Un coup de maître
l y eut ensuite“New Sensations”, plein de belles compositions mais gâché par un son de batterie horrible. Et lorsque, en 1988, il publia l’épouvantable“Mistrial”, l’homme avait l’air complètement perdu. Un an plus tard, il était de retour, triomphant avec“New York”. Dédié à la ville qu’il a tant évoquée durant sa carrière,“New York” est un concentré de bonnes compositions (“Romeo Had Juliet”,“Dirty Blvd”,“There Is No Time”,“Halloween Parade”) aux textes comptant parmi ses meilleurs. Il envisage même d’avoir un enfant sur“Beginning Of A Great Adventure” (cela n’arrivera pas car il quittera Morales, une femme qui dirigeait sa carrière d’un gant de fer, pour la plus douce Laurie Anderson) et sort même sa première chanson politique avec“Good Evening Mr Waldheim”. Mo Tucker est même présente sur un titre.“New York” fut un coup de maître, une révolution inespérée dans une carrière qui semblait en fin de course.
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