ANNIE CHAPLIN LA GLOIRE DE SON PÈRE
Dec 17, 2020
4 minutes
Par Aurélie Raya
Photos
Alexandre Isard
Elle regarde le majestueux sapin non loin de l’entrée, « Patrick Juvet l’avait offert à ma mère », se souvient Annie Chaplin. Des yeux rieurs, un accent indéfinissable, la benjamine du génie prévient : « Vous ne me verrez pas pleurer. » Elle n’est pas revenue dans la demeure familiale de Corsier-sur-Vevey depuis de longues années. L’émotion est dissimulée par son franc-parler, sa liberté de ton. Les anecdotes surgissent au gré de la déambulation : «Mon père se baignait dans l’eau froide de la piscine, qui n’existe plus. Il ne supportait pas le champ de
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