PATRICK JUVET LA FÊTE ET LES LARMES
La mort de sa mère, le confinement dans un Barcelone désert et l’alcool l’ont tué à petit feu
Pas de nouvelles depuis deux jours et, à chaque appel, son répondeur. Étrange… «D’habitude, confie son agent et confident Yann Idoux, il téléphone quotidiennement. J’ai eu un mauvais pressentiment. J’ai demandé à un ami de se rendre à son domicile à Barcelone.» Francisco a beau frapper à la porte, rien ne bouge. « Il s’était enfermé à double tour, on a dû contacter un serrurier.» À l’intérieur, pas un bruit. Aucune trace de vie dans le vaste salon, ni sur la terrasse avec vue à 360 degrés sur la mer et les divines tours de la Sagrada Familia. Dans la chambre, Patrick Juvet gît étendu. Pas de traces de coups ni d’ecchymoses. Selon les autorités, l’icône du disco serait décédée de « mort naturelle ». «Il avait le coeur fragile, abîmé par une consommation excessive d’alcool», reconnaît son ami
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