Cartes et Pendule: Combinez les cartes et le pendule pour faire parler votre subconscient et développer votre intuition

Par F. et W. Servranx et associés

Les cartes à jouer sont les témoins les plus appropriés de certains événements de la vie : la naissance, le sexe de l'enfant à naître, les épreuves, le mariage, la fortune ou la misère, le succès ou l'échec, la mort...

En dehors des témoins-mots, ce sont presque les seuls témoins possibles dans nombre de recherches. Par exemple pour trouver l'issue probable d'un procès, pour savoir s'il faut persévérer ou choisir une autre voie...
En lecture du caractère, il est souvent utile de pousser les recherches jusqu'aux prévisions de l'avenir. Le choix au pendule de quelques cartes procure dès lors une synthèse rapide de l'aboutissement des tendances.
Si les cartes à jouer ne sont destinées à remplacer ni les planches anatomiques, ni les témoins-organes, elles peuvent cependant révéler d'avance les points faibles, les maladies non encore déclarées, les accidents probables et les situer avec une bonne exactitude.
Vous vous servirez de témoins cartes à jouer dans les examens psychotechniques, pour évaluer les chances de réussite de différents candidats et déceler les influences que pourront exercer sur eux des personnes de leur entourage, ce qui permet de prévoir longtemps à l'avance des changements d'attitude que ne révéleraient aucun test.
Dans la prévision des événements mondiaux, les cartes signalent la portée générale des crises et des événements et indiquent s'il faut investiguer du côté des questions sociales, de la situation politique ou économique pour prévoir leur nature exacte et leur importance.
Enfin, les cartes à jouer peuvent constituer des éléments intéressants de "code personnel" dans tous les domaines de recherches. Elles sont inégalables pour évertuer l'intuition. Le pendule ne parle pas, mais l'usage de témoins courants, naturels ou artificiels, laisse parfois perplexe. Dès qu'on y adjoint les cartes, on gagne des idées, les images mentales naissent, les hypothèses à vérifier viennent d'elles-mêmes à l'esprit. Il est alors facile de vérifier ces notions incidentes par quelques interrogations mentales. Les cartes stimulent la collaboration du subconscient et semblent atteindre les profondeurs de l'inconscient collectif.

Un guide pratique qui vous apprendra à utiliser les cartes dans votre quotidien

• Langue: Français
• Éditeur: Servranx
• Date de sortie: 29 mars 2017
• ISBN: 9782872421466

Aperçu du livre

Première partie

Exdocin

La

Cartomancie

radiesthésique

F. & W. Servranx

Les témoins cartomantiques

Coup d’œil sur la cartomancie

N’est-il pas étonnant que la cartomancie soit si dédaignée des scientifiques alors qu’elle offre quotidiennement des témoignages de son exactitude et que sa clientèle se recrute parmi ce qu’on est convenu d’appeler l’élite ?

En dehors des foires, les gens du peuple fréquentent peu les tireuses de cartes ; cela coûte cher et les classes laborieuses croient plus volontiers les savants que les diseurs de bonne aventure. Par contre, les industriels et les commerçants, les banquiers, les hommes politiques, les chefs de gouvernements, les fonctionnaires supérieurs, les magistrats, les militaires de haut rang ou les célébrités consultent en plus grand nombre que les femmes désœuvrées !

Jusqu’ici, la cartomancie ne repose que sur la tradition. Ses théories sont nébuleuses, mais ses résultats — par la confirmation de ses prédictions — se vérifient plus souvent que les autres voyances. Essayons d’en donner une explication.

La cartomancie est empreinte d’un symbolisme très ancien, voisin du Tarot et, d’après nous, c’est ce symbolisme profond qui éveille de précises résonances dans l’inconscient individuel et collectif. C’est ce symbolisme qui étale avec les cartes les virtualités du destin des consultants. C’est ce symbolisme qui provoque l’intuition des cartomanciens, même lorsqu’ils ne croient pas à leur art.

Nombre de praticiens célèbres ont reconnu s’être mis à l’étude sérieuse de la cartomancie longtemps après leurs débuts, forcés par leurs propres succès de reconnaître qu’il y avait quelque chose dans une pratique qui les avait attirés uniquement comme moyen de gagner de l’argent.

Prenons le cas d’une tireuse de cartes installée sur un champ de foire. Supposons qu’elle n’ait aucune notion de son art et qu’elle soit persuadée qu’elle exploite la crédulité publique, ce qui est quand même assez rare. Elle raconte à ses clients et clientes ce qui lui passe par la tête et croit que cela lui est inspiré par les dires et surtout par l’aspect des consultants. Or, les idées lui viennent, les images se forment dans son esprit parce qu’elle est devant ses cartes. Ce sont les cartes qui exacerbent et avivent, à son insu, l’intuition ; ce sont les cartes qui la portent à parler de façon automatique et à décrire des scènes qui présentent de curieux rapports avec la vie et l’avenir de la personne en face d’elle.

Ces cartes ont été brassées, mêlées, en présence du consultant qui désire à ce moment être informé de son avenir. Il est vraisemblable que cette expectative du consultant favorise l’extériorisation subconsciente des virtualités qu’il porte en lui. Les cartes ont été coupées de la main gauche par le consultant qui a dû, ensuite, en choisir certaines dont il ne voyait que les dos. Le plus souvent, le consultant aura été invité à souffler trois fois sur les cartes et à retourner lui-même une première lame constituant le point de départ de la mancie. Tout cela au hasard, mais qu’est-ce que le hasard…

Ne peut-on admettre que ces préparatifs lient intimement le consultant à la sortie des cartes ? Que sa main est inconsciemment attirée par les couleurs, les valeurs, les figures et les nombres