Brettanomyces : faut-il se fier à sa perception ou à l’analyse ?
Dans votre dégustation des cépages oubliés (La RVF n° 646, décembre 2020), vous soupçonnez la présence de levures brettanomyces dans notre cuvée de Prunelart 2015. Eh bien, c’est impossible, il n’y en a pas. C’est vrai, nous avons fait face à cette problématique plusieurs fois sur certaines de nos cuvées, notamment en 2010, année où nous avons dû déboucher 10 000 bouteilles. Nous prenons donc ce sujet très au sérieux. De ce fait, nous analysons systématiquement nos cuvées de rouge en fin de fermentation alcoolique et juste avant la mise en bouteilles afin de nous assurer de la non contamination du vin. Nous vous envoyons le résultat de l’analyse de la lecture du contrôle microbiologique faite le 28
