Radiesthésie animale et colombophile: Aider, soigner et comprendre nos fidèles compagnons

Par F. & W. Servranx et associés

Vous croyez tout savoir sur votre animal favori, grâce à l'observation quotidienne. Mais qu'en dit votre pendule ? Vous seriez surpris sur bien des points.

Votre chien a l'air maussade, boudeur. Est-il malade ? Si votre pendule dit oui, cherchez-lui un aliment ou un remède qui puisse le guérir. Mais s'il est en bonne santé, cherchez pourquoi il est boudeur. Observez ensuite et vous verrez que le pendule a raison, là comme ailleurs.
Ce livre vous raconte comment, grâce au pendule, mieux comprendre vos amis fidèles et probablement les rendre plus heureux. Ce sont des expériences que les débutants peuvent parfaitement réussir et qui échappent à toute autosuggestion, puisque les animaux ignorent les expériences radiesthésiques de leur maître.

Un livre complet dont la table des matières ci-après vous donne un aperçu des sujets passionnants qui vous permettront de réaliser le bonheur de vos fidèles compagnons et pourquoi pas, des animaux de vos amis, pour le bonheur de tous.

• Langue: Français
• Éditeur: Servranx
• Date de sortie: 29 mars 2017
• ISBN: 9782872421497

Aperçu du livre

utilisation.

MON CHIEN ET MOI

PAR J. BERVROUX

Cet article n’est pas écrit pour vous engager à faire de votre chien un sujet d’expérience, surtout pas pour des applications médicales ! Loin de moi cette idée. Mais je vais vous raconter comment, grâce au pendule, je suis parvenu à mieux comprendre mon chien et probablement à le rendre plus heureux. Ce sont des expériences que les débutants peuvent parfaitement réussir, et qui échappent à toute autosuggestion, puisque le chien, ne parlant pas, ignore ce qui doit arriver.

Tout d’abord, j’ai déterminé au pendule les heures des pâtées. Pour mon chien, un fox passablement batardé, j’ai trouvé 7, 11 et 16 heures pour les pâtées principales. Sur d’autres chiens, j’ai trouvé d’autres heures : pour le vôtre, l’horaire est donc à chercher au pendule. Les heures varient un peu suivant les saisons.

Ensuite, j’ai testé la quantité. Mon fox « s’en mettait plein la lampe » le matin, après quoi, il était lourdaud et stupide, pour ne reprendre quelque vivacité que l’après-midi. Souvent, il manifestait de l’agitation le soir. Sur les indications du pendule, j’ai diminué les quantités du matin, pour forcer celles du soir. J’ai aussi dosé la quantité de lait, l’eau étant à volonté. Et comme il aime le café au lait, j’ai mesuré ce que je lui en donnais après sa pâtée du matin.

Un jour qu’il semblait particulièrement hargneux, je l’ai tout à fait changé, avec un comprimé de vitamines B dans sa pâtée. Environ une fois par semaine, je lui donne quelque vingt gouttes d’une préparation contenant des vitamines D.

Tous les chiens adorent sortir. Mon fox ne fait pas exception. Et puisque je le promène, pour lui, pas pour moi, autant aller par où il préfère. Mais comment le savoir ? Mon pendule me l’a montré, sur un plan de la ville.

J’ai cherché quel coin de la maison lui plaisait le plus, et comme ce n’était pas du tout une place ambitieuse, je lui ai installé là son panier pour la nuit. La couleur du coussin, un orangé très pâle, a été choisie pour lui, au pendule. Il a manifesté sa joie, et de la place et du coussin, par des démonstrations… et de nombreuses siestes. Mais le pendule est d’accord sur les siestes. Dans le temps, j’aurais cru ce chien trop paresseux.

Le pendule me dit quand je dois réellement le laisser aller ou lui refuser la porte. Je sais les objets qu’il préfère, leurs couleurs, quand je dois m’occuper de lui, et quand il préfère que je ne l’ennuie pas. Bref, je sais même, à peu près, ce que mon fox pense de moi, les gens du voisinage qu’il préfère, ce qui l’intéresse (le pendule le laisse profondément indifférent, mais il s’est attaché vivement à l’auto) et ce qu’il cherche à comprendre.

En fait de dressage, je suis arrivé à lui faire faire des tours (il les adore), en m’y prenant à certaines heures, auxquelles le pendule le déclare plus réceptif. Et c’est parfaitement exact.

Débutants, mes amis, vous qui cherchez « des choses à faire au pendule », si vous avez un chien, un chat, voire un simple canari, voilà les belles expériences que vous pouvez faire, pour le bien de votre ami préféré, et sans risque d’autosuggestion. Puisque nos frères les animaux ne s’attendent pas à ce qui doit se passer.

LE CHIEN ET L’HOMME

PAR JEAN MARTIAL

Je me souviens d’avoir lu quelque part l’anecdote suivante : pendant la guerre, un pilote de chasse anglais possédait un chien épagneul. Vivant seul, l’aviateur avait coutume, lorsqu’il s’absentait pour son service, de laisser son chien au vestiaire des pilotes du camp. L’épagneul était accoutumé à ces séjours au vestiaire et ne manifestait d’ordinaire aucune impatience jusqu’au retour de son maître.

Or, un jour, le pilote s’absenta pour une mission au-dessus de la France. Le chien, comme de coutume, était tranquillement allongé dans le vestiaire, la tête entre le pattes de devant. Soudain, l’épagneul se dressa brusquement sur ses pattes et, par la porte ouverte, s’élança dehors, aussi rapide qu’une flèche. Une heure plus tard, la nouvelle parvint au camp de la chute d’un avion dans un bois voisin ; l’équipe de secours, accourue sur le lieu de l’accident, vit avec stupéfaction l’aviateur, étendu sur le sol près de son parachute, avec, près de lui, son chien qui lui léchait la figure. Le pilote avait sauté en parachute et s’était fracturé une jambe.

Les relations de ce genre sont abondantes, et l’on en prend connaissance, habituellement, en s’attachant surtout à leur aspect sentimental.

De même, on considère comme une chose absolument normale le travail du chien policier qui, après avoir flairé une empreinte, conduit son maître en suivant la trace du voleur.

Il me semble pourtant que cela constitue un merveilleux sujet de méditations pour le radiesthésiste qui veut penser son art.

Personne ne niera en effet que, si le chien policier fait véritablement acte de radiesthésiste sans instruments, l’épagneul du pilote avait, lui, instantanément effectué une véritable opération téléradiesthésique, une prospection à distance.

Une fois de plus, l’animal montre la voie à l’homme…

Une douce jubilation s’insinue fréquemment en moi lorsque je lis, dans des revues techniques, de doctes articles sur le mécanisme de l’acte radiesthésique. Si l’on en juge par l’argumentation utilisée, il serait impossible de concevoir une opinion sensée et par conséquent de ne se livrer avec succès à aucune prospection radiesthésique, si l’on ne s’est avisé, au préalable, de s’adonner à de patientes études de psychologie, complétées même, peut-être, par une série de lectures allant de la Doctrine secrète à la Baghavad Gita, en passant par les ouvrages de POWELL…

Tout cela me paraît un peu artificiel… On complique les choses bien inutilement. À force de la disséquer, de la passer et de la repasser au microscope, il finit par ne rester de la question que l’on veut analyser qu’une impalpable poussière, qui se dérobe à nous.

J’ai écrit ailleurs, parce que je le pense, que ce n’est pas avec des semblants de démonstrations assises sur de