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Déviations oniriques
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Livre électronique80 pages20 minutes

Déviations oniriques

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À propos de ce livre électronique

Bouée

Petit souvenir, vague réminiscence d'un instant irréels, perdu dans une temporalité molle. Vaporeux, Presque imperceptible, il navigue sur une rivière mémorielle, la source évènementielle à l'embouchure de l'oubli où il se perdra à jamais dans un océan de néant.

LangueFrançais
ÉditeurKensington
Date de sortie11 juil. 2016
ISBN9781393129707
Déviations oniriques

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    Aperçu du livre

    Déviations oniriques - Arthur T. Manderley

    A ceux qui m’ont inspiré

    Les mensonges

    Ego flatté dans une cascade de bons sentiments sucrés et adorés, ce vomissement larmoyant d'assurance peine à convaincre. Il hurle sa bêtise acolyte du vide absolu. Tympans arrachés valent mieux que ce temps perdu à jamais en gémissements pitoyablement gras et acidulés. Qu'il crève de rire.

    Les clés du temps

    Tout ce dont j’avais besoin était caché quelque part en toi. Chasse au

    Trésor que tu étais avant que le coffre ne se ferme et qu’on en perde la clé. On m’a dit que les bulles de la surface lisse des sentiments s’étaient envolées dans la brise charbonnée d’un printemps incompris. Vervandi me demande de m’accrocher aux vents des plaines, vides de sens. Mais les bœufs connus me font peur et je fais la champagne morte. Skuld m’ordonne d’oublier oies, coqs et poules pour admirer les confluents et non la source. Pourtant c’est à la source que tout fut. Que tu fus. A la source où la pureté née avant qu’elle ne se salisse naturellement.

    B.W.

    Mèche blonde jaugeant son front haut

    Dis moi simplement si tu m’aimes

    Carbonise moi par le feu du baiser

    Allume le brasier du regard

    Théâtre de l’instant d’une fugace allure

    Qui sentit le temps d’un souffle frais

    Epargne moi l’éparse douleur

    D’une rupture mort née affligeante

    Un regard dans la nuit

    Regard dans la nuit qui mange le soleil

    Eternel recommencement, heures résiduelles

    Cette nuit j’irai voir la lune et décrocher l’amour

    Dire des inepties, penser ce que je dis

    Regard dans cette nuit qui absorbe les couleurs

    Dont seuls les réverbères donnent la

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