Si le vrac, pour vous, c’est acheter tranches de jambon et fromages à la coupe, savez-vous que vous pouvez le faire aussi pour les pâtes, le riz, les épices, la lessive, votre crème de jour ou encore votre dentifrice ? L’atout de ce mode de consommation : une présentation à la vente sans emballage superflu et avec le choix de la quantité. Les magasins développent leurs offres, les circuits d’approvisionnement s’organisent. Alors que la France en 2013 ne comptait que 2 épiceries vendant exclusivement en vrac, les magasins de ce type sont près de 600 aujourd’hui. En quelques années, ces nouvelles boutiques ont prissurfaces alimentaires généralistes (50 %). 1,2 milliard d’euros, c’est le chiffre d’affaires en 2019 pour le vrac, en croissance de 41 % sur un an : , prévoit Célia Rennesson, directrice générale de Réseau Vrac, l’organisation professionnelle fédérant les 1800 acteurs de la filière, qui travaille à faire évoluer la législation en faveur du développement du vrac.
