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8 ans de vie sans vivre
8 ans de vie sans vivre
8 ans de vie sans vivre
Livre électronique45 pages35 minutes

8 ans de vie sans vivre

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À propos de ce livre électronique

Soutenue par sa famille et ses amis, l’auteure entame une nouvelle phase de sa vie après avoir vécu des années de peur, de stress et d’angoisse. 38 ans de vie sans vivre3 explore les blessures et les cicatrices qui guérissent progressivement en elle. Il représente une confession sincère et émouvante, susceptible d’inspirer de nombreuses personnes à surmonter leurs propres difficultés.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Clarisse Veneran a surmonté de nombreux obstacles au cours de son parcours. Après huit années de lutte, elle a été motivée à écrire ce livre pour rappeler aux lecteurs confrontés à des situations difficiles que la vie peut offrir des lueurs d'espoir même dans les moments les plus sombres.
LangueFrançais
Date de sortie29 avr. 2024
ISBN9791042217648
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    8 ans de vie sans vivre - Clarisse Veneran

    Clarisse Veneran

    8 ans de vie sans vivre

    Une image contenant Graphique, texte, Police, graphisme Description générée automatiquement

    © Lys Bleu Éditions – Clarisse Veneran

    ISBN : 979-10-422-1764-8

    Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

    Après des années tumultueuses, habitées par la peur, le stress, l’angoisse, les blessures de C. se referment et, entourée des siens, elle commence alors une nouvelle aventure.

    Une confession du cœur sans fioritures, sans filtre, émouvante, sincère, plein d’espoir. Un pan de vie, tout simplement.

    18 juin 1968. Certains y verront un appel, d’autres l’arrivée dans une révolution qui sentait bon l’émancipation féminine. Toujours est-il qu’en début d’été, j’arrivais en ce bas monde.

    Ma mère, secrétaire, vingt ans.

    Mon père en avait vingt-deux.

    Installés en Lorraine, ils devenaient parents pour la première fois.

    Une douce quiétude, les années s’écoulaient.

    1971 marque l’arrivée de Clotilde, ma petite sœur j’étais très enchantée.

    Enfance heureuse entre moments en famille et copains d’école, rien de bien extraordinaire ne se passait et tout à la fois puisque ce sont les prémices d’une construction de vie tout entière qui se jouaient dans ces années paisibles avec de nombreuses balades en forêt.

    La Lorraine, ses principales richesses étaient la sidérurgie et les mines de charbon.

    La Lorraine veut garder un moral d’acier.

    Mais en 1974 nous quittions cette région pour le « Midi de la France. »

    Mon père, comme beaucoup d’hommes, arrivait sur l’usine de Fos/Mer en pleine expansion.

    Du haut de mes six ans, c’était assez impressionnant, toutes les familles arrivaient en même temps, de gros camions « Bordon Biron » se suivaient.

    Des familles, je ne peux pas dire combien de personnes, mais nous étions nombreux.

    Dès notre arrivée dans la région phocéenne, j’y retrouvais des amis.es qui habitaient mon quartier en Lorraine qui comme moi ont été avec leurs familles délocalisées en région PACA.

    Je n’étais donc pas vraiment dépaysée. Certains d’entre nous habitaient dans des villes différentes des Bouches du Rhône. Mais avec nos parents respectifs, nous nous retrouvions très souvent les week-ends, faisant des sorties à la plage, en pique-nique ou à visiter la région provençale.

    Beaucoup d’entre nous suivions notre scolarité dans les mêmes écoles primaires.

    Par la suite nous avons pris des voies différentes dans des écoles puis dans le monde du travail. Découvrir une région bordée de plage était

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