GAGNER EN SOUPLESSE pour moins de douleurs et plus de mobilité
bservez un bébé, ou un petit enfant : il est capable sans difficulté de sucer ses orteils ou de s’asseoir en grand écart ! explique Élodie Sillaro, coach sportive. Elle est en partie structurelle, car la forme de nos articulations peut faciliter, ou limiter, l’amplitude de certains mouvements : tout le monde n’a pas, par exemple, la même ouverture des hanches. De plus, les femmes sont naturellement plus souples que les hommes, parce que leurs hormones, les œstrogènes, imprègnent, humidifient et assouplissent les muscles, tendons et ligaments impliqués dans les mouvements. Mais si nous avons tous un « capital flexibilité », l’anatomie et la génétique n’expliquent pas tout : si nous n’entretenons pas notre souplesse, nous nous raidissons au fil du temps. Avec l’âge, le cartilage de nos articulations, qui permet le glissement des os, se renouvelle moins, et peut même
