De "Petite Olive" à "Super Olivier", chasseur de monstres

Par A.P. Hernández

Les monstres n’ont jamais été aussi amusants.

Fais la connaissance d’Olivier et de ses folles aventures en tant que chasseur de monstres.

N’hésite plus : Super Olivier est LA solution !

• Langue: Français
• Éditeur: BadPress
• Date de sortie: 27 mai 2021
• ISBN: 9781667402215

A.P. Hernández

Ο Antonio Pérez Hernández (Μούρθια, 1989) είναι δάσκαλος στην Πρωτοβάθμια Εκπαίδευση, παιδαγωγός, με Μάστερ στην Καινοτομία και στην Έρευνα στην Εκπαίδευση και Δόκτορ, με τη διάκριση cum laude (έπαινος), για τη Διδακτορική του Διατριβή Αξιολόγηση της ικανότητας στην επικοινωνία δια της γλώσσας μέσα από διηγήματα στην Πρωτοβάθμια Εκπαίδευση. Εργάζεται ως δάσκαλος και συγγραφέας.

Aperçu du livre

CHAPITRE 1

Olivier a huit ans et il est en CE2.

À l'école, tout le monde l'appelle « Petite Olive ». Parce qu’Olivier est très petit. C'est l'enfant le plus petit de sa classe. Il est même plus petit que Louis qui, au cas où tu ne le saurais pas, est minuscule. Pourtant, personne n'appelle Louis « Petit Louis ».

On n'appelle pas Marguerite « Petite Marguerite » non plus, alors que c'est l'une des filles les plus petites de l'école.

Cela n'arrive qu'à lui.

Il n'y a que lui que l’on surnomme « Petite Olive ».

Et Olivier déteste qu'on l'appelle « Petite Olive » parce que, au cas où tu ne le saurais pas, il existe un condiment qui s’appelle olive et qui provient de l’olivier.

Olivier en a marre.

Tous les jours, dans la cour, quand il est l'heure de manger, ses camarades lui disent :

« Qu'est-ce que tu as amené à manger, Petite Olive ? Des olives ? »

Et ils se mettent à rire.

Les blagues, c'est drôle.

Olivier lui-même, reconnait que c'est drôle.

Mais quand ça fait trois ans que l’on entend la même blague, ça devient lassant.

Pourtant, Olivier ne baisse jamais les bras.

Il veut tout faire pour que les gens arrêtent de l'appeler « Petite Olive ».

Et il sait très bien ce qu'il doit faire pour y parvenir.

Niño, Adolescente, Masculina

CHAPITRE 2

Aujourd'hui, en classe, le professeur de français d’Olivier leur demande :

« Bon, les enfants, vous allez faire une rédaction, en répondant à cette question : que voulez-vous faire quand vous serez plus grands ? La rédaction doit faire, au minimum, trois lignes. »

Évidemment, tous les élèves de CE2 se prennent la tête dans les mains et ouvrent de grands yeux, comme s'ils avaient vu un fantôme.

Une rédaction de trois lignes ?