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AÏDA (FRANÇAIS avec notes et images): Livret FRANÇAIS - Italien
AÏDA (FRANÇAIS avec notes et images): Livret FRANÇAIS - Italien
AÏDA (FRANÇAIS avec notes et images): Livret FRANÇAIS - Italien
Livre électronique160 pages1 heure

AÏDA (FRANÇAIS avec notes et images): Livret FRANÇAIS - Italien

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À propos de ce livre électronique

DA - Opéra en quatre Actes (Livret FRANÇAIS - Italien),
Libretto di Antonio Ghislanzoni.
Ebook editée par Dino Finetti:
Argument,
Histoire,
Œuvre,
Liens à YouTube (opéra complet),
Giuseppe Verdi (Biographie),
Décorations et dessins de l'ancienne Egypte,
Vues de Vérone et de l'Arène,
Petites bougies
 
LangueFrançais
Date de sortie21 juin 2018
ISBN9788828338741
AÏDA (FRANÇAIS avec notes et images): Livret FRANÇAIS - Italien

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    Aperçu du livre

    AÏDA (FRANÇAIS avec notes et images) - Giuseppe Verdi

    AIDA

    Livret (FRANÇAIS - Italien)

    image 1

    Couverture : http://xahuong.vn/upload/images/spa.jpg

    Argument

    Acte I

    PREMIER TABLEAU.

    L’Éthiopie s'apprête à attaquer l’Égypte. Le grand-prêtre annonce à Radamès, jeune capitaine de la garde, que la déesse Isis désignera bientôt le commandant suprême des forces égyptiennes. Radamès rêve d’obtenir ce poste pour conquérir l’amour de la divine Aida (« Se quel guerrier io fossi » - « Celeste Aida »), esclave éthiopienne au service d’Amneris, fille du roi. Or, celle-ci convoite le beau militaire et tente à cet effet de sonder son cœur. Radamès est troublé par ses questions, craignant qu’Amneris n’ait deviné ses sentiments pour Aida. C’est le moment que la belle esclave choisit pour faire son apparition. Voyant le regard ardent que Radamès pose sur la jeune fille, Amneris comprend tout. Se faisant tout miel, elle interroge Aida sur les raisons de sa tristesse. La belle esclave n’en manque pas: une nouvelle guerre se prépare entre l’Égypte et sa patrie éthiopienne; elle craint pour ses proches. Alors qu’Aida se lamente, et que Radamès tremble à l’idée que leurs amours puissent être révélées, Amneris fulmine intérieurement (trio: « Vieni, o diletta »). La cour se rassemble pour accueillir un Messager qui apporte la nouvelle de l’attaque éthiopienne. On déclare la guerre. Le commandant suprême à été nommé: c’est Radamès. Amneris triomphe (« Guerra, guerra » - « Su, del Nilo »), tandis qu’Aida est déchirée entre son amour de la patrie et sa passion pour un ennemi (« Ritoma vincitor! »).

    SECOND TABLEAU.

    Au temple de Fthà, les prêtresses chantent et exécutent une danse rituelle, alors que Radamès reçoit les insignes de son rang des mains de Ramphis (« Possente Fthà » - « Nume, custode e vindice »).

    Acte II

    PREMIER TABLEAU.

    Les esclaves d’Amneris célèbrent leur princesse (« Chi mai fra gl’inni e i plausi »), alors que celle-ci n’en peut plus d’attendre le retour de Radamès, victorieux, du champ de bataille. Les petits esclaves Maures dansent. Vient Aida; Amneris feint de compatir à la douleur de la fille des vaincus bien qu’en réalité elle veuille éprouver ses sentiments. Après avoir observé le désespoir d’Aida à l’annonce mensongère de la mort de Radamès, elle lui révèle la vérité, pour entendre de sa bouche un cri de joie révélateur. Les deux rivales s’affrontent, alors qu’on entend déjà l’écho du chœur annonçant l’entrée triomphale des forces égyptiennes dans Memphis (duo: « Fu la sorte dell’armi »). Aida tombe à genoux, implorant la pitié des dieux.

    SECOND TABLEAU.

    Tout Memphis accueille les soldats victorieux et leur général, Radamès. Amneris, assise à gauche de son père, savoure l’instant (« Gloria all’Egitto »). Les troupes défilent aux sons des trompettes; passe le char transportant le butin de guerre, et autour duquel on exécute une danse rituelle. Paraît enfin Radamès, salué par le roi comme sauveur de la patrie. Amneris ceint son front d’une couronne glorieuse. Pour toute récompense, Radamès demande que les prisonniers éthiopiens puissent solliciter la grâce royale. Au moment où on les introduit, Aida reconnaît parmi eux son père Amonasro qui cache sous les haillons son identité de roi d’Éthiopie. Il n’en affirme pas moins que le roi est mort, avant d’implorer la clémence du souverain égyptien pour tous les prisonniers (« Ma tu, Re »). Ramphis et les prêtres protestent, mais Radamès jette sa voix dans la balance, et il l’emporte: les prisonniers seront libérés, seuls Aida et son père resteront à Memphis. Pour couronner le tout, le roi offre à Radamès la main d’Amneris.

    Acte III

    Sur les bords du Nil se dresse le temple d’Isis où Amneris vient prier à la veille de ses noces. C’est ici qu’Aida a donné rendez-vous à Radamès. En l’attendant, elle rêve de sa patrie perdue (« Qui Radamès verrà » - « O patria mia »), avant d’être surprise par son père qui exige d’elle un douloureux sacrifice: pour servir la patrie, il faut qu’elle arrache à Radamès un secret militaire. Aida résiste, mais l’autorité paternelle triomphe de ses scrupules (duo: « A te grave cagion m'adduce »). Amonasro se cache, car voici Radamès, sur les ailes du désir (duo: « Pur ti riveggo »). Alors qu’Aida feint la jalousie, Radamès la rassure: lorsqu’il aura fracassé la contre-attaque ennemie, le roi ne pourra plus rien lui refuser, même le droit de répudier sa propre fille au profit d’une esclave éthiopienne. Aida ne cache pas son scepticisme, et suggère une solution plus sûre: la fuite. Pour Radamès c’est impensable, mais le jeu d’Aida est assez subtil pour qu’il finisse par céder (« Sì, fuggiam da queste mura »). Reste à déterminer par quelle voie s’échapper. Radamès propose le sentier qu’emprunteront le lendemain les forces égyptiennes, et qui reste sans surveillance: le col de Napata. Au son de ses mots, Amonasro surgit de sa cachette, triomphant; il révèle à Radamès sa véritable identité, en le remerciant d’avoir permis la victoire éthiopienne. Il ne reste plus à Radamès que de s’enfuir avec Aida et Amonasro. Soudain, Amneris leur barre la route en appelant les prêtres. Amonasro veut la tuer, mais Radamès l’en empêche. Aida et son père parviennent à s’enfuir, alors que Radamès se livre à Ramphis.

    Acte IV

    PREMIER TABLEAU.

    Amonasro a été tué pendant la fuite, mais Aida s’est échappée, à la fureur d’Amneris. La princesse fait venir Radamès pour lui conseiller de plaider coupable en implorant la grâce du tribunal des prêtres (duo: « L’aborrita

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