connaissance de ce qu’il peut lui demander, et la pratique des meilleurs moyens pour le soumettre à l’obéissance.

    Le cheval dressé ou mis, est celui qui connaît les intentions du cavalier au moindre mouvement, et y répond aussitôt avec justesse, légèreté et force.

    Le développement de ces deux dernières définitions composera notre Traité d’Équitation. Notre but est de donner les moyens de devenir cavalier, comme aussi de démontrer ceux propres à corriger les vices d’un cheval, à perfectionner ses bonnes qualités, et arriver à le rendre obéissant et souple en ménageant ses forces, afin d’en obtenir le service qu’on est en droit d’attendre de lui quand il est bien conformé.

    Les avantages de l’équitation s’étendent à toutes les| classes de la société ; c’est un exercice noble, susceptible d’entretenir la souplesse dans les membres, de les développer, de conserver la santé ; et il est d’une utilité particulière aux chasseurs, aux voyageurs, et sur-tout aux hommes d’épée. En général, tous les arts d’exercice offrent cet avantage; ils développent le physique, lui donnent de la grâce; mais les plus essentiels à un jeune homme bien né, et qui font partie de son éducation, sont l’art de faire des armes et celui de monter à cheval.

    L’arme de la cavalerie doit toute sa force à l’équitation; en France, comme dans tous les pays où il y a une force militaire, elle est basée sur des principes méthodiques analogues aux mœurs, au goût et à l’adresse des habitans.;

    Le talent de bien conduire de la cavalerie à la guerre, de l’instruire en temps de paix, demande des soins, de la pratique et de longues études.

    Mais, pour en recueillir tous les fruits, il faut que le choix des chevaux soit fait avec un soin particulier, et que l’on reconnaisse dans chacun les proportions, la force et la souplesse nécessaires. Il est donc indispensable, pour y parvenir, que l’achat des chevaux de remonte soit fait par des officiers connaisseurs.

    Mais ce qui n’est pas moins essentiel pour la cavalerie, c’est que ces chevaux soient ensuite dressés d’après de bons principes. L’État y gagnerait, ainsi que l’économie publique, parce que ces animaux ne seraient point usés par un travail forcé pendant leur éducation. Non-seulement ils taraient plus en état de faire campagne, ils dureraient plus long-temps, mais une bonne

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