La poesie pour survivre
Par Diane Momper
()
À propos de ce livre électronique
Pour communiquer, elle commence à écrire des poèmes. Elle partage ainsi sa vie à travers ces écrits, essayant de survivre du mieux qu'elle peut.
Diane Momper
Juste une jeune femme hypersensible, qui n'a pas vécu des choses faciles, qui a besoin de partager ses émotions, sentiments et son imagination, d'où cette fiction qui est en partie réelle
Lié à La poesie pour survivre
Livres électroniques liés
Fannie Baby Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa fin de l'internet Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Derrière Ta Mort Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLe Combat d'une Mère: Roman Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa FEMME DE DJEBEL-BARGOU Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationÇa ira Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationD'elle à moi Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLiv et Lucky Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationSi seulement...: Oser ses choix à dix-sept ans Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa déprise de soi Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationMon coeur mis à nu Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLe secret de Martha Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationDans le miroir de tes yeux Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLes maux en clair: Roman initiatique Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationD'amour et de souffrance: Avec mon fils tétraplégique Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationRévèle moi - Tome 2: Romance Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationRenaissance Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationEntre mes bras: Un roman sur le handicap Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa Clinique de l'Enfer: Polar Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationÀ l’aube de mes 40 ans Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationSans limites: Saga fantasy Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLe plus important: Un roman drôle et cynique Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationMélinda Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLe sourire Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationDouleurs et drames de nos vies Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationÉlizabeth Longhorn - Tome 1: Celle que je suis Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationBreizh vindicte: Crève sur la grève Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationC'était malgré nous Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationTomber Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationDommage qu'il pleuve Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluation
Biographique/Autofiction pour vous
Dictionnaire des proverbes Ekañ: Roman Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Le Comte de Monte-Cristo Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Emprise: Prix Laure Nobels 2021-2022 Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Les Carnets du sous-sol Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5Le Maître et Marguerite Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationZykë l'aventure Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationUn roman naturel: Roman bulgare Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationBon anniversaire Molière ! Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationCafé: Journal d’un bipolaire Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa promesse de Samothrace: Autofiction Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationQuand je suis devenue moi Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLe souffle de mes ancêtres Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationCATHERINE MORLAND Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationOutre-mère Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationCarmen Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationHistoire de flammes jumelles Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationActes de propriété: Ces maisons de Tunisie qui nous habitent encore Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa douloureuse traversée: Perspective d’une Afrique débarrassée du néocolonialisme Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluation
Avis sur La poesie pour survivre
0 notation0 avis
Aperçu du livre
La poesie pour survivre - Diane Momper
Chapitre 1
Tout commence un soir d’été où je rentrais de vacances avec mes amis. Il faisait chaud, le décor était idyllique. Nous étions sur la route, le volume à fond, on dansait, chantait, rigolait ; tout n’était que bonheur et insouciance.
Nous avons passé les vacances dans le sud de la France, au Pays basque. Nous avons fait du rafting dans les rivières, du canyoning et avons même bronzé sous la chaleur étouffante.
Avant de partir, j’avais très mal à la tête, mais que du côté gauche. J’avais l’impression que tout mon côté droit était endormi, c’était vraiment bizarre, mais je ne m’y attardai pas.
Dans la voiture, Mélodie m’interpella : « Ça va, Charlie ? Tu as l’air dans la lune, quelque chose ne va pas ? »
Mélodie était ma meilleure amie depuis la primaire. Elle est du genre casse-cou, tout le contraire de moi, toujours plongée dans mes livres et recueils de poésie.
« Oui, ça va, ne t’inquiète pas, je rêvassais. »
En réalité, je me sentais de plus en plus mal et peinais à parler. On s’arrêta sur une aire d’autoroute pour prendre de l’essence et des provisions pour le reste du trajet qu’il nous restait à parcourir.
Le soleil commençait à se coucher, tout le monde sortit de la voiture. Voulant suivre leur mouvement pour aller aux toilettes, je réalisai que mes jambes ne me répondaient plus. Je n’arrivais plus à les bouger tandis que mes amis s’éloignaient. J’essayai donc de crier pour les avertir de ce qu’il m’arrivait, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Je tentai de me soulever avec mes bras, mais je tombai aussitôt de la voiture. Mes amis se retournèrent en entendant le bruit de ma chute. Ils se précipitèrent dans ma direction, très inquiets.
« Charlie ! Oh ! Réponds-moi ! » Je n’arrivais pas à lui répondre. Quand, soudain, j’entendis la voix de Théo, celui de qui j’étais tombée amoureuse à la fac, grand brun aux yeux bleus, bref, le mec parfait, quoi !« On fait quoi, putain ?! »
Mélodie reprit la parole et rétorqua :
« Faut qu’on appelle les pompiers, j’ai un mauvais pressentiment. »
Je l’entendais parler au téléphone, mais ne comprenais rien.
Je poussai un petit gémissement de douleur et tous se tournèrent vers moi.
« Charlie, réponds ! Putain, elle saigne ! Dépêche-toi, Mélodie ! » hurla un gars que je connaissais pas vraiment.
Je sentais un liquide chaud couler le long de ma longue chevelure blonde, maintenue par un chignon.
J’entendis le bruit des sirènes de pompiers au loin. Tout semblait lointain comme dans un rêve, je ne comprenais pas ce qu’ils me disaient. Puis, je sentis qu’on me soulevait du sol.
Je ressentis la fraîcheur de l’ambulance, la clim devait être allumée.
Puis, je sentis une piqûre dans mon bras gauche. On me posa des trucs collants sur la poitrine, reliés à une machine qui n’arrêtait pas de sonner, et on me prit ce que je crois être la tension. Les machines s’affolèrent, je ne savais pas ce qu’il se passait, j’étais complètement désorientée.
L’ambulance s’arrêta devant l’hôpital du petit village
