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Amour, Perversion Ou Juste Nature?
Amour, Perversion Ou Juste Nature?
Amour, Perversion Ou Juste Nature?
Livre électronique192 pages3 heures

Amour, Perversion Ou Juste Nature?

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À propos de ce livre électronique

Des centaines, des milliers et possiblement des millions de personnes ont une peur terrible de la fin du monde et pourtant cette dernire a pour but de dlivrer les enfants de Dieu des mains meurtrires de la bte. Si ces millions de personnes ont tellement peur c'est juste parce qu'ils ne connaissent pas la parole de Dieu, la vrit. Ou alors s'ils la connaissent et qu'ils ont peur, c'est qu'ils ne sont pas les enfants de Dieu. En lisant ce livre vous trouverez plusieurs rponses vos questions en plus de comprendre le pourquoi, le quand et le comment la fin viendra. Plusieurs personnes comme Jsus et Louis Riel sont mortes en essayant d'instruire le monde de toutes ces choses dont presque toutes les religions ont cach. Je suis trs conscient que c'est le risque que je prends moi aussi, mais je prfre et de loin mourir sur le bon ct. L'enfer ne sera certainement pas rose pour les enfants du diable; ils auront des souffrances qui seront pire que des brlements d'estomac et qui sera caus par leur jalousie et leur envie. Des millions de personnes prennent plus soin de leur compte de banque que de leur me. Vraiment, lequel est le plus important ?
LangueFrançais
Date de sortie31 mai 2012
ISBN9781466933910
Amour, Perversion Ou Juste Nature?
Auteur

Jacques Prince

J’ai fait la comparaison de Dieu envers les hommes et d’un maître avec son chien. Voyez-vous le maître est le maître, mais c’est lui qui nourrit l’animal, qui lui donne un abri, qui le protège du mieux qu’il le peut, qui ramasse sa merde, qui le lave et le brosse dans bien des cas. Il le dresse, l’entraîne et le promène tout en passant le plus de temps possible en sa compagnie. En retour le maître lui demande de l’obéissance. Le chien fou qui n’écoute pas son maître a peu de chance de terminer sa vie en cette heureuse compagnie. Mes chiens ne prennent jamais leur nourriture sans me dire merci à leur façon. Je les aime beaucoup et ils me le rendent bien. C’est très triste à dire, mais je crois qu’il y a plus d’animaux qui adorent leur maître que d’hommes qui adorent le vrai Dieu.

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    Aperçu du livre

    Amour, Perversion Ou Juste Nature? - Jacques Prince

    Copyright 2012 Jacques Prince.

    All rights reserved. No part of this publication may be reproduced, stored in a retrieval system, or transmitted, in any form or by any means, electronic, mechanical, photocopying, recording, or otherwise, without the written prior permission of the author.

    ISBN: 978-1-4669-3392-7 (sc)

    ISBN: 978-1-4669-3391-0 (e)

    Trafford rev. 05/25/2012

    7-Copyright-Trafford_Logo.ai

    www.trafford.com

    North America & international

    toll-free: 1 888 232 4444 (USA & Canada)

    phone: 250 383 6864 ♦ fax: 812 355 4082

    Contents

    Chapitre 1

    Chapitre 2

    Chapitre 3

    Chapitre 4

    Chapitre 5

    Chapitre 6

    Chapitre 7

    Chapitre 8

    Chapitre 1

    Aujourd’hui âgé de soixante-sept ans, je me pose la question suivante à propos des amours de mon enfance. Était-ce de l’amour ou était-ce de la perversion ou encore juste la simple nature lorsque à l’âge de sept ans je voulais faire l’amour à celle dont je voulais devienne mon épouse?

    Elle était de mon âge, son nom Fernande, une petite fille très jolie et très gentille en autant que je me souvienne. Elle était cependant très obstinée aussi et elle m’a permis de la déshabiller, de la regarder toute nue et de la toucher où je voulais bien, mais jamais de la pénétrer. Dieu sait que j’ai essayé de tout mon cœur en lui disant que tous les couples le faisaient y compris ses parents et les miens. Elle m’a répété à plusieurs reprises que nous devions être mariés en premier.

    N’allez surtout pas croire qu’un jeune garçon de cet âge n’a pas d’érections, puisque j’en avais qui étaient très douloureuses. Certains diront que je les méritais. Je veux dire la douleur.

    Je ne peux pas dire d’où me venaient ces idées dévergondées non plus, puisque mes parents n’étaient pas démonstratifs du tout. En ces jours-là c’est à peine s’ils se déshabillaient pour faire des enfants. J’ai entendu ma mère dire un jour de mon père et je cite: ‘Ils ne pourront pas dire qu’on se taponne.’ Pauvre femme que ma mère était.

    Je me souviens aussi d’avoir dit à l’une de mes sœurs qui elle était âgée d’un an de plus que moi, c’est-à-dire qu’elle avait huit ans. À la suite de la visite d’un jeune couple qui est venu chez-nous pour nous annoncer leurs fiançailles et ils s’étaient embrassé du bout des lèvres. Je cite: ‘Ils sont bien niaiseux eux autres, ils n’utilisent même pas leurs langues.’

    Où j’ai pris ça? Je n’en ai aucune idée. Il n’y avait même pas de télévision en 1952. La seule explication dont je peux déduire aujourd’hui est que j’avais une imagination très fertile. À vrai dire cela peut s’avérer un atout précieux pour un écrivain. Si seulement quelqu’un avait pu me diriger dans ce sens étant plus jeune, j’aurais sûrement une centaine de bouquins à mon actif.

    Une autre chose dont j’étais un fervent utilisateur dans mon enfance était sans contredit de l’embellissement. On m’a souvent accusé de mentir alors que je ne faisais que d’embellir mes histoires, simplement pour les rendre plus intéressantes, surtout mes histoires de batailles.

    Pour tout dire et dire la vérité, j’en ai eu des centaines, mais je n’en ai pas perdu beaucoup, cela dit sans embellissement. L’embellissement est aussi un atout très important pour un écrivain.

    Pour revenir à mes jeunes amours, si je peux dire, je ne pouvais tout simplement pas jouer à la cachette avec les autres enfants sans penser à me retrouver caché avec ma jeune amie dans un endroit où personne ne puisse nous trouver, mais il faut dire aussi que le risque d’être repérer était très élevé, puisque le chercheur n’allait pas abandonner trop facilement. Je dois dire aussi que je n’ai jamais aimé être pris les culottes baissées.

    Quand j’y pense aujourd’hui, je trouve étrange de ne jamais m’avoir fait prendre ou presque, quoiqu’en y pensant bien, c’était peut-être la raison pour laquelle le père de Fernande ne m’aimait pas beaucoup.

    Mes deux sœurs, les plus âgées s’étaient plaintes à lui alors qu’elles gardaient la maison et il m’a fait faire le trajet du premier plancher à chez-lui au deuxième étage dans les airs, c’est-à-dire suspendu à son bras en dehors de la rampe d’escalier.

    Il se peut que ma petite amie, sa fillette avait vendu la mèche. Il se peut aussi que ma façon d’agir avec mes sœurs ce jour-là était justement pour avoir la chance de me permettre de monter là-haut pour me retrouver avec elle, mais je me souviens plus de mon transport au deuxième étage que de mon temps passé près d’elle. C’est sûr que sous la surveillance du père nous n’avons pas eu la chance de jouer aux fesses, sinon je m’en souviendrais.

    C’est sûr aussi que j’ai compris très jeune quelle était mon orientation sexuelle et que je n’ai jamais eu de doute à ce sujet. Cela se passait dans les environs de Sudbury, Ontario.

    Avant Fernande il y avait bien une autre petite fille du nom de famille Houle qui elle a dû me trouver de son goût aussi, puisqu’elle m’a suivit dans la bécosse à l’heure de la recréation. Je ne me souviens plus au juste qui de l’un ou de l’autre a entraîné l’autre. Ce dont je me souviens cependant c’est bien de s’être fait prendre, j’allais dire à poil, mais nous étions trop jeunes tous les deux pour en avoir, du poil bien sûr, mais une chose est certaine nous étions tous les deux tout nus.

    Je me souviens très clairement aussi que nous avons aimé tous les deux cette expérience, même si la pénitence était des plus humiliante. Je ne sais pas ce que les conséquences ont été pour elle, mais une chose est certaine, cela ne m’a pas découragé à chercher ou à être attiré par le sexe opposé. C’était aussi la toute dernière fois dont je me suis fait prendre sans mes culottes.

    En y pensant bien, il y en a eu une autre avant elle et cela se passait en Abitibi, plus précisément à Baraude. Je n’avais que six ans, mais aujourd’hui je peux dire que j’étais très précoce. Je me souviens avoir marché une très grande distance pour aller retrouver cette belle petite fille que j’aimais et encore là, c’était dans une région infestée de loups à quatre pattes. Nous devions barricader notre porte d’entrée avec tout ce dont nous pouvions mettre nos mains dessus à chaque soir pour les empêcher d’entrer, mais ils ne se gênaient pas pour gratter la porte dans l’espoir de nous atteindre. Tous les enfants, nous étions seuls avec notre mère, car le père était au chantier forestier en essayant de gagner de quoi nous mettre sous la dent.

    Je n’y suis pas retourné, mais ce n’était pas à cause des loups. Le père de cette jeune fille, nommée Gaudreau était plutôt sévère et il avait une voix très forte qui a fait baisser ma libido rapidement. Je me doute fortement que le père de cette fillette se souvenait de son enfance qui était peut-être semblable à la mienne, du moins concernant la sexualité.

    Une autre chose dont je puisse dire aujourd’hui avec certitude, c’est que le dicton: ‘Loin des yeux, loin du cœur!’ Ce dicton pouvait très bien s’appliquer à moi en ce qui concerne mes jeunes années.

    Cela a bien changé en ce qui me concerne cependant, puisque j’aime une jeune femme depuis plus de quinze ans maintenant, du nom de Schéba et cela sans même être tourmenter par le désir sexuel. Je suis exaucé de mes prières, surtout celle qui mentionne: ‘Délivrez-nous du mal.’ Merci mon Dieu

    Cela m’a inspiré une chanson dont je fais jouer tous les soirs pour mon Dieu et pour m’aider à m’endormir. Elle est aussi l’une de mes préférées. Je l’ai nommé; Ce Parfum De Rose, simplement parce mon goût pour la femme et sa bonne odeur me rappelle la fleur de l’amour, la rose.

    Ce Parfum De Rose

    Merci mon Dieu, merci mon Dieu, merci mon Dieu

    1

    Merci mon Dieu pour ce doux parfum de rose

    Merci mon Dieu d’avoir fait tant de belles choses

    Quand sous les cieux un jour Tu créas la femme,

    En me donnant pour elle une fervente flamme.

    Te reconnaître, Toi grand Seigneur.

    Moi petit être à qui Tu as donné la fleur.

    Elle est fanée, qu’en a-t-on fait?

    Toi seul pourrait la ramener comme elle était.

    C’est nous l’arôme, le jardin de ton royaume.

    Ta création fait de ta main, ton ambition.

    Ton ennemi, celui qui détruit le monde.

    Il a fané ma belle fleur cet être immonde.

    ‘Tu nous bénis, Tu nous as dit.

    Soyez féconds et remplissez toute la terre.

    Multipliez et dominez les animaux

    Et tous les poissons de la mer.’

    Merci mon Dieu pour ce doux parfum de rose

    Merci mon Dieu d’avoir fait tant de belles choses

    Quand sous les cieux un jour Tu créas la femme,

    En me donnant pour elle une fervente flamme.

    Merci mon Dieu de m’avoir fait à ton image.

    C’est sûr que pour accomplir son but de remplir la terre Dieu à sûrement besoin que les êtres humains comme tous les autres animaux de la planète soient équipés d’une telle puissance de reproduction!

    Il y a des personnes qui ne veulent pas croire à mes histoires d’amour ou plutôt de mes expériences sexuelles de mon enfance, mais ils n’ont pas de problème à croire qu’un jeune chiot de six mois puisse essayer de sauter sa mère en chaleur et ça sans même avoir mis une seule patte à l’école.

    Pourquoi donc qu’un jeune garçon ou qu’une jeune fille n’aurait pas autant d’instinct ou d’intelligence ou même un aussi grand désir de reproduction qu’un jeune chien? Il est vrai qu’un chiot a le sens de l’odorat beaucoup plus développé que l’être humain, mais quand bien même.

    Il y des gens qui ont peine à accepter que d’autres puissent être différents. Je me souviens m’être fâché contre ma mère à l’âge de quinze ans, parce qu’elle laissait mon jeune frère marcher avec ses souliers à talons hauts et sa bourse partout dans la maison. Il était clair qu’il n’avait pas la même orientation sexuelle que la mienne. L’est-on ou le devient-on? C’est une question dont beaucoup de gens débattent encore. Moi je sais que je suis né comme je suis et que personne n’a fait de moi un hétérosexuel. Cependant, je sais aussi qu’il appartient à chacun de nous de vivre ou de ne pas vivre notre sexualité comme nous l’entendons. Je sais aussi qu’aujourd’hui je préférerais être castré que de vivre dans l’abomination qui déplaît à Dieu. C’est cependant une force qui ne peut venir que de Dieu.

    C’est sûr qu’il faut pour se faire aimer Dieu plus que soi-même, plus que sa sexualité, plus que sa religion, plus que tout et cela n’est pas donné à tous. C’est sûr aussi que mon amour pour Dieu a surpassé mon amour propre et que cela expliquerait ma libération qui n’a rien à voir avec mon âge, puisque mes érections sont presque aussi puissantes qu’elles étaient dans mon jeune âge. Elles sont cependant beaucoup moins douloureuses qu’elles étaient jadis.

    Ce n’est pas facile en grandissant de se faire une idée sur ce qui est bien ou ce qui est mal, puisque les adultes ont toujours une histoire ou une joke cochonne à raconter. Je sais pour ma part qu’il y a beaucoup de choses dont je n’ai pas compris le sens avant l’âge de sept ans. Ma propre mère est une raconteuse comme beaucoup de gens, mais tout comme moi elle peut raconter une histoire cochonne sans s’attarder au côté sexuel pour mettre l’emphase seulement sur le côté drôle. Par contre quand on est jeune et que l’on ne comprend pas toujours le vrai sens des choses on se fait sa propre idée et on se dit que si notre mère qui est une bonne personne peut raconter une histoire de fesses et de queux, le jeune que j’étais pouvait donc se permettre de s’amuser avec elles.

    Je me souviens alors que j’étais dans la trentaine avoir demandé à une amie une devinette dont j’ai moi-même composé d’ailleurs et qui va comme ceci: ‘À quoi sert la pissette d’un prêtre à part que pour pisser? Comme de raison je n’ai fait aucune attention aux enfants tout autour qui eux semblaient ne même pas faire attention à la conversation des adultes, puisqu’ils écoutaient tous les trois la télévision.

    Quelques jours plus tard le deuxième des fils de mon amie nous est arrivé de l’école avec le fou rire. Il avait demandé à son institutrice qui elle est une religieuse la même question. Comme de raison je me suis empressé de lui demander qu’elle a été sa réaction! Il a dit qu’elle lui a demandé la réponse. Je ne sais pas trop à quoi elle s’attendait, mais elle lui a dit qu’elle était bonne. Je me suis un peu posé la question moi-même à savoir pourquoi elle était aussi curieuse de connaître la réponse qui est: Ça sert d’os. Je me doute fortement que ce jeune garçon était passablement précoce lui-même aussi. Il avait sans aucun doute prêté attention à notre conversation sans que nous nous en doutions.

    Un autre facteur qui fut sans aucun doute dans mon esprit un stimulant dans ma course aux conquêtes des amours de mon enfance est la visite d’un garçon d’une douzaine d’années, un voisin qui est venu chez-nous alors que nos parents étaient absents. Je ne me rappelle pas de quelle façon il s’y est pris, mais il a réussit à nous faire montrer nos culs à mes deux sœurs plus âgées que moi ainsi que le mien. Je me souviens vaguement que c’était une question de comparaison.

    Une chance que je n’étais pas sujet au complexe dans ces années-là, moi je n’avais que neuf ans. Il ne parlait que l’anglais et nous pas beaucoup. Ça se passait dans une petite communauté pas très loin d’Eastman, une place nommée South Stukely.

    Encore là, si mes deux sœurs plus âgées que moi pouvaient se faire déshabiller par un garçon complètement inconnu de nous, cela voulait donc dire que tout m’était permis à moi aussi. J’ai probablement compris très jeune aussi que si nos parents doivent se cacher pour jouer aux fesses, c’était ce que je devais faire aussi.

    Quelques-uns m’ont demandé le pourquoi de la nécessité pour moi d’écrire sur mes histoires de fesses de mon enfance. La réponse est toute simple. J’ai entendu à la télévision cette semaine un animateur homosexuel d’une émission d’actualités très populaire qui lui s’expose continuellement dans le but d’aider les personnes, surtout les jeunes comme lui à ne pas avoir peur de s’affirmer dans leur orientation. Il y a aussi les parades de fierté un peu partout chaque année. Je ne veux pas en aucun cas promouvoir le sexe du moins chez les jeunes, mais je pense que les jeunes hétérosexuels ont le droit de savoir eux aussi de quoi est faite la nature. Ces jeunes doivent savoir et être avisés du danger face aux adultes des deux sexes. Ils doivent savoir qu’il est normal d’être curieux en ce qui concerne le sexe opposé, mais qu’il ne l’est pas d’être sollicité par des adultes, qu’ils soient de la famille ou des purs étrangers.

    Le cœur me fait mal chaque fois que j‘entends sur les nouvelles qu’un jeune enfant a été enlevé, sachant que pour la plupart du temps cela a été fait par un maniaque et prédateur sexuel. Ce qui me fait plus peur encore c’est que les autorités se serviront très prochainement de cette cause pour implanter la puce et cela même dès l’enfance, peut-être même dès la naissance.

    Ils vous diront que c’est dans le but de pouvoir retrouver vos enfants en cas d’enlèvement et cela sera accepté par la majorité, mais leur but principal sera bien différent.

    Un autre prédateur sexuel vient de se faire prendre à New York cette fois-ci. Un Français très connu et très riche, ce qui veut dire très puissant. Il pouvait

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