La biochimiste française Jessie Inchauspé livre sa méthode pour limiter les effets négatifs sur la santé d’un taux élevé de glucose, sans pour autant renoncer à tout.
1 Oublier les calories
Toutes ne se valent pas. Selon les caractéristiques nutritionnelles d’un aliment (teneurs en protéines, lipides, glucides, fibres), ainsi que la composition globale du repas ou la fréquence des prises alimentaires, l’impact sur la glycémie (donc la sécrétion d’insuline, hormone du stockage) varie considérablement. On peut sans crainte augmenter le nombre de calories d’un repas si elles proviennent de fibres, graisses et protéines qui lissent la glycémie. Pour un apport identique (environ 150 kcal), ajouter à un