Nous nous étions brièvement rencontrées en Allemagne, il y a une dizaine d’années. Miranda Kerr faisait la promotion de baskets conçues pour galber les jambes en marchant. Nous avions un peu parlé de skincare, elle avait déjà fondé Kora Organics et regrettait que l’on ne puisse pas essayer ses produits. Surtout, elle était intarissable sur les bienfaits d’une vie saine et sportive. Nous avions repris l’avion vers la France les super-chaussures aux pieds, galvanisée et pleine d’espoir d’atterrir les mollets soudains affinés. Car Miranda Kerr est passionnée et son enthousiasme s’avère franchement communicatif. Même par écrans interposés dix ans plus tard, elle à Los Angeles (tôt le matin), nous à Paris (en début de soirée). Elle nous avertit dès le début de la conversation qu’elle peut discuter bien-être pendant des heures. Quelque soixante minutes plus tard, elle a effectivement révélé ses multiples sources de bonheur, « essentielles à sa sérénité physique et mentale». Elle cite le sport et l’alimentation (bio), mais aussi sa marque (sa passion), sa famille (son équilibre), sa grand-mère (son inspiration). Un call feel good, assurément.
EN 2009, BIEN AVANT LA PERCÉE DU CLEAN DANS LA COSMÉTIQUE, VOUS AVEZ CRÉÉ VOTRE MARQUE AVEC LA VOLONTÉ QU’ELLE SOIT CERTIFIÉE BIO. POURQUOI ÉTAIT-CE DÉJÀ SI IMPORTANT POUR VOUS ?
J’ai commencé à m’intéresser aux cosmétiques « propres » à