et l’installation des radars, c’est une vieille histoire… Souvenez-vous, en 2007, nous révélions qu’une erreur de positionnement pouvait fausser leurs relevés de vitesse. Un scandale qui mettait en lumière la nécessité absolue de positionner scrupuleusement les radars, dans le respect des règles dictées par leur manuel d’utilisation. Dix-sept ans plus tard, ces précautions d’usage restent d’actualité. Y compris pour les nouvelles terreurs des bas-côtés, les radars autonomes, qui ont supplanté les hiboux en nombre (800 fin 2024 contre 500) et en efficacité (en moyenne 19000 flashs par cabine). Leurs terrains de chasse ? Soit des emplacements dédiés (notamment sur des itinéraires sécurisés), soit des spots isolés, soit des zones de chantier. Dans tous les cas, leur positionnement doit répondre à des règles précises qui garantissent la sécurité des usagers (l’engin est un parpaing de 1,3 tonne) et la rigueur des relevés. Des contraintes, nombreuses, dont nous avons pu prendre connaissance au détour d’un appel d’offres
