À propos de ce livre électronique
Dans la nouvelle qui porte le titre de son recueil, l’auteur aborde le concept de l’amour et du mariage dans la société occidentale, à travers une histoire d’amour entre son meilleur ami Steve et une étudiante hollandaise venue passer comme eux un séjour estival d’études au Norvège, mais cette dernière, Gabi, aussitôt finies les vacances, elle retourne à son fiancé, laissant l’ami de l’auteur dans une profonde déception, justifiant cela par « Mon âme est retournée du paradis estival d’Oslo à l’automne nuageux et sombre de Leiden. Et quand mon fiancé est venu me voir à la maison des parents, et a proposé un rendez-vous pour l’accomplissement du mariage à l’église, j’ai immédiatement accepté sans réfléchir. Le mariage a ainsi eu lieu... ».
À travers cet espace romancier, Alkasimi a pu exploiter les différentes dimensions de l’écriture narrative, laquelle s’ouvre sur le pluralisme, le brassage d’idées et la diversité des voix, des narrateurs et des personnages, ainsi que sur le chevauchement des espaces et des temps et leur multiplication. Il adopte également dans la narration le modèle d’incorporation d’histoires au sein de l’histoire principale, faisant preuve d’aptitude à contenir les prises de position, les expressions et les sentiments qui se disputent au for intérieur des personnages.
Le livre comporte les nouvelles suivantes : Le crime parfait, Le nageur, L’énigme, L’amour à Oslo, Télépathie, Le magicien, Le pèlerinage, et Le rêve.
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Avis sur L'amour à Oslo
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Aperçu du livre
L'amour à Oslo - Ali Alkasimi
La petite amie française
Cet été que je n’oublierai jamais, et suite à des correspondances précédentes avec la Sorbonne Université pour l’étude de la langue française et sa civilisation, on m’avait hébergé à la cité universitaire au boulevard Jourdan à Paris. La cité comprend des dizaines de bâtiments, chaque bâtiment étant réservé à un pays, lequel envoie ses étudiants en France pour les études, lesquels sont hébergés dans ce bâtiment pendant leur étude à Paris. La cité universitaire dispose d’un restaurant pour tous les résidents. On m’avait hébergé dans le bâtiment « Avicenne » de la cité universitaire. Chaque matin, je prenais le métro de la station sise au boulevard Jourdan en direction de la station du Jardin du Luxembourg proche de la Sorbonne. Le long du boulevard Jourdan, on apercevait le beau Parc Montsouris, devenu très célèbre Après avoir été mentionné par le poète Jacques Prévert dans un de ses merveilleux poèmes, le Jardin :
Des milliers et des milliers d’années
Ne sauraient suffire
Pour dire
La petite seconde d’éternité
Où tu m’as embrassé
Où je t’ai embrassée
Un matin dans la lumière de l’hiver
Au parc Montsouris à Paris
À Paris
Sur la terre
La terre qui est un astre.
Le programme de la langue française et sa civilisation auquel j’étais admis, se composait de trois cours chaque matin, lesquels se déroulaient dans des petites salles, suivis la plus part du temps par une conférence générale pour l’ensemble des étudiants en amphithéâtre du bâtiment principal de la Sorbonne, dans la rue des Écoles. L’après-midi, on ne donnait pas de cours, je profitais du temps pour visiter les musées, lesquels étaient si nombreux à Paris, particulièrement le musée du Louvre dont des jours et des jours de visites étaient nécessaires afin de découvrir certains de ses trésors, ou pour se promener dans les jardins publics et les parcs, ou marcher dans les vieux quartiers de la ville où l’on peut voir les célèbres sites telle la cathédrale Notre-Dame de Paris et l’Aiguille de Cléopâtre, l’arc du Triomphe aux Champs-Élysées, ainsi que la Tour Eiffel et la Forêt de Bologne où je louais un bateau à deux rames pour pratiquer le sport dans son lac artificiel, et beaucoup d’autres…
Un des cours qu’on donnait à l’Université était le cours de « Conversation » dont l’objectif est de former les étudiants étrangers à parler couramment le français et d’acquérir une bonne prononciation. Le cours avait lieu trois fois par semaine, le lundi, le mercredi et le vendredi. Le nombre d’étudiants de la classe ne dépassait pas dix, afin de donner l’opportunité à chacun d’eux de s’entraîner à améliorer son expression orale. En s’inscrivant à ce cours, l’étudiant payait 15 francs pour chaque séance.
Le professeur du cours de conversation était une jeune française charmante qui s’appelait Juliette De Bardou. Le mot De dans les noms français indique que cette personne appartient à une des nobles familles aristocratiques qui possède une ferme agricole comportant un château que cette famille habite ou qui fait partie de sa propriété.
Juliette était un modèle de l’aristocratie française dans sa personnalité, ses vêtements aux couleurs paisibles et harmonieuses, parlant très poliment ; elle parle à voix basse proche du chuchotement, sur un ton apaisant qui rassure son interlocuteur, son sourire ne quittant jamais ses lèvres, il lui confère plutôt une roseur flamboyante sur ses joues lisses dévoilant un peu de charme de ses fossettes. Elle avait une prononciation claire et musicale du français, contrairement à ce qu’on l’entend chez les marchands qui parlent l’argot français, lesquels découpent les mots et leurs expressions deviennent par la suite déformées et difficiles à comprendre, ou à comprendre plutôt par les étudiants étrangers non habitués à ce langage courant.
Juliette traitait les étudiants très aimablement et avec le plus grand respect, au point de s’adresser à chacun d’eux en employant la forme de politesse « vous » et non pas celle de tutoiement, « tu ou toi ». Si elle voulait par exemple corriger la prononciation de l’un de nous, elle ne mentionnait jamais l’erreur, ni la répétait ; elle disait à l’étudiant : « Excellent », en redisant son expression de façon correcte, mélodiquement et joliment.
Un jour, alors que j’étais assis seul dans ma chambre à la cité universitaire, une drôle d’idée me vint à l’esprit, elle avait attrait au cours de conversation ; après avoir remarqué que pendant le cours de conversation ce matin-là, je n’avais l’occasion de prononcer que trois phrases, de telle sorte qu’une seule phrase me coûtait Cinq francs.
Je me suis dit alors : « Et si j’invitais une fille française à prendre une tasse de café avec moi au quartier latin dans un des beaux cafés proches de l’Université, l’écouter et lui parler pendant une heure, Cela n’allait me coûter pas plus que 12 francs français, c’était le prix du café à l’époque. C’était en fait moins cher que la leçon de conversation, d’autant plus que j’allais m’entraîner à parler en français un temps plus long que dans la leçon. » Cependant je me suis rapidement dit : « Mais je ne connais pas de fille française. J’ai ajouté : Et si j’invitais notre professeur Juliette elle-même ? » La réponse n’a pas tardé à venir :
– Qui t’a dit que cette jeune charmante acceptera d’accompagner un étudiant étranger à un café ? Elle pourrait être mariée ou fiancée, quoi qu’elle ne porte pas de bague de mariage ni à son annulaire gauche ni à son annulaire droit..
J’ai ajouté argumentant avec moi-même :
– Elle sort sans doute avec un petit ami, une si belle jeune de la haute société ne pourrait sûrement rester sans un petit ami à Paris, la ville de la lumière et de la liberté, comme on l’appelle.
Ainsi ai-je perdu le débat avec moi-même, j’ai décidé alors de laisser tomber cette drôle d’idée idiote. Or la meilleure façon de se débarrasser d’une idée négative de votre esprit, n’est pas de s’interdire à y réfléchir, car elle acquiert ainsi de l’énergie, et par la suite la force et la continuité. Il faudrait plutôt évoquer une idée positive qui remplacerait l’idée négative et la chasserait.
C’est pourquoi j’ai pris le roman « Madame Bovary » de Gustave Flaubert, qu’on devait discuter au cours de critique littéraire cette semaine-là et je me suis plongé dans ses détails. Ainsi ai-je abandonné l’invitation de mademoiselle Juliette De Bardou au café, c’est la belle madame Emma Bovary qui est venue la remplacer, laquelle cherchait un homme riche qui réaliserait ses rêves et ses ambitions, assouvirait sa gourmandise pour les plaisirs d’une grande ville et la débarrasserait de son mari le médecin villageois non avisé dans son village faignant.
Mais dans le cours de conversation le lendemain lundi, j’ai imaginé que le sourire du professeur Juliette était dédié spécialement à moi. En fait, c’était de la pure imagination ou juste un souhait, car Juliette distribuait équitablement son sourire sur tous les étudiants, de la même façon qu’elle distribuait son intérêt sur eux, ses questions et son encouragement. La drôle d’idée, l’inviter à prendre une tasse de café ou de thé dans un café, revint alors hanter mon esprit et m’empêcher de me concentrer sur la leçon. Et afin de chasser cette idée obsessionnelle et la rejeter définitivement, j’ai décidé de parler avec Juliette au sujet de cette invitation. Je me suis dit alors : « Je n’aurai rien à perdre si je tente ma chance, si jamais elle refuse, elle me soulagera, en effet, comme on dit, dans un certain désespoir, on retrouve du confort. »
Après la fin du cours de conversation, j’ai marché à côté du professeur Juliette qui sortait de la salle de classe, je lui ai dit tendrement :
– Je voudrais vous inviter à prendre une tasse de café avec moi, dans un des cafés que vous préfériez, mais je crains que vous n’ayez pas le temps.
À mon grand étonnement, elle dit avec un doux sourire et tout naturellement :
– Avec plaisir. Si ça vous arrange, je serai libre après mon cours du mercredi avec vous.
Tout en essayant de contrôler l’immense joie qui a inondé mon cœur, je lui répondis :
– Merci, au revoir donc.
Le mercredi, quand le cours de conversation prit fin, j’ai veillé à marcher avec elle après qu’elle a quitté la salle de classe. Nous sommes sortis par la porte principale de la Sorbonne, menant vers la rue des Écoles, puis elle se tourna à gauche dans la direction de la rue Saint-Michel. Arrivée à cette rue, elle tourna à droite et marcha dans la rue passant par le musée Cluny, un musée du Moyen Âge, jusqu’à atteindre la Place de la Fontaine Saint-Michel, elle a choisi alors un café qui donne sur la Place et la Fontaine, en disant :
– L’endroit vous plaît-il ?
– Évidemment, il est merveilleux.
Après avoir pris place, je lui ai demandé en guise d’entamer la conversation :
– Pourquoi avez-vous choisi ce café ?
Elle dit objectant :
– Tu peux me tutoyer, nous ne sommes plus en classe. Puis elle répondit à la question, en disant :
Parce que ce café est près de la Sorbonne et la rue Saint-Michel est très animée.
Le serveur vint prendre nos commandes, elle dit simplement :
– Café séparé au lait, s’il vous plaît.
J’ai dit :
– Même chose…
Bien que j’aie été plus âgé qu’elle, je n’ai pas pris l’initiative de la parole, La timidité m’envahit du fait de mon éducation d’enfance. Elle a peut-être été consciente de ma timidité et de mon hésitation, ainsi quand le serveur posa les cafetières de café et de lait avec une tasse vide pour chacun de nous, elle le remercia, et se tourna vers moi demandant :
– As-tu lu le poème de Jacques Prévert « Déjeuner du Matin » ?
J’ai répondu :
– Je l’ai étudié depuis longtemps et je l’ai oublié, je serai ravi de l’entendre de toi.
Elle adapta sa posture sur la chaise et commença à réciter le poème, tout en veillant à donner à son visage radiant et les tonalités de sa voix agréable, une teinte de tristesse, elle cita au début le nom du poème et du poète, son sourire ne l’a pas quittée, mais il fut converti en un sourire triste :
– Déjeuner du matin de Jacques Prévert :
Il a mis le café
Dans la tasse
Il a mis le lait
Dans la tasse de café
Il a mis le sucre
Dans le café au lait
Avec la petite cuillère
Il a tourné
Il a bu le café au lait
Et il a reposé la tasse
Sans me parler
Il a allumé
Une cigarette
Il a fait des ronds
Avec la fumée
Il a mis les cendres
Dans le cendrier
Sans me parler
Sans me regarder
Il s’est levé
Il a mis
Son chapeau sur sa tête
Il a mis son manteau de pluie
Parce qu’il pleuvait
Et il est parti
Sous la pluie
Sans une parole
Sans me regarder
Et moi j’ai pris
Ma tête dans ma main
Et j’ai pleuré.
J’ai dit :
– C’est si merveilleux, mademoiselle. Des mots simples, mais émouvants.
– Le poète avait choisi le titre « Paroles » pour son recueil, parce qu’il utilisait peu de mots, sélectionnés telles des perles, Mais il en forme un précieux collier s’embellissant par la pensée et l’art. A-t-elle dit.
J’ai dit alors :
– Je sais donc maintenant pourquoi ce poème fait partie de notre programme de langue française aux premières années de notre étude.
Jacques Prévert a transformé la poésie française à la simplicité, son style est purement simple et efficace.
En mon for intérieur, craintif et troublé, je me demandais sur les raisons du choix de ce poème. « Aurait-elle deviné l’intention utilitaire et méprisable de mon
