Stéphane Richard, libéré
Cela sonne toujours moins bien en français. Mais imaginez les premières mesures de Viva la vida, le célèbre tube de Coldplay, et traduisez les paroles… Cela donne à peu près ceci: « Je dominais le monde, un seul de mes ordres suffisait à ouvrir les mers; maintenant je me réveille seul le matin, et je balaie les rues qui m’appartenaient… » La scène se passe à Bruxelles, le 15 mars dernier. A la batterie, le directeur général d’Orange Belgique, Xavier Pichon, entouré d’une demi-douzaine de collaborateurs. Au clavier, un certain Stéphane Richard, pianiste émérite, qu’on ne savait pas forcément féru de pop britannique. Moment suspendu, inattendu, qui marque la fin de cette dernière rencontre avec les salariés locaux, et à coup sûr le début d’autre chose…
Le 4 avril, le PDG d’Orange
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