Né à quelques kilomètres de Châteauneuf-du-Pape, lecteur de La RVF, je ne fais pas partie des étrangleurs du vin que vous vilipendez dans votre éditorial de mars (lire La RVF n° 678, mars 2024). Néanmoins, je regrette que vous donniez raison à tous ceux qui pensent quedont le poids administratif, mais aussi le remboursement des crédits et les difficultés de gestion qui leur empoisonnent l'existence. Et maintenant, la question centrale à mon avis: oui ou non, certains produits sont-ils dangereux pour la santé et l'environnement? Ce n'est pas en tapant sur les parasites de la vigne que sont les extrémistes de l'interdiction que vous les ferez taire, mais en abordant les problèmes de front avec ceux qui s'y attaquent sans préjugés. Et il y en a parmi les vignerons comme parmi les écologistes (permettez-moi d’écrire ce mot, qui est en train de devenir tabou).
Des milliards d'euros d'argent public pour expliquer que le vin est un poison
Apr 24, 2024
2 minutes
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